A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Détail de l'éditeur
Éditeur Les Editions de Minuit
localisé à Paris
Collections rattachées
Documents disponibles chez cet éditeur
Affiner la rechercheSuperpositions / Carmelo Bene
Titre : Superpositions Type de document : texte imprimé Auteurs : Carmelo Bene, Auteur ; Gilles Deleuze, Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 1979 Importance : 1 vol. (131 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-0252-6 Langues : Français Catégories : Bene, Carmelo (1937-2002)
Italie
Littérature
ThéâtreRésumé : Carmelo Bene a eu un rôle primordial dans le renouvellement du théâtre italien depuis 1958. Ses pièces ont changé les données du théâtre actuel, dans le jeu de l'acteur comme dans la mise en scène : variation continue de la voix (direct, micro et play-back), nouvel emploi des couleurs et de la lumière, invention d'une unité geste-texte, rôle des indications scéniques intérieures à la pièce, et qui la multiplient. Son œuvre de cinéma n'est pas moins importante. La critique littéraire s'est toujours efforcée de voir dans les tragédies historiques de Shakespeare, la lutte pour la couronne d'Angleterre. Qu'il s'agisse de Richard II, d'Henry IV, d'Henry V, d'Henry VI, ou de Richard III, on a toujours insisté sur le fait que toutes ces œuvres commencent par la lutte pour conquérir le pouvoir ou renforcer un trône et toutes s'achèvent avec la mort du roi. De plus, ces essais critiques ont toujours fait allusion à l'énorme liste des personnages, et notamment dans Richard III, pour exprimer la matière historique qui a servi à Shakespeare. C'est pourquoi on est un peu surpris, à la lecture du Richard III de Carmelo Bene, de voir que tout le système royal a disparu, que les seuls personnages conservés sont Richard III et les femmes. De plus, la pièce ne s'achève pas dans la mort mais au contraire dans la constitution d'un personnage, celui de Richard III. Cette amputation de l'œuvre de Shakespeare est ce qui fait l'originalité de la pièce de Carmelo Bene. En effet, écrit Gilles Deleuze, " il ne s'agit pas de critiquer Shakespeare, ni d'un théâtre dans le théâtre, ni d'une nouvelle version de la pièce ” mais d'un “ théâtre-expérimentation qui comporte plus d'amour pour Shakespeare que tous les commentaires ”. “ En opérant la soustraction des personnages du Pouvoir ou d"État ” poursuit Deleuze, Carmelo Bene “ va donc donner libre cours à la constitution de l'homme de guerre sur scène, avec ses prothèses, ses difformités, ses excroissances, ses malfaçons, ses variations (...). Il se constituera un peu comme Mr Hyde, avec des couleurs, des bruits, des choses. ” La pièce de Carmelo Bene est le point de départ d'une analyse politique du théâtre. Un manifeste de moins étudie en effet le théâtre selon les notions de mineur et de majeur qui avaient été définies dans Kafka, c'est-à-dire selon la notion de pouvoir. Le théâtre de Carmelo Bene aurait selon Gilles Deleuze les caractéristiques du théâtre mineur : soumis à beaucoup de pouvoir, il n'est justement pas une forme de pouvoir : “ Ce serait l'autorité d'une variation perpétuelle par opposition au pouvoir ou au despotisme de l'invariant. ” Tout comme l’œuvre de Kafka a fait l'objet d'une lutte pour une littérature mineure, Richard III de Carmelo Bene est l'origine d'une réflexion pour un théâtre mineur. [Présentation de l'éditeur] Superpositions [texte imprimé] / Carmelo Bene, Auteur ; Gilles Deleuze, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 1979 . - 1 vol. (131 p.) ; 18 cm.
ISBN : 978-2-7073-0252-6
Langues : Français
Catégories : Bene, Carmelo (1937-2002)
Italie
Littérature
ThéâtreRésumé : Carmelo Bene a eu un rôle primordial dans le renouvellement du théâtre italien depuis 1958. Ses pièces ont changé les données du théâtre actuel, dans le jeu de l'acteur comme dans la mise en scène : variation continue de la voix (direct, micro et play-back), nouvel emploi des couleurs et de la lumière, invention d'une unité geste-texte, rôle des indications scéniques intérieures à la pièce, et qui la multiplient. Son œuvre de cinéma n'est pas moins importante. La critique littéraire s'est toujours efforcée de voir dans les tragédies historiques de Shakespeare, la lutte pour la couronne d'Angleterre. Qu'il s'agisse de Richard II, d'Henry IV, d'Henry V, d'Henry VI, ou de Richard III, on a toujours insisté sur le fait que toutes ces œuvres commencent par la lutte pour conquérir le pouvoir ou renforcer un trône et toutes s'achèvent avec la mort du roi. De plus, ces essais critiques ont toujours fait allusion à l'énorme liste des personnages, et notamment dans Richard III, pour exprimer la matière historique qui a servi à Shakespeare. C'est pourquoi on est un peu surpris, à la lecture du Richard III de Carmelo Bene, de voir que tout le système royal a disparu, que les seuls personnages conservés sont Richard III et les femmes. De plus, la pièce ne s'achève pas dans la mort mais au contraire dans la constitution d'un personnage, celui de Richard III. Cette amputation de l'œuvre de Shakespeare est ce qui fait l'originalité de la pièce de Carmelo Bene. En effet, écrit Gilles Deleuze, " il ne s'agit pas de critiquer Shakespeare, ni d'un théâtre dans le théâtre, ni d'une nouvelle version de la pièce ” mais d'un “ théâtre-expérimentation qui comporte plus d'amour pour Shakespeare que tous les commentaires ”. “ En opérant la soustraction des personnages du Pouvoir ou d"État ” poursuit Deleuze, Carmelo Bene “ va donc donner libre cours à la constitution de l'homme de guerre sur scène, avec ses prothèses, ses difformités, ses excroissances, ses malfaçons, ses variations (...). Il se constituera un peu comme Mr Hyde, avec des couleurs, des bruits, des choses. ” La pièce de Carmelo Bene est le point de départ d'une analyse politique du théâtre. Un manifeste de moins étudie en effet le théâtre selon les notions de mineur et de majeur qui avaient été définies dans Kafka, c'est-à-dire selon la notion de pouvoir. Le théâtre de Carmelo Bene aurait selon Gilles Deleuze les caractéristiques du théâtre mineur : soumis à beaucoup de pouvoir, il n'est justement pas une forme de pouvoir : “ Ce serait l'autorité d'une variation perpétuelle par opposition au pouvoir ou au despotisme de l'invariant. ” Tout comme l’œuvre de Kafka a fait l'objet d'une lutte pour une littérature mineure, Richard III de Carmelo Bene est l'origine d'une réflexion pour un théâtre mineur. [Présentation de l'éditeur] La Distinction / Pierre Bourdieu
Titre : La Distinction : critique sociale du jugement Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Bourdieu, Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 1979 Collection : Le Sens commun Importance : 1 vol. (670 p.) Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-0275-5 Langues : Français Catégories : Jugement esthétique
SociologieRésumé : "Pour distinguer si une chose est belle ou ne l’est pas, nous n’en rapportons pas la représentation à son objet au moyen de l’entendement et en vue d’une connaissance, mais au sujet et au sentiment de plaisir ou de déplaisir. (…) Le jugement de goût (…) est donc esthétique. ” Ainsi commence la Critique du jugement dans laquelle Kant se livre à une “ critique du goût ” pour arriver à une définition du beau comme une “ finalité sans fin ”. D’après lui, quand nous disons c’est beau, nous ne voulons pas dire simplement c’est agréable, nous prétendons à une certaine objectivité, à une certaine nécessité, à une universalité. En faisant de La Distinction une critique sociale du jugement, Pierre Bourdieu bouleverse d’emblée des catégories sur le Beau, l’art et la culture, qui n’avaient jamais été remises en question. Non seulement le beau n’est pas un concept a priori, mais, au contraire, “ les gens ont le goût de leur diplôme ” et, les catégories de la distinction dépendent de la position que l’on a dans le tableau des classes sociales. Ainsi, selon que l’on a fait des études supérieures ou que l’on a passé le B.E.P.C., que l’on est issu de la bourgeoisie ou d’une classe populaire on aime le Clavecin bien tempéré, la Rhapsodie in blue ou le Beau Danube bleu. Mais, dit Bourdieu, à l’intérieur de la classe dominante, le capital économique ne correspond pas toujours au capital culturel et un tableau montre comment, dans la classe dominante, selon que l’on a un niveau inférieur au baccalauréat ou que l’on a passé une agrégation, on achète plus facilement ses meubles chez un antiquaire qu’aux Puces ou dans un magasin spécialisé. En s’interrogeant donc sur les causes des préférences esthétiques, Pierre Bourdieu étudie ce qui les détermine, c’est-à-dire d’une part “ le capital culturel ” autrement dit le niveau d’instruction, et, d’autre part, “ le capital économique ”, soit la situation sociale. Et, en analysant ensuite les transformations du rapport entre les différentes classes sociales et le système d’enseignement, il distingue, à l’intérieur de chaque classe, des principes généraux de conduite que l’on retrouve dans chaque domaine et qui permettent d’établir un “ système ” des styles de vie. Ainsi, de la même façon que l’on aime tel peintre, on a telle attitude politique et, selon que l’on a fait telles études, on pratique tel sport, on consomme tels aliments et l’on s’habille de telle façon. En fait, quand on parle de culture, on parle, sans le savoir, de classe sociale, et la politique ne fait pas exception aux lois de la culture et du goût. Au terme de cet ouvrage, on constate que la critique de la culture, et les usages que l’on en fait comme moyen de domination, font de La Distinction un document d’un intérêt tout à fait nouveau : non seulement pour la sociologie – au niveau de la précision de l’enquête (chaque questionnaire comporte une question par domaine : musique, peinture, vêtements, etc.), mais, également, au niveau politique, où l’on s’aperçoit, au travers des schémas et de l’unification toutes les questions, qu’il s’agit, pour la première fois, de donner plusieurs chances de comprendre la même chose : la cohérence de la conduite de chaque classe et l’usage qu’en font, consciemment ou pas, les partis politiques. [Résumé de l'éditeur] La Distinction : critique sociale du jugement [texte imprimé] / Pierre Bourdieu, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 1979 . - 1 vol. (670 p.) : ill. ; 22 cm. - (Le Sens commun) .
ISBN : 978-2-7073-0275-5
Langues : Français
Catégories : Jugement esthétique
SociologieRésumé : "Pour distinguer si une chose est belle ou ne l’est pas, nous n’en rapportons pas la représentation à son objet au moyen de l’entendement et en vue d’une connaissance, mais au sujet et au sentiment de plaisir ou de déplaisir. (…) Le jugement de goût (…) est donc esthétique. ” Ainsi commence la Critique du jugement dans laquelle Kant se livre à une “ critique du goût ” pour arriver à une définition du beau comme une “ finalité sans fin ”. D’après lui, quand nous disons c’est beau, nous ne voulons pas dire simplement c’est agréable, nous prétendons à une certaine objectivité, à une certaine nécessité, à une universalité. En faisant de La Distinction une critique sociale du jugement, Pierre Bourdieu bouleverse d’emblée des catégories sur le Beau, l’art et la culture, qui n’avaient jamais été remises en question. Non seulement le beau n’est pas un concept a priori, mais, au contraire, “ les gens ont le goût de leur diplôme ” et, les catégories de la distinction dépendent de la position que l’on a dans le tableau des classes sociales. Ainsi, selon que l’on a fait des études supérieures ou que l’on a passé le B.E.P.C., que l’on est issu de la bourgeoisie ou d’une classe populaire on aime le Clavecin bien tempéré, la Rhapsodie in blue ou le Beau Danube bleu. Mais, dit Bourdieu, à l’intérieur de la classe dominante, le capital économique ne correspond pas toujours au capital culturel et un tableau montre comment, dans la classe dominante, selon que l’on a un niveau inférieur au baccalauréat ou que l’on a passé une agrégation, on achète plus facilement ses meubles chez un antiquaire qu’aux Puces ou dans un magasin spécialisé. En s’interrogeant donc sur les causes des préférences esthétiques, Pierre Bourdieu étudie ce qui les détermine, c’est-à-dire d’une part “ le capital culturel ” autrement dit le niveau d’instruction, et, d’autre part, “ le capital économique ”, soit la situation sociale. Et, en analysant ensuite les transformations du rapport entre les différentes classes sociales et le système d’enseignement, il distingue, à l’intérieur de chaque classe, des principes généraux de conduite que l’on retrouve dans chaque domaine et qui permettent d’établir un “ système ” des styles de vie. Ainsi, de la même façon que l’on aime tel peintre, on a telle attitude politique et, selon que l’on a fait telles études, on pratique tel sport, on consomme tels aliments et l’on s’habille de telle façon. En fait, quand on parle de culture, on parle, sans le savoir, de classe sociale, et la politique ne fait pas exception aux lois de la culture et du goût. Au terme de cet ouvrage, on constate que la critique de la culture, et les usages que l’on en fait comme moyen de domination, font de La Distinction un document d’un intérêt tout à fait nouveau : non seulement pour la sociologie – au niveau de la précision de l’enquête (chaque questionnaire comporte une question par domaine : musique, peinture, vêtements, etc.), mais, également, au niveau politique, où l’on s’aperçoit, au travers des schémas et de l’unification toutes les questions, qu’il s’agit, pour la première fois, de donner plusieurs chances de comprendre la même chose : la cohérence de la conduite de chaque classe et l’usage qu’en font, consciemment ou pas, les partis politiques. [Résumé de l'éditeur] La Condition postmoderne : rapport sur le savoir / Jean-François Lyotard
Titre : La Condition postmoderne : rapport sur le savoir Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Lyotard, Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 1985 Collection : Critique Importance : 109 p. Format : 22 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-0276-2 Langues : Français Catégories : Épistémologie La Condition postmoderne : rapport sur le savoir [texte imprimé] / Jean-François Lyotard, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 1985 . - 109 p. ; 22 cm.. - (Critique) .
ISBN : 978-2-7073-0276-2
Langues : Français
Catégories : Épistémologie capitalisme et schizophrénie, 2. Mille plateaux / Gilles Deleuze
Titre de série : capitalisme et schizophrénie, 2 Titre : Mille plateaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Deleuze, Auteur ; Félix Guattari, Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 1972 Collection : Critique Importance : 1 vol. (645 p.) Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-0310-3 Langues : Français Catégories : Philosophie -- 20e siècle Résumé : Dans cet ouvrage qui fait suite à L’Anti-Œdipe paru en 1972, Deleuze-Guattari remettent en question non seulement les fondements du structuralisme analytique et marxiste, mais aussi toutes les théories, qu’elles soient de la communication ou de l’information, qui visent à une systématisation. Au système, ils substituent une sorte de patchwork qui distingue l’espace lisse de l’espace strié selon des multiplicités de devenirs, d’intensité qui interviennent à travers tous les régimes de signe. De la même façon qu’ils avaient reconstruit une politique de Kafka dans laquelle son œuvre se donnait à lire comme une machine d’écriture aux ramifications multiples qui faisait apparaître une langue arrachée au sens, à la représentation et au pouvoir, de la même façon, dans Mille plateaux, Deleuze-Guattari retraversent tous les régimes de signe : la linguistique et l’écriture bien sûr mais aussi la musique, la philosophie, la psychiatrie, l’économie et l’histoire : celle des peuples et celle de l’appareil d’État. Chacun de ces ensembles constitue un plateau c’est-à-dire “ une région continue d’intensités ” et tous ces plateaux qui s’enchevêtrent, dessinent des combinaisons, perpétuelles entre des forces majeures et mineures qui forment la trame de Mille plateaux. En effet, il ne s’agit pas de distinguer entre majeur et mineur, mais de concevoir leur devenir, étant entendu qu’il n’y a de devenir que minoritaire. Et c’est un des grands intérêts de cet ouvrage que de ne jamais se poser en institution. Deleuze-Guattari ne s’intéressent qu’aux transformations du champ social à travers ses lignes de fuite qui concernent les éléments de l’art, de la science et de la politique. capitalisme et schizophrénie, 2. Mille plateaux [texte imprimé] / Gilles Deleuze, Auteur ; Félix Guattari, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 1972 . - 1 vol. (645 p.) : ill. ; 22 cm. - (Critique) .
ISBN : 978-2-7073-0310-3
Langues : Français
Catégories : Philosophie -- 20e siècle Résumé : Dans cet ouvrage qui fait suite à L’Anti-Œdipe paru en 1972, Deleuze-Guattari remettent en question non seulement les fondements du structuralisme analytique et marxiste, mais aussi toutes les théories, qu’elles soient de la communication ou de l’information, qui visent à une systématisation. Au système, ils substituent une sorte de patchwork qui distingue l’espace lisse de l’espace strié selon des multiplicités de devenirs, d’intensité qui interviennent à travers tous les régimes de signe. De la même façon qu’ils avaient reconstruit une politique de Kafka dans laquelle son œuvre se donnait à lire comme une machine d’écriture aux ramifications multiples qui faisait apparaître une langue arrachée au sens, à la représentation et au pouvoir, de la même façon, dans Mille plateaux, Deleuze-Guattari retraversent tous les régimes de signe : la linguistique et l’écriture bien sûr mais aussi la musique, la philosophie, la psychiatrie, l’économie et l’histoire : celle des peuples et celle de l’appareil d’État. Chacun de ces ensembles constitue un plateau c’est-à-dire “ une région continue d’intensités ” et tous ces plateaux qui s’enchevêtrent, dessinent des combinaisons, perpétuelles entre des forces majeures et mineures qui forment la trame de Mille plateaux. En effet, il ne s’agit pas de distinguer entre majeur et mineur, mais de concevoir leur devenir, étant entendu qu’il n’y a de devenir que minoritaire. Et c’est un des grands intérêts de cet ouvrage que de ne jamais se poser en institution. Deleuze-Guattari ne s’intéressent qu’aux transformations du champ social à travers ses lignes de fuite qui concernent les éléments de l’art, de la science et de la politique. L'Académisme et ses fantasmes / Michel Thevoz
Titre : L'Académisme et ses fantasmes Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Thevoz, Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 1980 Collection : Critique Importance : 165 p. Format : ill., 22 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-0318-9 Langues : Français Catégories : Académisme Artistes : GLEYRE, Charles L'Académisme et ses fantasmes [texte imprimé] / Michel Thevoz, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 1980 . - 165 p. ; ill., 22 cm.. - (Critique) .
ISBN : 978-2-7073-0318-9
Langues : Français
Catégories : Académisme Artistes : GLEYRE, Charles Hermes V : le passage du nord-ouest / Michel Serres
PermalinkLe Réel : traité de l'idiotie / Clément Rosset
PermalinkL'Image-mouvement / Gilles Deleuze
PermalinkHomo academicus / Pierre Bourdieu
PermalinkLa Peinture incarnée / Georges Didi-Huberman
PermalinkLe Monde et le pantalon / Samuel Beckett
PermalinkL'Objet singulier / Clément Rosset
PermalinkL'image-temps : cinéma 2 / Gilles Deleuze
PermalinkAsphyxiante culture / Jean Dubuffet
PermalinkL'Invention d'un tableau : "la tempête" de Giorgione / Salvatore Settis
Permalink