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Férale / Charlotte Cosson
Titre : Férale : réensauvager l'art pour mieux cultiver la terre Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Cosson, Auteur ; Damien Manuel, Illustrateur Editeur : [Arles] : Actes Sud Année de publication : 2023 Importance : 1 vol. (334 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-330-17549-8 Note générale : En appendice, sites internet des artistes cités
Bibliogr., 3 p.Langues : Français Catégories : Art et écologie
Permaculture
PlantesIndex. décimale : 704.943 4 Résumé : L’art peut-il permettre de mieux voir la vie qui fourmille dans nos quotidiens ? Pour créer un pont entre art et écologie, Charlotte Cosson est partie à la recherche d’oeuvres tournées vers la terre et le monde sauvage : des poules oeuvres d’art, des champignons qui forment des temples, des peintures qui sauvent des forêts, un collectif qui danse pour les plantes… Férale présente un art qui compose avec la faune et la flore et déracine les mécanismes de “maîtres et dominateurs” pour les remplacer par des gestes d’humilité vis-à-vis de celles et ceux sans qui respirer serait impossible. Pensé depuis un lieu dédié à la permaculture, cet essai répond à des problématiques concrètes avec des œuvres issues de cette nouvelle sensibilité d’amour pour les vivants. De saison en saison, l’autrice y invite à s’approprier de nouvelles manières d’arpenter la vie – de celles qui, justement, la rendent plus savoureuse. [4e de couv.] Férale : réensauvager l'art pour mieux cultiver la terre [texte imprimé] / Charlotte Cosson, Auteur ; Damien Manuel, Illustrateur . - [Arles] : Actes Sud, 2023 . - 1 vol. (334 p.) : ill. en coul. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-330-17549-8
En appendice, sites internet des artistes cités
Bibliogr., 3 p.
Langues : Français
Catégories : Art et écologie
Permaculture
PlantesIndex. décimale : 704.943 4 Résumé : L’art peut-il permettre de mieux voir la vie qui fourmille dans nos quotidiens ? Pour créer un pont entre art et écologie, Charlotte Cosson est partie à la recherche d’oeuvres tournées vers la terre et le monde sauvage : des poules oeuvres d’art, des champignons qui forment des temples, des peintures qui sauvent des forêts, un collectif qui danse pour les plantes… Férale présente un art qui compose avec la faune et la flore et déracine les mécanismes de “maîtres et dominateurs” pour les remplacer par des gestes d’humilité vis-à-vis de celles et ceux sans qui respirer serait impossible. Pensé depuis un lieu dédié à la permaculture, cet essai répond à des problématiques concrètes avec des œuvres issues de cette nouvelle sensibilité d’amour pour les vivants. De saison en saison, l’autrice y invite à s’approprier de nouvelles manières d’arpenter la vie – de celles qui, justement, la rendent plus savoureuse. [4e de couv.] La fin des forêts / Cécile Debray
Titre : La fin des forêts : [4e édition du festival ¡ VIVA VILLA ! ; Collection Lambert, Avignon ; 11 octobre-10 novembre 2019] Type de document : texte imprimé Auteurs : Cécile Debray, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Avignon : Collection Lambert en Avignon Année de publication : 2019 Importance : 190 p. Présentation : ill. en noir et en coul. Langues : Français Catégories : Anthropocène
Arbres
Art et écologie
PaysageRésumé : Cet hiver sont tombés les pins parasols centenaires de la Villa Médicis. Signe brutal et fédérateur, les cimes majestueuses et historiques de ces arbres disparus projettent leur ombre mélancolique, inspirante et tutélaire sur l’édition 2019 de ¡Viva Villa!. La figure de l’arbre surgit, hante l’imaginaire et la pensée actuelle comme la rémanence d’un monde en passe de disparaître. Cette pensée écologique et politique habite nombre d’œuvres des artistes des trois prestigieuses résidences artistiques – Villa Médicis, Casa de Velázquez et Villa Kujoyama. La silhouette de l’arbre filmée, son tronc sculpté suspendu sur une scène, des forêts de bambous muséifiées comme un topos menacé à l’ère de l’anthropocène, une flore classifiée, de l’invasion des forêts d’eucalyptus à la vertu phytothérapeutique et symbolique de l’ail ou celle de l’indigo. Du paysage déforesté et vidé de ses villages dont l’indécision poétique hésite entre présent et effondrement annoncé, scènes de dystopies d’un monde ébranlé jusqu’aux nouveaux objets et matériaux hybrides, il semble que chacun développe dans sa discipline – vidéo, peinture, écriture, théâtre, danse, performance, sculpture, gravure, architecture, musique, design et métiers d’art, cinéma...- des imaginaires écologiques et poétiques marqués par cette « vie des plantes » (Emanuele Coccia) menacée. Reliés à l’histoire, à une histoire culturelle puissante, beaucoup tentent de penser la manière dont ce lien au passé subsiste, irrigue notre présent : sont ainsi évoqués la Bataille de San Romano de Paolo Uccello et sa forêt de lances, les antécédents d’une pensée écologique avec les figures de Joseph Beuys (Défense de la nature, 1977) ou de Robert Smithson en visite à Rome, la notion d’effondrement selon Aby Warburg (La Guérison infinie) entre le moi et le monde, l’approche organique de Buñuel, le matiérisme de Millares et de Tapiès, l’hybridation animiste de la culture Dogon et de l’usage du smartphone, le spiritisme d’un Edison annonçant un au-delà numérique, l’effacement selon Maurice Blanchot, Claude Régy ou Louis-René des Forêts, l’actionnisme japonais Gutaï et la notion de don, le phénomène de l’irradiation, celui de la danse butō ... L’exposition offre ainsi un cheminement en six chapitres qui permet d’entrevoir tout d’abord les projections d’un futur, entre effondrements et hétérotopies puis les descriptions diverses de notre présent anthropocène autour d’un ensemble cohérent d’espèce d’herbiers développant des imaginaires écologiques et une réflexion sur le temps organique et corporel sous l’image de la mémoire des éléphants enfin, la question du lien au passé est posée à travers les vestiges et images résurgentes et les anamorphoses ou hybridations.Une programmation de musique, de films, théâtre et danse mêle mouvements, images, textes et sons à cette errance en art. Cécile Debray, Commissaire La fin des forêts : [4e édition du festival ¡ VIVA VILLA ! ; Collection Lambert, Avignon ; 11 octobre-10 novembre 2019] [texte imprimé] / Cécile Debray, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Avignon : Collection Lambert en Avignon, 2019 . - 190 p. : ill. en noir et en coul.
Langues : Français
Catégories : Anthropocène
Arbres
Art et écologie
PaysageRésumé : Cet hiver sont tombés les pins parasols centenaires de la Villa Médicis. Signe brutal et fédérateur, les cimes majestueuses et historiques de ces arbres disparus projettent leur ombre mélancolique, inspirante et tutélaire sur l’édition 2019 de ¡Viva Villa!. La figure de l’arbre surgit, hante l’imaginaire et la pensée actuelle comme la rémanence d’un monde en passe de disparaître. Cette pensée écologique et politique habite nombre d’œuvres des artistes des trois prestigieuses résidences artistiques – Villa Médicis, Casa de Velázquez et Villa Kujoyama. La silhouette de l’arbre filmée, son tronc sculpté suspendu sur une scène, des forêts de bambous muséifiées comme un topos menacé à l’ère de l’anthropocène, une flore classifiée, de l’invasion des forêts d’eucalyptus à la vertu phytothérapeutique et symbolique de l’ail ou celle de l’indigo. Du paysage déforesté et vidé de ses villages dont l’indécision poétique hésite entre présent et effondrement annoncé, scènes de dystopies d’un monde ébranlé jusqu’aux nouveaux objets et matériaux hybrides, il semble que chacun développe dans sa discipline – vidéo, peinture, écriture, théâtre, danse, performance, sculpture, gravure, architecture, musique, design et métiers d’art, cinéma...- des imaginaires écologiques et poétiques marqués par cette « vie des plantes » (Emanuele Coccia) menacée. Reliés à l’histoire, à une histoire culturelle puissante, beaucoup tentent de penser la manière dont ce lien au passé subsiste, irrigue notre présent : sont ainsi évoqués la Bataille de San Romano de Paolo Uccello et sa forêt de lances, les antécédents d’une pensée écologique avec les figures de Joseph Beuys (Défense de la nature, 1977) ou de Robert Smithson en visite à Rome, la notion d’effondrement selon Aby Warburg (La Guérison infinie) entre le moi et le monde, l’approche organique de Buñuel, le matiérisme de Millares et de Tapiès, l’hybridation animiste de la culture Dogon et de l’usage du smartphone, le spiritisme d’un Edison annonçant un au-delà numérique, l’effacement selon Maurice Blanchot, Claude Régy ou Louis-René des Forêts, l’actionnisme japonais Gutaï et la notion de don, le phénomène de l’irradiation, celui de la danse butō ... L’exposition offre ainsi un cheminement en six chapitres qui permet d’entrevoir tout d’abord les projections d’un futur, entre effondrements et hétérotopies puis les descriptions diverses de notre présent anthropocène autour d’un ensemble cohérent d’espèce d’herbiers développant des imaginaires écologiques et une réflexion sur le temps organique et corporel sous l’image de la mémoire des éléphants enfin, la question du lien au passé est posée à travers les vestiges et images résurgentes et les anamorphoses ou hybridations.Une programmation de musique, de films, théâtre et danse mêle mouvements, images, textes et sons à cette errance en art. Cécile Debray, Commissaire Ghost Nature
Titre : Ghost Nature : [exposition, 2014, Gallery 400, Chicago ; Bourges, La Box] Type de document : texte imprimé Auteurs : Caroline Picard, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Gallery 400, Editeur scientifique ; La Box, Editeur scientifique Editeur : Chicago : Green Lantern Press Année de publication : 2014 Importance : 1 vol. (175 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-0-9884185-4-7 Langues : Anglais Français Catégories : Art -- 21e siècle
Art et écologie
Nature
PaysageRésumé : En s’appuyant sur un large éventail de médias, parmi lesquels la performance, la sculpture, la photographie, le dessin et la vidéo, les artistes présentés dans l’exposition « Ghost Nature » investissent les frontières et les liens entre l’expérience humaine et non humaine, déjouant les stratégies de représentation du paysage à travers lesquelles ces sites ont été historiquement analysés. Note de contenu : Introduction par Érik Bullot. Contributions de Timothy Morton, Graham Harman, Laurie Palmer, Caroline Picard, Joao Florencio, Nettrice Gaskins et Jamila Woods.
Avec les artistes Sebastian Alvarez, Art Orienté objet, Jeremy Bolen, Irina Botea, Robert Burnier, Marcus Coates, Every house has a door, Assaf Evron, Carrie Gundersdorf, Institute of Critical Zoologists, Jenny Kendler, Devin King, Stephen Lapthisophon, Milan Metthey, Rebecca Mir, Heidi Norton, Akosua Adoma Owusu, Tessa Siddle, et Xaviera Simmons.
Traduction par Jean-François Caro, Jeanne Trombetta et Sophian Bourire.Ghost Nature : [exposition, 2014, Gallery 400, Chicago ; Bourges, La Box] [texte imprimé] / Caroline Picard, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Gallery 400, Editeur scientifique ; La Box, Editeur scientifique . - Chicago : Green Lantern Press, 2014 . - 1 vol. (175 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm.
ISBN : 978-0-9884185-4-7
Langues : Anglais Français
Catégories : Art -- 21e siècle
Art et écologie
Nature
PaysageRésumé : En s’appuyant sur un large éventail de médias, parmi lesquels la performance, la sculpture, la photographie, le dessin et la vidéo, les artistes présentés dans l’exposition « Ghost Nature » investissent les frontières et les liens entre l’expérience humaine et non humaine, déjouant les stratégies de représentation du paysage à travers lesquelles ces sites ont été historiquement analysés. Note de contenu : Introduction par Érik Bullot. Contributions de Timothy Morton, Graham Harman, Laurie Palmer, Caroline Picard, Joao Florencio, Nettrice Gaskins et Jamila Woods.
Avec les artistes Sebastian Alvarez, Art Orienté objet, Jeremy Bolen, Irina Botea, Robert Burnier, Marcus Coates, Every house has a door, Assaf Evron, Carrie Gundersdorf, Institute of Critical Zoologists, Jenny Kendler, Devin King, Stephen Lapthisophon, Milan Metthey, Rebecca Mir, Heidi Norton, Akosua Adoma Owusu, Tessa Siddle, et Xaviera Simmons.
Traduction par Jean-François Caro, Jeanne Trombetta et Sophian Bourire.Le jardins aux habitants·es / Robert Milin
Titre : Le jardins aux habitants·es Type de document : texte imprimé Auteurs : Robert Milin ; Adelaïde Blanc ; Éric Chauvier ; Gilles Clément ; Ophélie Naessens (1985-....) Editeur : Paris : Palais de Tokyo Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (184 p.) Présentation : ill. en couleur Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84711-140-8 Langues : Français Catégories : Art et écologie
Jardinage urbain
Jardins
Musées
Paris (France)
Plantes
Villes -- Aspect socialRésumé : Créé en 2002, à l'ouverture du Palais de Tokyo, le Jardin aux habitant·es est une ?uvre de l'artiste Robert Milin réalisée en collaboration avec des jardinier·es amateur·rices. Depuis vingt ans, ce processus au long cours de transformations mutuelles est l'une des interfaces possibles entre l'art, un environnement, les personnes qui en prennent soin et celles qui le traversent ou qui le visitent. Ce livre comprend des textes d'Adélaïde Blanc, Éric Chauvier, Gilles Clément, Ophélie Naessens, un entretien avec Robert Milin par Guy Tortosa, ainsi qu'un grand ensemble documentaire revenant en images sur le Jardin aux habitant·es, depuis sa conception à nos jours. Coédion Centre national des arts plastiques (Cnap) / Palais de Tokyo. Le jardins aux habitants·es [texte imprimé] / Robert Milin ; Adelaïde Blanc ; Éric Chauvier ; Gilles Clément ; Ophélie Naessens (1985-....) . - Paris : Palais de Tokyo, 2022 . - 1 vol. (184 p.) : ill. en couleur ; 24 cm.
ISBN : 978-2-84711-140-8
Langues : Français
Catégories : Art et écologie
Jardinage urbain
Jardins
Musées
Paris (France)
Plantes
Villes -- Aspect socialRésumé : Créé en 2002, à l'ouverture du Palais de Tokyo, le Jardin aux habitant·es est une ?uvre de l'artiste Robert Milin réalisée en collaboration avec des jardinier·es amateur·rices. Depuis vingt ans, ce processus au long cours de transformations mutuelles est l'une des interfaces possibles entre l'art, un environnement, les personnes qui en prennent soin et celles qui le traversent ou qui le visitent. Ce livre comprend des textes d'Adélaïde Blanc, Éric Chauvier, Gilles Clément, Ophélie Naessens, un entretien avec Robert Milin par Guy Tortosa, ainsi qu'un grand ensemble documentaire revenant en images sur le Jardin aux habitant·es, depuis sa conception à nos jours. Coédion Centre national des arts plastiques (Cnap) / Palais de Tokyo. Lamarche-Ovize : Dinosaures végétariens / Musée de l'Abbaye de Sainte Croix
Titre : Lamarche-Ovize : Dinosaures végétariens Type de document : texte imprimé Auteurs : Musée de l'Abbaye de Sainte Croix, Collectivité éditrice Année de publication : 2023 Importance : 1 volume (176 pages) Présentation : illustrations Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-913981-79-9 Note générale : Catalogue de l'exposition tenue au Musée d'Art moderne et contemporain dans l'abbaye Sainte-Croix, Sables-d'Olonnes, du 17 juin au 19 novembre 2023 Langues : Français Anglais Catégories : Animaux
Art et écologie
Catalogues d'exposition
Dessin
PaysageIndex. décimale : 750 Résumé : Nouvelle monographie, centrée sur les dernières années de travail du duo autour des problématiques animales, paysagères et écologique qui le traversent. Lamarche-Ovize : Dinosaures végétariens [texte imprimé] / Musée de l'Abbaye de Sainte Croix, Collectivité éditrice . - 2023 . - 1 volume (176 pages) : illustrations ; 24 cm.
ISBN : 978-2-913981-79-9
Catalogue de l'exposition tenue au Musée d'Art moderne et contemporain dans l'abbaye Sainte-Croix, Sables-d'Olonnes, du 17 juin au 19 novembre 2023
Langues : Français Anglais
Catégories : Animaux
Art et écologie
Catalogues d'exposition
Dessin
PaysageIndex. décimale : 750 Résumé : Nouvelle monographie, centrée sur les dernières années de travail du duo autour des problématiques animales, paysagères et écologique qui le traversent. Lois Weinberger / Klocker Stiftung
PermalinkLois Weinberger
PermalinkMaria Thereza Alves
PermalinkMorts ou vifs / Julie Sermon
PermalinkNature exposée / Agnès Foiret-Collet in L'Art même, 78 (2ème quadrimestre 2019)
PermalinkLa pensée écologique / Timothy Morton
PermalinkProjeto Entre Serras, rede de arte contemporânea, entre agricultura e biodiversidad / Carlos Casteleira
PermalinkQui parle ? / Aliocha Imhoff
PermalinkRehab / Bénédicte Ramade
PermalinkTraité d'architecture sauvage / Jean-Paul Loubes
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