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Éditeur Les Editions de Minuit
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Affiner la rechercheDevant le temps : histoire de l'art et anachronisme des images / Georges Didi-Huberman
Titre : Devant le temps : histoire de l'art et anachronisme des images Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Didi-Huberman, Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 2000 Collection : Critique Importance : 1 vol. (286 p.) Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-1726-1 Langues : Français Catégories : Art
Art -- Histoire
TempsRésumé : Mettre le temps au centre de toute pensée de l’image : nous sommes devant l’image comme devant du temps – car dans l’image c’est bien du temps qui nous regarde. Quel genre de temps ? Durée ou instantanéité ? Continuité ou discontinuité ? Écoulement ou écroulement ? Généalogie ou nouveauté ? Les questions sont multiples. Ce livre tente de les reformuler, dans toute l’ampleur des débats qui conditionnent, aujourd’hui encore, notre approche des images : depuis l’antique fondation d’une histoire de l’art chez Pline l’Ancien jusqu’aux plus récents débats sur l’art contemporain. Au cœur de ces dilemmes surgit une position dialectique qu’incarnent spécialement quelques penseurs non académiques des années vingt et trente, spécialement Walter Benjamin et Carl Einstein. Leur travail théorique est ici relu comme une pensée de l’anachronisme : les images ne sont ni les purs fétiches intemporels que prône l’esthétique classique, ni les simples chroniques figuratives que prône l’histoire de l’art positiviste. Elles sont des montages de temporalités différentes, des symptômes déchirant le cours normal des choses. Quand l’image survient, l’histoire se “ démonte ”, dans tous les sens du mot. Mais alors, le temps se montre, il s’ouvre dans toute sa complexité, dans son montage de rythmes hétérogènes formant anachronismes. Façon de repenser, dans l’image, les rapports de notre Maintenant avec l’Autrefois. Façon de critiquer une certaine conception de l’histoire en proposant, via l’anachronisme – cette part maudite de l’historien – un nouveau modèle de temporalité. Façon de mettre l’image au centre de toute pensée du temps. [Résumé de l'éditeur] Devant le temps : histoire de l'art et anachronisme des images [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 2000 . - 1 vol. (286 p.) : ill. ; 22 cm. - (Critique) .
ISBN : 978-2-7073-1726-1
Langues : Français
Catégories : Art
Art -- Histoire
TempsRésumé : Mettre le temps au centre de toute pensée de l’image : nous sommes devant l’image comme devant du temps – car dans l’image c’est bien du temps qui nous regarde. Quel genre de temps ? Durée ou instantanéité ? Continuité ou discontinuité ? Écoulement ou écroulement ? Généalogie ou nouveauté ? Les questions sont multiples. Ce livre tente de les reformuler, dans toute l’ampleur des débats qui conditionnent, aujourd’hui encore, notre approche des images : depuis l’antique fondation d’une histoire de l’art chez Pline l’Ancien jusqu’aux plus récents débats sur l’art contemporain. Au cœur de ces dilemmes surgit une position dialectique qu’incarnent spécialement quelques penseurs non académiques des années vingt et trente, spécialement Walter Benjamin et Carl Einstein. Leur travail théorique est ici relu comme une pensée de l’anachronisme : les images ne sont ni les purs fétiches intemporels que prône l’esthétique classique, ni les simples chroniques figuratives que prône l’histoire de l’art positiviste. Elles sont des montages de temporalités différentes, des symptômes déchirant le cours normal des choses. Quand l’image survient, l’histoire se “ démonte ”, dans tous les sens du mot. Mais alors, le temps se montre, il s’ouvre dans toute sa complexité, dans son montage de rythmes hétérogènes formant anachronismes. Façon de repenser, dans l’image, les rapports de notre Maintenant avec l’Autrefois. Façon de critiquer une certaine conception de l’histoire en proposant, via l’anachronisme – cette part maudite de l’historien – un nouveau modèle de temporalité. Façon de mettre l’image au centre de toute pensée du temps. [Résumé de l'éditeur] Ecoute : une histoire de nos oreilles / Peter Szendy
Titre : Ecoute : une histoire de nos oreilles : Précédé de Ascoltando Type de document : texte imprimé Auteurs : Peter Szendy, Auteur ; Jean-Luc Nancy, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 2001 Importance : 1 vol. (172 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-1731-5 Langues : Français Catégories : Écoute musicale (pratique)
Histoire
MusiqueRésumé : L'écoute est l'activité la plus discrète qui soit ; quelqu'un qui écoute, ça ne s'entend pas. Pourtant P. Szendy, musicologue, rêve d'une archéologie des écoutes musicales, une histoire des oreilles de mélomanes, et tente ici d'en esquisser une, afin de tout savoir sur ces oreilles que l'on porte et que l'on prête. Ecoute : une histoire de nos oreilles : Précédé de Ascoltando [texte imprimé] / Peter Szendy, Auteur ; Jean-Luc Nancy, Préfacier, etc. . - Paris : Les Editions de Minuit, 2001 . - 1 vol. (172 p.) ; 21 cm.
ISBN : 978-2-7073-1731-5
Langues : Français
Catégories : Écoute musicale (pratique)
Histoire
MusiqueRésumé : L'écoute est l'activité la plus discrète qui soit ; quelqu'un qui écoute, ça ne s'entend pas. Pourtant P. Szendy, musicologue, rêve d'une archéologie des écoutes musicales, une histoire des oreilles de mélomanes, et tente ici d'en esquisser une, afin de tout savoir sur ces oreilles que l'on porte et que l'on prête. L'homme qui marchait dans la couleur / Georges Didi-Huberman
Titre : L'homme qui marchait dans la couleur Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Didi-Huberman, Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 2001 Collection : Fables du lieu Importance : 93 p. Format : ill. n&b., 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-1736-0 Langues : Français Catégories : Art -- 20e siècle
Couleur
Lumière
Turrell, James (1943-....)Résumé : L’artiste est inventeur de lieux. Il façonne, il donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables : apories, fables topiques. Le genre de lieux qu’invente James Turrell passe d’abord par un travail avec la lumière : matériau incandescent ou bien nocturne, évanescent ou bien massif. Turrell est, en effet, un sculpteur qui donne masse et consistance à ces choses dites immatérielles que sont la couleur, l’espacement, la limite, le ciel, le rai, la nuit. Ses chambres à voir construisent des lieux où voir a lieu, c’est-à-dire où voir devient l’expérience de la chôra, ce lieu “ absolu ” de la fable platonicienne. Quelque chose qui évoquerait aussi ce que les psychanalystes nomment des “ rêves blancs ”. Cette sculpture de surplombs, de ciels et de volcans est ici présentée comme une fable de cheminements. En sorte que regarder une œuvre d’art équivaudrait à marcher dans un désert. [Résumé de l'éditeur] L'homme qui marchait dans la couleur [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 2001 . - 93 p. ; ill. n&b., 19 cm.. - (Fables du lieu) .
ISBN : 978-2-7073-1736-0
Langues : Français
Catégories : Art -- 20e siècle
Couleur
Lumière
Turrell, James (1943-....)Résumé : L’artiste est inventeur de lieux. Il façonne, il donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables : apories, fables topiques. Le genre de lieux qu’invente James Turrell passe d’abord par un travail avec la lumière : matériau incandescent ou bien nocturne, évanescent ou bien massif. Turrell est, en effet, un sculpteur qui donne masse et consistance à ces choses dites immatérielles que sont la couleur, l’espacement, la limite, le ciel, le rai, la nuit. Ses chambres à voir construisent des lieux où voir a lieu, c’est-à-dire où voir devient l’expérience de la chôra, ce lieu “ absolu ” de la fable platonicienne. Quelque chose qui évoquerait aussi ce que les psychanalystes nomment des “ rêves blancs ”. Cette sculpture de surplombs, de ciels et de volcans est ici présentée comme une fable de cheminements. En sorte que regarder une œuvre d’art équivaudrait à marcher dans un désert. [Résumé de l'éditeur] Génie du non-lieu : air, poussière, empreinte, hantise / Georges Didi-Huberman
Titre : Génie du non-lieu : air, poussière, empreinte, hantise Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Didi-Huberman, Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 2001 Collection : Fables du lieu Importance : 156 p. Format : ill. n&b., 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-1737-7 Langues : Français Catégories : Empreinte (art)
Feu
Italie
Poussière
Traces physiques
XX°Résumé : Le genre de lieux qu’invente Claudio Parmiggiani dans la série d’œuvres intitulée Delocazione passe d’abord par un travail avec le souffle : c’est une lourde fumée qui exhale et dépose sa suite, sa cendre, sa poussière de combustion, créant ici toutes les formes à voir. Le résultat : une immense grisaille, un lieu pour l’ascèse de la couleur, l’absence des objets, le mouvement imprévisible des volutes, le règne des ombres, "le silence d’une nature morte obsidionale. L’air devient le médium essentiel de cette œuvre, il s’éprouve comme une haleine expirée des murs eux-mêmes. Il devient le porte-empreinte de toute image. Impossible, dès lors, de ne pas interroger ce souffle – qui détruit l’espace familier autant qu’il produit le lieu de l’œuvre – à l’aune d’une mémoire où l’histoire de la peinture rencontrera les fantômes d’Hiroshima. Cet air mouvant, densifié, tactile, exhale d’abord du temps : des survivances, des hantises. Le résultat est un genre inédit de l’inquiétante étrangeté. Et c’est dans la poussière que nous aurons à le découvrir." Artistes : PARMIGGIANI, Claudio Génie du non-lieu : air, poussière, empreinte, hantise [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 2001 . - 156 p. ; ill. n&b., 19 cm.. - (Fables du lieu) .
ISBN : 978-2-7073-1737-7
Langues : Français
Catégories : Empreinte (art)
Feu
Italie
Poussière
Traces physiques
XX°Résumé : Le genre de lieux qu’invente Claudio Parmiggiani dans la série d’œuvres intitulée Delocazione passe d’abord par un travail avec le souffle : c’est une lourde fumée qui exhale et dépose sa suite, sa cendre, sa poussière de combustion, créant ici toutes les formes à voir. Le résultat : une immense grisaille, un lieu pour l’ascèse de la couleur, l’absence des objets, le mouvement imprévisible des volutes, le règne des ombres, "le silence d’une nature morte obsidionale. L’air devient le médium essentiel de cette œuvre, il s’éprouve comme une haleine expirée des murs eux-mêmes. Il devient le porte-empreinte de toute image. Impossible, dès lors, de ne pas interroger ce souffle – qui détruit l’espace familier autant qu’il produit le lieu de l’œuvre – à l’aune d’une mémoire où l’histoire de la peinture rencontrera les fantômes d’Hiroshima. Cet air mouvant, densifié, tactile, exhale d’abord du temps : des survivances, des hantises. Le résultat est un genre inédit de l’inquiétante étrangeté. Et c’est dans la poussière que nous aurons à le découvrir." Artistes : PARMIGGIANI, Claudio Pourparlers / Gilles Deleuze
Titre : Pourparlers : 1972-1990 Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Deleuze, Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 2003 Collection : Reprise Importance : 1 vol. (249 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-1842-8 Langues : Français Catégories : Cinéma
Entretiens
Foucault, Michel (1926-1984)
Godard, Jean-Luc (1930-....)
Guattari, Félix (1930-1992)
Philosophie
Pratiques politiquesRésumé : « Pourquoi réunir des textes d’entretiens qui s’étendent presque sur vingt ans ? Il arrive que des pourparlers durent si longtemps qu’on ne sait plus s’ils font encore partie de la guerre ou déjà de la paix. Il est vrai que la philosophie ne se sépare pas d’une colère contre l’époque, mais aussi d’une sérénité qu’elle nous assure. La philosophie cependant n’est pas une Puissance. Les religions, les États, le capitalisme, la science, le droit, l’opinion, la télévision sont des puissances, mais pas la philosophie. La philosophie peut avoir de grandes batailles intérieures (idéalisme-réalisme, etc.), mais ce sont des batailles pour rire. N’étant pas une puissance, la philosophie ne peut pas engager de bataille avec les puissances, elle mène en revanche une guerre sans bataille, une guérilla contre elles. Et elle ne peut pas parler avec elles, elle n’a rien à leur dire, rien à communiquer, et mène seulement des pourparlers. Comme les puissances ne se contentent pas d’être extérieures, mais aussi passent en chacun de nous, c’est chacun de nous qui se trouve sans cesse en pourparlers et en guérilla avec lui-même, grâce à la philosophie. »
Gilles DeleuzePourparlers : 1972-1990 [texte imprimé] / Gilles Deleuze, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 2003 . - 1 vol. (249 p.) ; 19 cm. - (Reprise) .
ISBN : 978-2-7073-1842-8
Langues : Français
Catégories : Cinéma
Entretiens
Foucault, Michel (1926-1984)
Godard, Jean-Luc (1930-....)
Guattari, Félix (1930-1992)
Philosophie
Pratiques politiquesRésumé : « Pourquoi réunir des textes d’entretiens qui s’étendent presque sur vingt ans ? Il arrive que des pourparlers durent si longtemps qu’on ne sait plus s’ils font encore partie de la guerre ou déjà de la paix. Il est vrai que la philosophie ne se sépare pas d’une colère contre l’époque, mais aussi d’une sérénité qu’elle nous assure. La philosophie cependant n’est pas une Puissance. Les religions, les États, le capitalisme, la science, le droit, l’opinion, la télévision sont des puissances, mais pas la philosophie. La philosophie peut avoir de grandes batailles intérieures (idéalisme-réalisme, etc.), mais ce sont des batailles pour rire. N’étant pas une puissance, la philosophie ne peut pas engager de bataille avec les puissances, elle mène en revanche une guerre sans bataille, une guérilla contre elles. Et elle ne peut pas parler avec elles, elle n’a rien à leur dire, rien à communiquer, et mène seulement des pourparlers. Comme les puissances ne se contentent pas d’être extérieures, mais aussi passent en chacun de nous, c’est chacun de nous qui se trouve sans cesse en pourparlers et en guérilla avec lui-même, grâce à la philosophie. »
Gilles DeleuzeImages malgré tout / Georges Didi-Huberman
PermalinkFoucault / Gilles Deleuze
PermalinkGestes d'air et de pierre : corps, parole, souffle, image / Georges Didi-Huberman
PermalinkLe danseur des solitudes / Georges Didi-Huberman
PermalinkLe cinéma ou l'homme imaginaire / Edgar Morin
PermalinkLa ressemblance par contact / Georges Didi-Huberman
PermalinkL'oeil de l'histoire, 1. Quand les images prennent position / Georges Didi-Huberman
PermalinkSurvivance des lucioles / Georges Didi-Huberman
PermalinkL'oeil de l'histoire, 2. Remontages du temps subi / Georges Didi-Huberman
PermalinkBande-son / Bertrand de La Peine
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