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Éditeur J. Vrin
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Affiner la rechercheL'humain et ses préfixes
Titre : L'humain et ses préfixes : une encyclopédie du transhumanisme et du posthumanisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilbert Hottois (1946-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Jean-Noël Missa, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Laurence Perbal, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : J. Vrin Année de publication : 2015 Collection : Pour demain (Paris), ISSN 0180-4847 Importance : 1 vol. (511 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7116-2536-9 Note générale : Bibliogr. p. 465-494. Index Langues : Français Catégories : Bioéthique
Philosophie -- 21e siècle
TranshumanismeIndex. décimale : 128 Résumé : Les préfixes de l’humain sont nombreux (ab- in-, para-, pré-, post-, proto-, sub-, sur-, trans-humain…). Ils invitent à réfléchir à la nature, aux limites et aux transformations de l’être humain ainsi qu’aux réactions intellectuelles et émotionnelles suscitées. Le transhumanisme risque de verser, brutalement ou imperceptiblement,dans le posthumanisme, référant à des entités qui, bien que « descendant » de l’homme, seraient aussi étrangères à celui-ci que l’espèce humaine est éloignée des formes de vie paléontologiques. Aux franges les plus audacieuses de la bioéthique, l’Encyclopédie n’écarte pas plus qu’elle ne focalise les questions éthiques. L'humain et ses préfixes : une encyclopédie du transhumanisme et du posthumanisme [texte imprimé] / Gilbert Hottois (1946-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Jean-Noël Missa, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Laurence Perbal, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : J. Vrin, 2015 . - 1 vol. (511 p.) ; 22 cm. - (Pour demain (Paris), ISSN 0180-4847) .
ISBN : 978-2-7116-2536-9
Bibliogr. p. 465-494. Index
Langues : Français
Catégories : Bioéthique
Philosophie -- 21e siècle
TranshumanismeIndex. décimale : 128 Résumé : Les préfixes de l’humain sont nombreux (ab- in-, para-, pré-, post-, proto-, sub-, sur-, trans-humain…). Ils invitent à réfléchir à la nature, aux limites et aux transformations de l’être humain ainsi qu’aux réactions intellectuelles et émotionnelles suscitées. Le transhumanisme risque de verser, brutalement ou imperceptiblement,dans le posthumanisme, référant à des entités qui, bien que « descendant » de l’homme, seraient aussi étrangères à celui-ci que l’espèce humaine est éloignée des formes de vie paléontologiques. Aux franges les plus audacieuses de la bioéthique, l’Encyclopédie n’écarte pas plus qu’elle ne focalise les questions éthiques. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 017828 128 HOT Livre Médiathèque BIBLIO Disponible Empire et décor / Pierre Caye
Titre : Empire et décor : L'architecture et la question de la technique à l'âge humaniste et classique Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Caye, Auteur ; Didier Laroque, Illustrateur Editeur : Paris : J. Vrin Année de publication : 1999 Collection : Philologie et Mercure (Paris), ISSN 0985-4924 Importance : 1 vol. (156 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7116-1385-4 Prix : 22.87€ Note générale : Notes bibliogr. Langues : Français Catégories : Architecture -- Philosophie
Architecture de la Renaissance
ClassicismeRésumé : L'Architecture est le vieux nom de la technique. Palais, hôtels particuliers et jardins, villes, châteaux et forteresses de l'âge humaniste et classique ne sont pas seulement des œuvres d'art, mais aussi des machines qui soutinrent la puissance des empires, épargnèrent le temps et la force des hommes, et favorisèrent le règne d'une économie faite de beauté, de parcimonie et d'art de vivre : ce qu'on appelle Décor. Mais machines bien étranges, dépourvues de rouages et de mécanismes, vides comme un rythme ! C'est à la constitution de ce paradigme éloigné de ce que nous entendons habituellement sous le nom de technique, et à la compréhension du fonctionnement mystérieux et discret de ces machines que se consacre cet ouvrage. Aussi mystérieuse soit-elle la machine architecturale résulte pourtant du plus haut travail de la raison. " L'architecture, écrit Vitruve, naît de la fabrique et du raisonnement ". Par sa conception du projet et par son sens de l'organisation, l'architecture humaniste et classique n'a rien à envier aux rationalités de la technique moderne. Cependant, la raison architecturale et les machines qu'elle conçoit ne cherchent ni à provoquer la Nature, ni à en intensifier l'énergie, mais simplement à l'embellir. Autre relation de la raison au monde. Sous la forme de l'architecture, la technique est d'abord au service de l'empire que l'homme doit gagner sur lui-même avant de l'exercer sur le monde. Empire et décor : L'architecture et la question de la technique à l'âge humaniste et classique [texte imprimé] / Pierre Caye, Auteur ; Didier Laroque, Illustrateur . - Paris : J. Vrin, 1999 . - 1 vol. (156 p.) : ill., couv. ill. ; 24 cm. - (Philologie et Mercure (Paris), ISSN 0985-4924) .
ISBN : 978-2-7116-1385-4 : 22.87€
Notes bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Architecture -- Philosophie
Architecture de la Renaissance
ClassicismeRésumé : L'Architecture est le vieux nom de la technique. Palais, hôtels particuliers et jardins, villes, châteaux et forteresses de l'âge humaniste et classique ne sont pas seulement des œuvres d'art, mais aussi des machines qui soutinrent la puissance des empires, épargnèrent le temps et la force des hommes, et favorisèrent le règne d'une économie faite de beauté, de parcimonie et d'art de vivre : ce qu'on appelle Décor. Mais machines bien étranges, dépourvues de rouages et de mécanismes, vides comme un rythme ! C'est à la constitution de ce paradigme éloigné de ce que nous entendons habituellement sous le nom de technique, et à la compréhension du fonctionnement mystérieux et discret de ces machines que se consacre cet ouvrage. Aussi mystérieuse soit-elle la machine architecturale résulte pourtant du plus haut travail de la raison. " L'architecture, écrit Vitruve, naît de la fabrique et du raisonnement ". Par sa conception du projet et par son sens de l'organisation, l'architecture humaniste et classique n'a rien à envier aux rationalités de la technique moderne. Cependant, la raison architecturale et les machines qu'elle conçoit ne cherchent ni à provoquer la Nature, ni à en intensifier l'énergie, mais simplement à l'embellir. Autre relation de la raison au monde. Sous la forme de l'architecture, la technique est d'abord au service de l'empire que l'homme doit gagner sur lui-même avant de l'exercer sur le monde. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 017773 729 CAY Livre Médiathèque BIBLIO Disponible Le désœuvrement chorégraphique / Frédéric Pouillaude
Titre : Le désœuvrement chorégraphique : étude sur la notion d'œuvre en danse Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Pouillaude, Auteur Editeur : Paris : J. Vrin Année de publication : impr. 2009 Collection : Essais d'art et de philosophie Importance : 1 vol. (430 p.) Présentation : ill., fac-sim. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7116-2195-8 Note générale : En appendice, choix de documents
Bibliogr. p. 405-417. IndexLangues : Français Catégories : Chorégraphie
Danse -- PhilosophieRésumé : Il n’y a pas de bibliothèque du mouvement, de lieu où les œuvres chorégraphiques trouveraient à se conserver, identiques à elles-mêmes et offertes à tous. C’est un fait. Rien qu’un fait. Mais qui engage énormément. En premier lieu : l’incapacité de la philosophie et de l’esthétique à penser les pratiques chorégraphiques selon le régime commun de l’œuvre. C’est toujours d’un autre espace que la danse semble relever, à la fois plus frivole et plus fondamental, toujours en deçà ou au-delà du projet de l’œuvre. Cette absence d’œuvre, abstraitement mise au jour par la philosophie, nous tentons de l’analyser en une première partie.
De là, il s’agit d’articuler un autre concept, connexe mais différent : celui de désœuvrement. Les écrits philosophiques sur la danse assignent la pratique du mouvement à une pure et simple absence de production, à l’expérience de la dépense et de l’auto-affection. Nous soutenons que ce philosophème (abstraitement nommé absence d’œuvre) ne fait que réfléchir dans l’ordre du discours une fragilité interne et propre aux œuvres chorégraphiques, fragilité que nous nommons : désœuvrement. (4e de couv.)Le désœuvrement chorégraphique : étude sur la notion d'œuvre en danse [texte imprimé] / Frédéric Pouillaude, Auteur . - Paris : J. Vrin, impr. 2009 . - 1 vol. (430 p.) : ill., fac-sim. ; 21 cm. - (Essais d'art et de philosophie) .
ISBN : 978-2-7116-2195-8
En appendice, choix de documents
Bibliogr. p. 405-417. Index
Langues : Français
Catégories : Chorégraphie
Danse -- PhilosophieRésumé : Il n’y a pas de bibliothèque du mouvement, de lieu où les œuvres chorégraphiques trouveraient à se conserver, identiques à elles-mêmes et offertes à tous. C’est un fait. Rien qu’un fait. Mais qui engage énormément. En premier lieu : l’incapacité de la philosophie et de l’esthétique à penser les pratiques chorégraphiques selon le régime commun de l’œuvre. C’est toujours d’un autre espace que la danse semble relever, à la fois plus frivole et plus fondamental, toujours en deçà ou au-delà du projet de l’œuvre. Cette absence d’œuvre, abstraitement mise au jour par la philosophie, nous tentons de l’analyser en une première partie.
De là, il s’agit d’articuler un autre concept, connexe mais différent : celui de désœuvrement. Les écrits philosophiques sur la danse assignent la pratique du mouvement à une pure et simple absence de production, à l’expérience de la dépense et de l’auto-affection. Nous soutenons que ce philosophème (abstraitement nommé absence d’œuvre) ne fait que réfléchir dans l’ordre du discours une fragilité interne et propre aux œuvres chorégraphiques, fragilité que nous nommons : désœuvrement. (4e de couv.)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 019053 792.8 POU Livre Médiathèque BIBLIO Disponible Écriture et iconographie / François Dagognet
Titre : Écriture et iconographie Type de document : texte imprimé Auteurs : François Dagognet, Auteur Editeur : Paris : J. Vrin Année de publication : 1973 Importance : 1 vol. (172p.) Format : 21,5 cm Langues : Français Catégories : Écriture
Iconographie
Lecture
Philosophie
Réalité
SciencesRésumé : La philosophie, souvent, a mis en garde contre l’image – une sorte de décalque du réel – et aussi contre l’écriture, sorte de double de la parole, mais évidemment muette et tyrannisante. La voix a donc été privilégiée. Écriture et Iconographie s’oppose à ce procès. Il montre comment et pourquoi le textuel (l’écrire et le lire) l’emporte sur le vocal, en dépit du rythme et de la chaleur de celui-ci. L’extériorisation ne doit pas être tenue pour une déchéance mais plutôt pour une procédure qui éclaire ce qui est projeté et qui, par là, le révèle.
Un second moment relève de l’épistémologie : nous tentons de mettre en évidence comment la science s’est attachée à préciser et à affiner le configurationnel. Qu’il s’agisse d’une molécule ou d’une pierre ou d’un végétal, elle parvient à le ré-écrire et à le traduire en un « corps idéal » – une formule développée à partir de laquelle elle induira et déroulera ses propriétés. Dans un troisième temps, est rapproché le travail du peintre de celui du savant, parce que lui aussi, loin de nous restituer simplement le réel, le transpose à l’intérieur d’un tableau minimal, ce qui ne l’empêche pas de le découvrir et surtout de l’intensifier. Le moins, curieusement, donne le plus. L’artiste a gagné à ne pas coïncider avec le réel mais à viser à le re-présenter.Écriture et iconographie [texte imprimé] / François Dagognet, Auteur . - Paris : J. Vrin, 1973 . - 1 vol. (172p.) ; 21,5 cm.
Langues : Français
Catégories : Écriture
Iconographie
Lecture
Philosophie
Réalité
SciencesRésumé : La philosophie, souvent, a mis en garde contre l’image – une sorte de décalque du réel – et aussi contre l’écriture, sorte de double de la parole, mais évidemment muette et tyrannisante. La voix a donc été privilégiée. Écriture et Iconographie s’oppose à ce procès. Il montre comment et pourquoi le textuel (l’écrire et le lire) l’emporte sur le vocal, en dépit du rythme et de la chaleur de celui-ci. L’extériorisation ne doit pas être tenue pour une déchéance mais plutôt pour une procédure qui éclaire ce qui est projeté et qui, par là, le révèle.
Un second moment relève de l’épistémologie : nous tentons de mettre en évidence comment la science s’est attachée à préciser et à affiner le configurationnel. Qu’il s’agisse d’une molécule ou d’une pierre ou d’un végétal, elle parvient à le ré-écrire et à le traduire en un « corps idéal » – une formule développée à partir de laquelle elle induira et déroulera ses propriétés. Dans un troisième temps, est rapproché le travail du peintre de celui du savant, parce que lui aussi, loin de nous restituer simplement le réel, le transpose à l’intérieur d’un tableau minimal, ce qui ne l’empêche pas de le découvrir et surtout de l’intensifier. Le moins, curieusement, donne le plus. L’artiste a gagné à ne pas coïncider avec le réel mais à viser à le re-présenter.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 020201 701 DAG Livre Médiathèque Théorie de l'art Disponible