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Éditeur L'Arachnéen
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Affiner la rechercheLa trame et le hasard / Jean-François Chevrier
Titre : La trame et le hasard Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Chevrier, Auteur Editeur : Paris : L'Arachnéen Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. (108 p.) Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-9529302-3-9 Langues : Français Catégories : Critique d'art
Esthétique
HasardRésumé : À partir de ces deux termes, « trame » et « hasard », l’auteur entreprend dans l’essai principal du livre un récit de l’art moderne (Ernst, Arp et Taeuber, Cage) et contemporain (Kelly, Polke) qui croise la littérature (Mallarmé, Nietzsche, Musil, Walser) et l’art issus du surréalisme (collage, improvisation, combinaison aléatoire, hallucination, etc.). La seconde partie du recueil rassemble quatre textes qui portent respectivement sur un écrivain, deux artistes femmes et un tandem d’architectes. Des énoncés éclatés de Cobble Stone Gardens de William Burroughs, aux projets de l’agence suisse Herzog et de Meuron qui associent structure et ornement, en passant par les grilles graphiques et chorégraphiques de Sophie Tauber-Arp et la redécouverte par Anni Albers des miniatures mexicaines du Mexique, Jean-François Chevrier file la métaphore de la trame et du hasard par-delà les disciplines et le temps. [Résumé de l'éditeur] La trame et le hasard [texte imprimé] / Jean-François Chevrier, Auteur . - Paris : L'Arachnéen, 2010 . - 1 vol. (108 p.) : ill. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-9529302-3-9
Langues : Français
Catégories : Critique d'art
Esthétique
HasardRésumé : À partir de ces deux termes, « trame » et « hasard », l’auteur entreprend dans l’essai principal du livre un récit de l’art moderne (Ernst, Arp et Taeuber, Cage) et contemporain (Kelly, Polke) qui croise la littérature (Mallarmé, Nietzsche, Musil, Walser) et l’art issus du surréalisme (collage, improvisation, combinaison aléatoire, hallucination, etc.). La seconde partie du recueil rassemble quatre textes qui portent respectivement sur un écrivain, deux artistes femmes et un tandem d’architectes. Des énoncés éclatés de Cobble Stone Gardens de William Burroughs, aux projets de l’agence suisse Herzog et de Meuron qui associent structure et ornement, en passant par les grilles graphiques et chorégraphiques de Sophie Tauber-Arp et la redécouverte par Anni Albers des miniatures mexicaines du Mexique, Jean-François Chevrier file la métaphore de la trame et du hasard par-delà les disciplines et le temps. [Résumé de l'éditeur] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 021018 701.18 CHE Livre Médiathèque Fonds général Disponible Les relations du corps / Jean-François Chevrier
Titre : Les relations du corps Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Chevrier, Auteur Editeur : Paris : L'Arachnéen Année de publication : 2011 Importance : 1 vol. (243 p.) Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2955-293027-7 Langues : Français Catégories : Acconci, Vito (1940-2017)
Ballo Charmet, Marina (1952-....)
Coplans, John
Corps humain
Esthétique
Hausmann, Raoul (1886-1971)
Levitt, Helen (1913-2009)
Matisse, Henri (1869-1954)
Rinke, Klaus (1939-....)Résumé : Jean-François Chevrier aborde le thème des « relations du corps » avec humour, contre le cynisme « post-humain » et le pathos compassionnel. Il dégage deux thèmes : celui de « l’académie hors d’elle-même », et celui du « monstre » altéré sous l’effet des jeux de l’imagination ou de la perception. Son approche privilégie l’esprit de jeu, l’expérimentation, la remise en cause d’une vision du corps stable, centrée sur l’identité et l’appropriation de l’espace. Ce parti pris lui permet d’associer des œuvres historiques majeures et des travaux des années 1970 ou contemporains moins en quête d’objets que d’expériences sur l’espace, le corps et le langage. Un entretien avec le grand médiéviste Jurgis Baltrusaitis, historien des anamorphoses et des dérèglements, ouvre le livre. Il est suivi d’un long essai inédit sur l’œuvre d’Henri Matisse, dans lequel Jean-François Chevrier propose une analyse sexuée du tracé comme emprise, et met l’accent sur l’« attraction des corps » ordonnée/désordonnée par l’artiste à partir de la verticalité du fil à plomb. Un entretien, un essai et un cahier d’images sont ensuite consacrés à l’œuvre du critique-artiste-photographe John Coplans, aux variations plastiques savantes et infinies qu’il fait subir à son propre corps, à ses jeux tragi-comiques sur la régression archaïque ou l’ambivalence sexuelle. Après cet hommage à Coplans, il s’entretient avec deux artistes majeurs de la scène des années 1970, Vito Acconci et Klaus Rinke, qui mettent leurs corps l’un à l’épreuve du langage ou de la page, l’autre à l’épreuve de l’ubiquité de l’eau. Ces expériences trouvent un écho dans les photographies d’enfants de la rue d’Helen Levitt et dans la vision « périphérique » du corps de Marina Ballo Charmet. L’auteur consacre enfin deux essais à Raoul Hausmann : le premier décrit les étapes qui ont conduit l’artiste de ses expériences de photomontages dadaïstes à une conception de la photographie antimécaniste et anti-illusionniste, et met en relief ses recherches sur la multisensorialité ; le second se concentre sur le partage entre l’audible et le visible, mis en rapport avec la tentative de Joyce (dans Ulysses) de créer une « épopée du corps humain ». Le recueil s’achève, via la cinéaste Maya Deren, par un éloge savoureux des miasmes, des démons et du « contact insolite ». [Résumé de l'éditeur] Les relations du corps [texte imprimé] / Jean-François Chevrier, Auteur . - Paris : L'Arachnéen, 2011 . - 1 vol. (243 p.) : ill. ; 22 cm.
ISSN : 978-2955-293027-7
Langues : Français
Catégories : Acconci, Vito (1940-2017)
Ballo Charmet, Marina (1952-....)
Coplans, John
Corps humain
Esthétique
Hausmann, Raoul (1886-1971)
Levitt, Helen (1913-2009)
Matisse, Henri (1869-1954)
Rinke, Klaus (1939-....)Résumé : Jean-François Chevrier aborde le thème des « relations du corps » avec humour, contre le cynisme « post-humain » et le pathos compassionnel. Il dégage deux thèmes : celui de « l’académie hors d’elle-même », et celui du « monstre » altéré sous l’effet des jeux de l’imagination ou de la perception. Son approche privilégie l’esprit de jeu, l’expérimentation, la remise en cause d’une vision du corps stable, centrée sur l’identité et l’appropriation de l’espace. Ce parti pris lui permet d’associer des œuvres historiques majeures et des travaux des années 1970 ou contemporains moins en quête d’objets que d’expériences sur l’espace, le corps et le langage. Un entretien avec le grand médiéviste Jurgis Baltrusaitis, historien des anamorphoses et des dérèglements, ouvre le livre. Il est suivi d’un long essai inédit sur l’œuvre d’Henri Matisse, dans lequel Jean-François Chevrier propose une analyse sexuée du tracé comme emprise, et met l’accent sur l’« attraction des corps » ordonnée/désordonnée par l’artiste à partir de la verticalité du fil à plomb. Un entretien, un essai et un cahier d’images sont ensuite consacrés à l’œuvre du critique-artiste-photographe John Coplans, aux variations plastiques savantes et infinies qu’il fait subir à son propre corps, à ses jeux tragi-comiques sur la régression archaïque ou l’ambivalence sexuelle. Après cet hommage à Coplans, il s’entretient avec deux artistes majeurs de la scène des années 1970, Vito Acconci et Klaus Rinke, qui mettent leurs corps l’un à l’épreuve du langage ou de la page, l’autre à l’épreuve de l’ubiquité de l’eau. Ces expériences trouvent un écho dans les photographies d’enfants de la rue d’Helen Levitt et dans la vision « périphérique » du corps de Marina Ballo Charmet. L’auteur consacre enfin deux essais à Raoul Hausmann : le premier décrit les étapes qui ont conduit l’artiste de ses expériences de photomontages dadaïstes à une conception de la photographie antimécaniste et anti-illusionniste, et met en relief ses recherches sur la multisensorialité ; le second se concentre sur le partage entre l’audible et le visible, mis en rapport avec la tentative de Joyce (dans Ulysses) de créer une « épopée du corps humain ». Le recueil s’achève, via la cinéaste Maya Deren, par un éloge savoureux des miasmes, des démons et du « contact insolite ». [Résumé de l'éditeur] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002190 704-942 CHE Livre Médiathèque Fonds général Disponible Des territoires / Jean-François Chevrier
Titre : Des territoires Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Chevrier, Auteur Editeur : Paris : L'Arachnéen Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. (213 p.) Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-9529302-6-0 Langues : Français Catégories : Critique d'art
Espace (art)
Territoire nationalRésumé : Dans les années 1990, à la faveur des débats politiques et identitaires suscités par les guerres, la résurgence des nationalismes et les phénomènes d’immigration, la notion de « territoire » envahit le champ de l’art. Dans ce recueil, Jean-François Chevrier met en garde contre l’instrumentalisation artistique de cette notion ; il propose de l’historiciser et de l’éclater en de multiples sens, complémentaires et contradictoires. Le livre associe des analyses thématiques et monographiques (Jeff Wall, Ahlam Shibli, August Kotzsch, Patrick Faigenbaum, Marina Ballo Charmet, Peter Friedl, Robert Adams et Barnett Newman). Une partie de ces textes a été écrite dans le sillage de la préparation de la Documenta X (1997), à laquelle Jean-François Chevrier fut associé, et dans l’ambiance électrique du séminaire « Des Territoires » qui préparait l’exposition qui eut lieu à l’École nationale des beaux-arts de Paris à l’automne 2001. La notion d’« intimité territoriale », placée à la croisée de l’éthologie, de la géographie, de la sociologie et de l’écologie urbaine, fait l’objet d’un premier ensemble de textes. Un deuxième, articulé ironiquement au précédent par un entretien avec Rem Koolhaas, s’ordonne autour de la notion de territoire comme « génie du lieu ». L’investigation par le regard d’un territoire, imaginaire et concret, inspire ensuite un cahier d’images qui rappelle l’importance de la gravure pour la photographie en reprenant à Raymond Roussel l’idée d’une plongée à l’intérieur de la vue. Un troisième ensemble de textes dresse une histoire rapide de la « photogénie urbaine » en insistant sur l’urgence à ne pas dissocier la question des représentations de l’urbain de l’enquête foucaldienne sur le biopouvoir. Trois textes monographiques achèvent le livre : l’un porte sur la normalisation des « aires de jeux » (Friedl) au temps de la globalisation, l’autre sur la destruction du territoire américain de la Frontier (Adams) et le dernier, inédit, sur l’investissement anthropologique et psychique de l’espace par le dessin (Newman). Note de contenu : Contient : "Changements de dimensions", un entretien de Jean-François Chevrier avec Rem Koolhaas, tenu le 25 juin 1998 à Bruxelles. Des territoires [texte imprimé] / Jean-François Chevrier, Auteur . - Paris : L'Arachnéen, 2010 . - 1 vol. (213 p.) : ill. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-9529302-6-0
Langues : Français
Catégories : Critique d'art
Espace (art)
Territoire nationalRésumé : Dans les années 1990, à la faveur des débats politiques et identitaires suscités par les guerres, la résurgence des nationalismes et les phénomènes d’immigration, la notion de « territoire » envahit le champ de l’art. Dans ce recueil, Jean-François Chevrier met en garde contre l’instrumentalisation artistique de cette notion ; il propose de l’historiciser et de l’éclater en de multiples sens, complémentaires et contradictoires. Le livre associe des analyses thématiques et monographiques (Jeff Wall, Ahlam Shibli, August Kotzsch, Patrick Faigenbaum, Marina Ballo Charmet, Peter Friedl, Robert Adams et Barnett Newman). Une partie de ces textes a été écrite dans le sillage de la préparation de la Documenta X (1997), à laquelle Jean-François Chevrier fut associé, et dans l’ambiance électrique du séminaire « Des Territoires » qui préparait l’exposition qui eut lieu à l’École nationale des beaux-arts de Paris à l’automne 2001. La notion d’« intimité territoriale », placée à la croisée de l’éthologie, de la géographie, de la sociologie et de l’écologie urbaine, fait l’objet d’un premier ensemble de textes. Un deuxième, articulé ironiquement au précédent par un entretien avec Rem Koolhaas, s’ordonne autour de la notion de territoire comme « génie du lieu ». L’investigation par le regard d’un territoire, imaginaire et concret, inspire ensuite un cahier d’images qui rappelle l’importance de la gravure pour la photographie en reprenant à Raymond Roussel l’idée d’une plongée à l’intérieur de la vue. Un troisième ensemble de textes dresse une histoire rapide de la « photogénie urbaine » en insistant sur l’urgence à ne pas dissocier la question des représentations de l’urbain de l’enquête foucaldienne sur le biopouvoir. Trois textes monographiques achèvent le livre : l’un porte sur la normalisation des « aires de jeux » (Friedl) au temps de la globalisation, l’autre sur la destruction du territoire américain de la Frontier (Adams) et le dernier, inédit, sur l’investissement anthropologique et psychique de l’espace par le dessin (Newman). Note de contenu : Contient : "Changements de dimensions", un entretien de Jean-François Chevrier avec Rem Koolhaas, tenu le 25 juin 1998 à Bruxelles. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 007482 701-18 CHE Livre Médiathèque Fonds général Disponible L'hallucination artistique / Jean-François Chevrier
Titre : L'hallucination artistique : de William Blake à Sigmar Polke Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Chevrier, Auteur Editeur : Paris : L'Arachnéen Année de publication : 2012 Importance : 1 vol. (683 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-9529302-9-1 Note générale : Index Langues : Français Catégories : Art
Illustrations, images, etc.
PerceptionRésumé : L’Hallucination artistique, le sixième de la série d’ouvrages de Jean-François Chevrier publiée à L’Arachnéen, n’est pas un recueil mais un livre à part entière. Il « raconte », en dix-huit chapitres inédits, l’histoire du rôle qu’a joué l’hallucination dans la création artistique au cours des deux derniers siècles, depuis la naissance de la psychiatrie, au début du XIXe siècle, jusqu’au début du XXIe siècle ; il s’achève avec un chapitre sur l’œuvre du peintre allemand Sigmar Polke, mort en 2010.Le sujet de ce livre est l’hallucination artistique. À ce titre il s’apparente et se distingue des nombreux ouvrages et expositions qui traitent de sujets analogues : l’hypnose, l’occultisme, l’art brut. En effet, il ne porte pas sur les manifestations de l’hallucination. Il considère l’hallucination comme un élément constitutif de la perception et de l’imagination artistiques, indépendamment de la « folie » qui a valu à certains artistes et poètes d’être internés. L’hallucination, dans ce livre, n’est donc pas considérée dans son acception pathologique, mais en tant qu’elle transforme la vue en vision, la description en imagination, la réalité en images. Elle a donc une fonction créatrice, critique, voire subversive : dans la lignée de Rimbaud, reprise plus tard par le surréalisme, l’hallucination « positive » est une méthode de voyance, une stimulation de l’imagination ; dans la lignée de Mallarmé, l’hallucination « négative » est une protestation contre l’encombrement des images sensibles. Cette approche de l’art et la littérature (car le livre associe définitivement les deux domaines) par l’hallucination est entièrement nouvelle. Jean-François Chevrier a opté pour un récit chronologique, de manière à faire apparaître une histoire de l’hallucination, telle qu’elle s’est modifiée à la faveur des événements historiques et des courants de pensée, et telle qu’à son tour elle a influé sur les images et les formes. Après deux chapitres introductifs, dont l’un porte sur le réalisme et Flaubert – qui inventa la notion d’« hallucination artistique » – et l’autre sur les définitions de l’hallucination proposées par la psychiatrie naissante, l’auteur s’attache essentiellement à des œuvres (voir le sommaire). Les chapitres sont émaillés de citations et d’analyses détaillées des textes, tableaux, gravures, films. Tout en suivant une ligne chronologique, il reconstitue des réseaux de correspondances par-delà l’espace et le temps : Polke se prétend en relation télépathique avec Blake et Max Klinger, Rimbaud critique Turner, Baudelaire fait l’éloge de Meryon contre la vue descriptive, Munch et Strindberg se retrouvent à Paris, Artaud rejoue Nerval, Kafka est hanté par Cervantès et Dostoïevski, Pollock nomme un tableau d’après Joyce, Bruce Conner reprend Dante et Blake à son compte… L’auteur mime la machinerie hallucinatoire, rejoue le principe des associations inconscientes, et tisse ainsi une sidérante toile arachnéenne…. L’Hallucination artistique s’accompagne de plus de cent quatre vingt illustrations en couleur et en noir et blanc, reproduites en début ou fin de chaque chapitre. Cet ensemble d’images reconstitue deux siècles d’une histoire de l’art que nous croyons connaître, celle à laquelle appartiennent Goya, Géricault, Turner, Redon, Picasso, Munch, Grosz, Miró, Tanning, Conner. Le livre de Jean-François Chevrier déplace le regard ; il propose aux spectateurs-lecteurs que nous sommes de « participer » au phénomène de la création artistique, en cherchant à voir au travers des formes ce qui hanta l’artiste et ce qui nous hante. Par là même il s’associe à la protestation contre l’idéologique consumériste et comportementaliste actuelle, qui veut réduire l’individu à la performance et à la maîtrise de ses émotions. [Résumé de l'éditeur] L'hallucination artistique : de William Blake à Sigmar Polke [texte imprimé] / Jean-François Chevrier, Auteur . - Paris : L'Arachnéen, 2012 . - 1 vol. (683 p.) : ill. en coul. ; 23 cm.
ISBN : 978-2-9529302-9-1
Index
Langues : Français
Catégories : Art
Illustrations, images, etc.
PerceptionRésumé : L’Hallucination artistique, le sixième de la série d’ouvrages de Jean-François Chevrier publiée à L’Arachnéen, n’est pas un recueil mais un livre à part entière. Il « raconte », en dix-huit chapitres inédits, l’histoire du rôle qu’a joué l’hallucination dans la création artistique au cours des deux derniers siècles, depuis la naissance de la psychiatrie, au début du XIXe siècle, jusqu’au début du XXIe siècle ; il s’achève avec un chapitre sur l’œuvre du peintre allemand Sigmar Polke, mort en 2010.Le sujet de ce livre est l’hallucination artistique. À ce titre il s’apparente et se distingue des nombreux ouvrages et expositions qui traitent de sujets analogues : l’hypnose, l’occultisme, l’art brut. En effet, il ne porte pas sur les manifestations de l’hallucination. Il considère l’hallucination comme un élément constitutif de la perception et de l’imagination artistiques, indépendamment de la « folie » qui a valu à certains artistes et poètes d’être internés. L’hallucination, dans ce livre, n’est donc pas considérée dans son acception pathologique, mais en tant qu’elle transforme la vue en vision, la description en imagination, la réalité en images. Elle a donc une fonction créatrice, critique, voire subversive : dans la lignée de Rimbaud, reprise plus tard par le surréalisme, l’hallucination « positive » est une méthode de voyance, une stimulation de l’imagination ; dans la lignée de Mallarmé, l’hallucination « négative » est une protestation contre l’encombrement des images sensibles. Cette approche de l’art et la littérature (car le livre associe définitivement les deux domaines) par l’hallucination est entièrement nouvelle. Jean-François Chevrier a opté pour un récit chronologique, de manière à faire apparaître une histoire de l’hallucination, telle qu’elle s’est modifiée à la faveur des événements historiques et des courants de pensée, et telle qu’à son tour elle a influé sur les images et les formes. Après deux chapitres introductifs, dont l’un porte sur le réalisme et Flaubert – qui inventa la notion d’« hallucination artistique » – et l’autre sur les définitions de l’hallucination proposées par la psychiatrie naissante, l’auteur s’attache essentiellement à des œuvres (voir le sommaire). Les chapitres sont émaillés de citations et d’analyses détaillées des textes, tableaux, gravures, films. Tout en suivant une ligne chronologique, il reconstitue des réseaux de correspondances par-delà l’espace et le temps : Polke se prétend en relation télépathique avec Blake et Max Klinger, Rimbaud critique Turner, Baudelaire fait l’éloge de Meryon contre la vue descriptive, Munch et Strindberg se retrouvent à Paris, Artaud rejoue Nerval, Kafka est hanté par Cervantès et Dostoïevski, Pollock nomme un tableau d’après Joyce, Bruce Conner reprend Dante et Blake à son compte… L’auteur mime la machinerie hallucinatoire, rejoue le principe des associations inconscientes, et tisse ainsi une sidérante toile arachnéenne…. L’Hallucination artistique s’accompagne de plus de cent quatre vingt illustrations en couleur et en noir et blanc, reproduites en début ou fin de chaque chapitre. Cet ensemble d’images reconstitue deux siècles d’une histoire de l’art que nous croyons connaître, celle à laquelle appartiennent Goya, Géricault, Turner, Redon, Picasso, Munch, Grosz, Miró, Tanning, Conner. Le livre de Jean-François Chevrier déplace le regard ; il propose aux spectateurs-lecteurs que nous sommes de « participer » au phénomène de la création artistique, en cherchant à voir au travers des formes ce qui hanta l’artiste et ce qui nous hante. Par là même il s’associe à la protestation contre l’idéologique consumériste et comportementaliste actuelle, qui veut réduire l’individu à la performance et à la maîtrise de ses émotions. [Résumé de l'éditeur] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 012443 701-17 CHE Livre Médiathèque Fonds général Disponible Journal d'un maître d'école / Vittorio De Seta ; Federico Rossin ; Francesco Grandi
Titre : Journal d'un maître d'école Titre original : Diario di un maestro Type de document : texte imprimé Auteurs : Vittorio De Seta (1923-2011), Auteur ; Federico Rossin, Auteur ; Francesco Grandi, Auteur Editeur : Paris : L'Arachnéen Année de publication : 2019 Importance : 132 p. Présentation : 143 images Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-37367-015-8 Langues : Français Catégories : De Seta, Vittorio (1923-2011)
Écoles primaires
Italie
PédagogieRésumé : Journal d’un maître d’école : le film, un livre est un livre-DVD qui rassemble le chef d’œuvre de Vittorio De Seta (Diario di un maestro, 1973), sous-titré en français pour la première fois, et un livre largement documenté et illustré, qui porte à la fois sur la fabrication du film et sur l’utopie de la pédagogie moderne des années 1960 et 1970. Journal d'un maître d'école = Diario di un maestro [texte imprimé] / Vittorio De Seta (1923-2011), Auteur ; Federico Rossin, Auteur ; Francesco Grandi, Auteur . - Paris : L'Arachnéen, 2019 . - 132 p. : 143 images ; 23 cm.
ISBN : 978-2-37367-015-8
Langues : Français
Catégories : De Seta, Vittorio (1923-2011)
Écoles primaires
Italie
PédagogieRésumé : Journal d’un maître d’école : le film, un livre est un livre-DVD qui rassemble le chef d’œuvre de Vittorio De Seta (Diario di un maestro, 1973), sous-titré en français pour la première fois, et un livre largement documenté et illustré, qui porte à la fois sur la fabrication du film et sur l’utopie de la pédagogie moderne des années 1960 et 1970. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 018373 371 DES Livre Médiathèque Fonds général Disponible Camérer / Fernand Deligny
PermalinkOeuvre et activité / Jean-François Chevrier
PermalinkChantal Akerman, oeuvre écrite et parlée / Chantal Akerman
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