| Titre : | Field recording : l'usage sonore du monde en 100 albums | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Alexandre Galand (1979-....), Auteur | | Editeur : | [Marseille] : le Mot et le reste | | Année de publication : | 2012 | | Collection : | Formes (Marseille), ISSN 1952-0069 | | Importance : | 1 vol. (305 p.) | | Présentation : | ill., couv. ill. en coul. | | Format : | 21 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-36054-070-9 | | Note générale : | Contient trois interviews : avec Jean C. Roché, Bernard Lortat-Jacob et Peter Cusack
Discogr. p. 283-293. Bibliogr. p. 295-302. Webliogr. p. 303-304. Notes discogr. | | Langues : | Français | | Catégories : | Paysage sonore (musique)
| | Index. décimale : | 780.89 | | Résumé : | "Le field recording, ou enregistrement de terrain, est une pratique apparue logiquement à la fin du xixe siècle avec l’invention de systèmes d’enregistrement, de plus en plus portables. Peu à peu, le studio perd de sa fatalité et l’homme peut partir par les chemins pour capter quantité de musiques et de sons. Les premiers à se lancer sont les ethnomusicologues et les audio-naturalistes. Les uns sont en quête des musiques de divers peuples de la terre, vivant souvent loin des grandes villes et de leurs facilités logistiques. Les autres souhaitent quant à eux conserver la trace des sons de la nature." [extrait] |
Field recording : l'usage sonore du monde en 100 albums [texte imprimé] / Alexandre Galand (1979-....), Auteur . - [Marseille] : le Mot et le reste, 2012 . - 1 vol. (305 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm. - ( Formes (Marseille), ISSN 1952-0069) . ISBN : 978-2-36054-070-9 Contient trois interviews : avec Jean C. Roché, Bernard Lortat-Jacob et Peter Cusack
Discogr. p. 283-293. Bibliogr. p. 295-302. Webliogr. p. 303-304. Notes discogr. Langues : Français | Catégories : | Paysage sonore (musique)
| | Index. décimale : | 780.89 | | Résumé : | "Le field recording, ou enregistrement de terrain, est une pratique apparue logiquement à la fin du xixe siècle avec l’invention de systèmes d’enregistrement, de plus en plus portables. Peu à peu, le studio perd de sa fatalité et l’homme peut partir par les chemins pour capter quantité de musiques et de sons. Les premiers à se lancer sont les ethnomusicologues et les audio-naturalistes. Les uns sont en quête des musiques de divers peuples de la terre, vivant souvent loin des grandes villes et de leurs facilités logistiques. Les autres souhaitent quant à eux conserver la trace des sons de la nature." [extrait] |
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