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Analyser l'art vivant, s'il se peut / Paul Ardenne
Titre : Analyser l'art vivant, s'il se peut : (un constat de balbutiement) Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Ardenne (1956-....), Auteur Editeur : Strasbourg : Ecole supérieure des arts décoratifs de Strasbourg Année de publication : 1997 Collection : Confer num. 2 Importance : 1 vol. (67 p.) Format : 16 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-911230-09-7 Langues : Français Catégories : Art
Critique d'art
Esthétique
Théories du vivantRésumé : La complexité de l'art vivant, la dissémination de la culture enregistrées par l'âge contemporain rendent d'emblée toute interprétation aléatoire. Ce texte, qui s'inspire en grande partie d'une conférence donnée à Strasbourg en janvier 1997 à l'Ecole des arts décoratifs, met l'accent sur les périls et la difficulté factuelle de parole auxquels se découvre soumis l'analyste. Analyser l'art vivant, s'il se peut : (un constat de balbutiement) [texte imprimé] / Paul Ardenne (1956-....), Auteur . - Strasbourg : Ecole supérieure des arts décoratifs de Strasbourg, 1997 . - 1 vol. (67 p.) ; 16 cm.. - (Confer; 2) .
ISBN : 978-2-911230-09-7
Langues : Français
Catégories : Art
Critique d'art
Esthétique
Théories du vivantRésumé : La complexité de l'art vivant, la dissémination de la culture enregistrées par l'âge contemporain rendent d'emblée toute interprétation aléatoire. Ce texte, qui s'inspire en grande partie d'une conférence donnée à Strasbourg en janvier 1997 à l'Ecole des arts décoratifs, met l'accent sur les périls et la difficulté factuelle de parole auxquels se découvre soumis l'analyste. La communauté terrestre / Achille Mbembe
Titre : La communauté terrestre Type de document : texte imprimé Auteurs : Achille Mbembe Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 2023 Importance : 1 vol. (204 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-348-07238-3 Langues : Français Catégories : Colonialisme (idée politique)
Décolonialité
Ecologie
Terre
Théories du vivant
UtopiesRésumé : Traiter de la Terre, c'est avoir à l'esprit une chaîne symbiotique : celle du vivant, dans ses innombrables déploiements. Les humains, les espèces animales et végétales, les microbes, bactéries et virus, les corps inorganiques et les substances minérales ainsi que les dispositifs technologiques et autres appareillages artificiels font inséparablement partie de cette chaîne du vivant. Mais c'est aussi le cas, du moins dans les pensées animistes africaines, de toutes les forces invisibles, des génies, des esprits et des masques.
Prenant fermement appui sur l'insondable richesse de ces pensées, Achille Mbembe propose dans cet essai une réflexion stimulante sur la Terre, ses devenirs, et surtout la sorte de communauté qu'elle forme avec la cohorte des espèces animées et inanimées qui l'habitent, y ont trouvé refuge ou y séjournent. Il montre comment notre relation fondamentale à la Terre ne peut être que celle de l'habitant et du passant. C'est en tant qu'habitant et passant qu'elle nous accueille et nous abrite, qu'elle entretient les traces de notre passage, celles qui parlent en notre nom et en mémoire de qui nous aurons été, avec d'autres et au milieu d'eux. C'est à ce titre qu'elle est la toute dernière des utopies, la pierre angulaire d'une nouvelle conscience planétaire.La communauté terrestre [texte imprimé] / Achille Mbembe . - Paris : La Découverte, 2023 . - 1 vol. (204 p.) ; 22 cm.
ISBN : 978-2-348-07238-3
Langues : Français
Catégories : Colonialisme (idée politique)
Décolonialité
Ecologie
Terre
Théories du vivant
UtopiesRésumé : Traiter de la Terre, c'est avoir à l'esprit une chaîne symbiotique : celle du vivant, dans ses innombrables déploiements. Les humains, les espèces animales et végétales, les microbes, bactéries et virus, les corps inorganiques et les substances minérales ainsi que les dispositifs technologiques et autres appareillages artificiels font inséparablement partie de cette chaîne du vivant. Mais c'est aussi le cas, du moins dans les pensées animistes africaines, de toutes les forces invisibles, des génies, des esprits et des masques.
Prenant fermement appui sur l'insondable richesse de ces pensées, Achille Mbembe propose dans cet essai une réflexion stimulante sur la Terre, ses devenirs, et surtout la sorte de communauté qu'elle forme avec la cohorte des espèces animées et inanimées qui l'habitent, y ont trouvé refuge ou y séjournent. Il montre comment notre relation fondamentale à la Terre ne peut être que celle de l'habitant et du passant. C'est en tant qu'habitant et passant qu'elle nous accueille et nous abrite, qu'elle entretient les traces de notre passage, celles qui parlent en notre nom et en mémoire de qui nous aurons été, avec d'autres et au milieu d'eux. C'est à ce titre qu'elle est la toute dernière des utopies, la pierre angulaire d'une nouvelle conscience planétaire.Métamorphoses / Emanuele Coccia
Titre : Métamorphoses Type de document : texte imprimé Auteurs : Emanuele Coccia, Auteur Editeur : Paris : Éditions Payot & Rivages Année de publication : DL 2020 Collection : Bibliothèque Rivages, ISSN 1637-682X Importance : 1 vol. (235 p.) Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7436-4734-6 Note générale : Bibliogr. p. 221-231 Langues : Français Catégories : Biologie -- Philosophie
Métamorphose
Théories du vivantIndex. décimale : 113.8 Résumé : Nous avons toutes et tous été fascinés par ce mystère : une chenille se métamorphose en papillon. Leurs corps n’ont presque rien en commun. Silhouette, anatomie, habits différents. L’un rampe quand l’autre voltige. Ils ne partagent pas le même monde : le sol contre l’air. Pourtant, ils sont une seule et même vie. Ils sont le même moi.
Ce livre affirme que la métamorphose – ce phénomène qui permet à une même vie de subsister en des corps disparates – est aussi la relation qui lie toutes les espèces entre elles, qui unit le vivant au minéral. Bactéries, virus, champignons, plantes, animaux : nous sommes toutes et tous une même vie. Chacune de ses vies est à son tour la métamorphose de la chair infinie du monde. Nous sommes le papillon de cette énorme chenille qu’est notre Terre. [Résumé de l'éditeur]Métamorphoses [texte imprimé] / Emanuele Coccia, Auteur . - Paris : Éditions Payot & Rivages, DL 2020 . - 1 vol. (235 p.) ; 20 cm. - (Bibliothèque Rivages, ISSN 1637-682X) .
ISBN : 978-2-7436-4734-6
Bibliogr. p. 221-231
Langues : Français
Catégories : Biologie -- Philosophie
Métamorphose
Théories du vivantIndex. décimale : 113.8 Résumé : Nous avons toutes et tous été fascinés par ce mystère : une chenille se métamorphose en papillon. Leurs corps n’ont presque rien en commun. Silhouette, anatomie, habits différents. L’un rampe quand l’autre voltige. Ils ne partagent pas le même monde : le sol contre l’air. Pourtant, ils sont une seule et même vie. Ils sont le même moi.
Ce livre affirme que la métamorphose – ce phénomène qui permet à une même vie de subsister en des corps disparates – est aussi la relation qui lie toutes les espèces entre elles, qui unit le vivant au minéral. Bactéries, virus, champignons, plantes, animaux : nous sommes toutes et tous une même vie. Chacune de ses vies est à son tour la métamorphose de la chair infinie du monde. Nous sommes le papillon de cette énorme chenille qu’est notre Terre. [Résumé de l'éditeur]Mutual Core / Julie Crenn
Titre : Mutual Core Type de document : texte imprimé Auteurs : Julie Crenn, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emanuele Coccia, Auteur ; Julie Crenn, Auteur ; Gilles Clément, Auteur ; Marie Thiann-Bo Morel, Auteur Editeur : FRAC Réunion Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (208p.) Présentation : ill. en couleur Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-95634-06-5 Note générale : Publié à l'occasion de l'exposition éponyme produite par le Frac Réunion et présentée à l'Artothèque du Département en 2022. Langues : Français Anglais Créoles et pidgins français Catégories : Catalogues d'exposition
Écoféminisme
Théories du vivantRésumé : Mutual Core s'inscrit dans une recherche portée avec le vivant, avec les pensées écoféministes (Starhawk, Vandana Shiva, Françoise d'Eaubonne, Val Plumwood, Émilie Hache, etc.), ainsi que les écrits et les paroles d'auteur·trices tel·les que Donna Haraway, Édouard Glissant, Gilles Clément, Anna Tsing, Achille Mbembe, Vinciane Despret, Francis Hallé, Paul B. Preciado, Baptiste Morizot, Isabelle Stengers, Felwinne Sarr ou encore Emanuele Coccia. Cette recherche dessine le territoire d'une « pensée tentaculaire » (Haraway) formée d'archipels mis en relation par des humain·es (artistes, sorcièr·es, anthropologues, biologistes, éthologues, dendrologues, jardinier·es, paysan·nes, activistes) ; des non humain·es, des vivant·es et des non vivant·es. Il s'agit alors d'observer, de comprendre et d'apprendre des interactions, des interdépendances et des mouvements inhérents au vivant. Ce dernier est ainsi compris et vécu comme un tissu commun où chaque élément communique et agit non pas sur, mais avec les autres. Les organismes vivants et non vivants ne cohabitent pas, ils coévoluent et coexistent pour former une communauté symbiotique à l'intérieur de laquelle chacun·e joue un rôle. À toutes les échelles, les actions de chacun·e affectent le devenir des autres. Nous faisons tous·tes partie d'un même mouvement, d'une même métamorphose. Mutual Core [texte imprimé] / Julie Crenn, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emanuele Coccia, Auteur ; Julie Crenn, Auteur ; Gilles Clément, Auteur ; Marie Thiann-Bo Morel, Auteur . - [S.l.] : FRAC Réunion, 2022 . - 1 vol. (208p.) : ill. en couleur ; 24 cm.
ISBN : 979-10-95634-06-5
Publié à l'occasion de l'exposition éponyme produite par le Frac Réunion et présentée à l'Artothèque du Département en 2022.
Langues : Français Anglais Créoles et pidgins français
Catégories : Catalogues d'exposition
Écoféminisme
Théories du vivantRésumé : Mutual Core s'inscrit dans une recherche portée avec le vivant, avec les pensées écoféministes (Starhawk, Vandana Shiva, Françoise d'Eaubonne, Val Plumwood, Émilie Hache, etc.), ainsi que les écrits et les paroles d'auteur·trices tel·les que Donna Haraway, Édouard Glissant, Gilles Clément, Anna Tsing, Achille Mbembe, Vinciane Despret, Francis Hallé, Paul B. Preciado, Baptiste Morizot, Isabelle Stengers, Felwinne Sarr ou encore Emanuele Coccia. Cette recherche dessine le territoire d'une « pensée tentaculaire » (Haraway) formée d'archipels mis en relation par des humain·es (artistes, sorcièr·es, anthropologues, biologistes, éthologues, dendrologues, jardinier·es, paysan·nes, activistes) ; des non humain·es, des vivant·es et des non vivant·es. Il s'agit alors d'observer, de comprendre et d'apprendre des interactions, des interdépendances et des mouvements inhérents au vivant. Ce dernier est ainsi compris et vécu comme un tissu commun où chaque élément communique et agit non pas sur, mais avec les autres. Les organismes vivants et non vivants ne cohabitent pas, ils coévoluent et coexistent pour former une communauté symbiotique à l'intérieur de laquelle chacun·e joue un rôle. À toutes les échelles, les actions de chacun·e affectent le devenir des autres. Nous faisons tous·tes partie d'un même mouvement, d'une même métamorphose. Raviver les braises du vivant / Baptiste Morizot
Titre : Raviver les braises du vivant : un front commun Type de document : texte imprimé Auteurs : Baptiste Morizot, Auteur Editeur : Arles : Éditions Actes sud Année de publication : 2020 Collection : Domaine du possible, ISSN 2119-3312 Importance : 1 vol. (198 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-330-13589-8 Langues : Français Catégories : Environnement
Forêts -- Protection
Théories du vivantIndex. décimale : 179.1 Résumé : Le tissu du vivant dont nous sommes des fils se déchire tout autour de nous, fragilisant nos futurs possibles. Nous le savons, et pourtant le sentiment d’impuissance domine. Pourquoi ? C’est qu’on défend mal ce qu'on comprend mal. Et si nous nous étions trompés sur la nature de la “nature” ? On imagine volontiers le monde vivant aujourd’hui comme une cathédrale en feu. Mais le tissu du vivant, cette aventure de l’évolution qui trame ensemble toutes les espèces de la biosphère, n’est pas un patrimoine figé et fragile. Il est une force dynamique de régénération et de création continue. Le vivant, ce n'est pas une cathédrale en flammes, c'est un feu qui s'éteint. Comprendre le vivant de cette façon rend visibles les paradoxes qui nous lient à lui. Il n’a pas besoin de nous, mais il est à défendre. Il est affaibli par nos atteintes mais plus puissant que nous. Ce n’est pas nous qui l'avons fait, c'est lui qui nous a faits. Le défendre, ce n’est pas le rebâtir comme une cathédrale en ruine, c’est l’aviver. Il peut toujours repartir si nous lui restituons les conditions pour qu’il exprime sa résilience et sa prodigalité natives. Le problème devient désormais : comment «raviver les» «braises» ? Cette voie nous redonne une puissance d’agir. À partir d’une enquête de terrain sur des initiatives de défense de forêts et des pratiques d’agroécologie, ce livre propose une nouvelle cartographie des alliances entre les usages de la terre qui sont des gardiens du feu. Il donne des outils critiques pour révéler au grand jour le rapport au vivant partagé par ceux qui le détruisent. Et offre un guide de négociation pour sortir des oppositions stériles entre producteurs et protecteurs. C’est un appel à faire front commun contre les vrais ennemis du vivant : toutes les forces de l’exploitation extractiviste.[4e de couv.] Raviver les braises du vivant : un front commun [texte imprimé] / Baptiste Morizot, Auteur . - Arles : Éditions Actes sud, 2020 . - 1 vol. (198 p.) ; 19 cm. - (Domaine du possible, ISSN 2119-3312) .
ISBN : 978-2-330-13589-8
Langues : Français
Catégories : Environnement
Forêts -- Protection
Théories du vivantIndex. décimale : 179.1 Résumé : Le tissu du vivant dont nous sommes des fils se déchire tout autour de nous, fragilisant nos futurs possibles. Nous le savons, et pourtant le sentiment d’impuissance domine. Pourquoi ? C’est qu’on défend mal ce qu'on comprend mal. Et si nous nous étions trompés sur la nature de la “nature” ? On imagine volontiers le monde vivant aujourd’hui comme une cathédrale en feu. Mais le tissu du vivant, cette aventure de l’évolution qui trame ensemble toutes les espèces de la biosphère, n’est pas un patrimoine figé et fragile. Il est une force dynamique de régénération et de création continue. Le vivant, ce n'est pas une cathédrale en flammes, c'est un feu qui s'éteint. Comprendre le vivant de cette façon rend visibles les paradoxes qui nous lient à lui. Il n’a pas besoin de nous, mais il est à défendre. Il est affaibli par nos atteintes mais plus puissant que nous. Ce n’est pas nous qui l'avons fait, c'est lui qui nous a faits. Le défendre, ce n’est pas le rebâtir comme une cathédrale en ruine, c’est l’aviver. Il peut toujours repartir si nous lui restituons les conditions pour qu’il exprime sa résilience et sa prodigalité natives. Le problème devient désormais : comment «raviver les» «braises» ? Cette voie nous redonne une puissance d’agir. À partir d’une enquête de terrain sur des initiatives de défense de forêts et des pratiques d’agroécologie, ce livre propose une nouvelle cartographie des alliances entre les usages de la terre qui sont des gardiens du feu. Il donne des outils critiques pour révéler au grand jour le rapport au vivant partagé par ceux qui le détruisent. Et offre un guide de négociation pour sortir des oppositions stériles entre producteurs et protecteurs. C’est un appel à faire front commun contre les vrais ennemis du vivant : toutes les forces de l’exploitation extractiviste.[4e de couv.]