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Transcerveau express / Melchior Vischer
Titre : Transcerveau express Type de document : texte imprimé Auteurs : Melchior Vischer, Auteur Editeur : La fosse aux ours Année de publication : 1999 Importance : 1 vol. (89p.) Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-912042-19-4 Langues : Français Catégories : Avant-garde (esthétique)
Littérature -- 20e siècleRésumé : Seul roman connu " à vitesse rotatoire peu rassurante " & entre parenthèses, Transcerveau express nous entraîne dans une chute d'une seconde chronométrée par Zénon d'Elée du haut d'un gratte-ciel de quarante étages. Jörg Schuh, le nouvel Achille, déséquilibré par son énorme membre saillant, part cul par-dessus tête pour avoir trébuché sur la tortue creuseuse de tranchées des massacres en vrac de 14-18. Il salue au passage Tristan Tzara, Francis Picabia, Ben Hecht, Kurt Schwitters. " Et le vent siffla... " Prague, 1920 : Melchior Vischer (1895-1975) sort de l'ombre et envoie à Paris le premier "roman" dadaïste, Transcerveau express. Aucune réaction. Le roman connaît pourtant un succès retentissant dans les pays de langue allemande. Les livres de Melchior Vischer sont célébrés par Ernst Weiss, Alfred Döblin, Robert Musil et Franz Kafka... Transcerveau express est aujourd'hui un classique de, l'avant-garde. Il est traduit ici pour la première fois en français. Transcerveau express [texte imprimé] / Melchior Vischer, Auteur . - [S.l.] : La fosse aux ours, 1999 . - 1 vol. (89p.) ; 20 cm.
ISBN : 978-2-912042-19-4
Langues : Français
Catégories : Avant-garde (esthétique)
Littérature -- 20e siècleRésumé : Seul roman connu " à vitesse rotatoire peu rassurante " & entre parenthèses, Transcerveau express nous entraîne dans une chute d'une seconde chronométrée par Zénon d'Elée du haut d'un gratte-ciel de quarante étages. Jörg Schuh, le nouvel Achille, déséquilibré par son énorme membre saillant, part cul par-dessus tête pour avoir trébuché sur la tortue creuseuse de tranchées des massacres en vrac de 14-18. Il salue au passage Tristan Tzara, Francis Picabia, Ben Hecht, Kurt Schwitters. " Et le vent siffla... " Prague, 1920 : Melchior Vischer (1895-1975) sort de l'ombre et envoie à Paris le premier "roman" dadaïste, Transcerveau express. Aucune réaction. Le roman connaît pourtant un succès retentissant dans les pays de langue allemande. Les livres de Melchior Vischer sont célébrés par Ernst Weiss, Alfred Döblin, Robert Musil et Franz Kafka... Transcerveau express est aujourd'hui un classique de, l'avant-garde. Il est traduit ici pour la première fois en français. L'usage de la photo / Annie Ernaux
Titre : L'usage de la photo Type de document : texte imprimé Auteurs : Annie Ernaux, Auteur ; Marc Marie (1962-....), Auteur Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : DL 2006 Importance : 1 vol. (150 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-077376-3 Langues : Français Catégories : Littérature -- 20e siècle
Récits personnelsRésumé : «Souvent, depuis le début de notre relation, j'étais restée fascinée en découvrant au réveil la table non desservie du dîner, les chaises déplacées, nos vêtements emmêlés, jetés par terre n'importe où la veille au soir en faisant l'amour. C'était un paysage à chaque fois différent. Je me demande pourquoi l'idée de le photographier ne m'est pas venue plus tôt. Ni pourquoi je n'ai jamais proposé cela à aucun homme. Peut-être considérais-je qu'il y avait là quelque chose de vaguement honteux, ou d'indigne. En un sens, il était moins obscène pour moi de photographier le sexe de M. Peut-être aussi ne pouvais-je le faire qu'avec cet homme-là et qu'à cette période de ma vie.» Annie Ernaux.
L'usage de la photo [texte imprimé] / Annie Ernaux, Auteur ; Marc Marie (1962-....), Auteur . - [Paris] : Gallimard, DL 2006 . - 1 vol. (150 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-07-077376-3
Langues : Français
Catégories : Littérature -- 20e siècle
Récits personnelsRésumé : «Souvent, depuis le début de notre relation, j'étais restée fascinée en découvrant au réveil la table non desservie du dîner, les chaises déplacées, nos vêtements emmêlés, jetés par terre n'importe où la veille au soir en faisant l'amour. C'était un paysage à chaque fois différent. Je me demande pourquoi l'idée de le photographier ne m'est pas venue plus tôt. Ni pourquoi je n'ai jamais proposé cela à aucun homme. Peut-être considérais-je qu'il y avait là quelque chose de vaguement honteux, ou d'indigne. En un sens, il était moins obscène pour moi de photographier le sexe de M. Peut-être aussi ne pouvais-je le faire qu'avec cet homme-là et qu'à cette période de ma vie.» Annie Ernaux.
Vengeance du traducteur / Brice Matthieussent
Titre : Vengeance du traducteur : roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Brice Matthieussent, Auteur Année de publication : 2009 Importance : 1 vol. (308 p.) Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84682-334-0 Langues : Français Catégories : Littérature -- 20e siècle
Littérature -- Traduction
Littérature contemporaine
RomanRésumé : Un traducteur facétieux et sans doute malfaisant supprime le texte qu’il traduit et multiplie les notes en bas de page, les fameuses (N.d.T.), d’habitude rarissimes, ici abondantes et prolixes, qui racontent par le menu le dégoût qu’il a du roman qu’il traduit, le mépris dans lequel il tient son auteur, et surtout les outrages qu’il fait subir au texte : suppression des adjectifs, des adverbes, de paragraphes puis de pages entières, au profit de ses propres remarques, rêves, réflexions, ajouts, etc. Les notes en bas de page occupent ainsi le premier tiers de Vengeance du traducteur. Et c’est la première « vengeance » du traducteur, son premier crime de lèse-majesté. Mais les personnages du roman américain ainsi curieusement traduit s’insinuent peu à peu dans le texte que nous lisons : Abel Prote, un écrivain français connu, vieillissant et acariâtre, auteur d’un roman intitulé (N.d.T.), que traduit en anglais David Grey, un jeune New-Yorkais qui adore se déguiser en Zorro, « le vengeur masqué ».(N.d.T.) est un roman dans le roman, mais suprêmement drôle, et s’il est plein de références et de clins d’œil ceux-ci ne snobent jamais le lecteur. On les voit ? Le plaisir de la lecture est décuplé. On ne les saisit pas ? Il reste intact. Le romanesque a ici la part belle : rebondissements, coups fourrés, révélations, trahisons, deus ex machina, passages secrets, scènes sexuelles, pièges littéraires ou « réels », machinations, déguisements érotiques ou comiques, apparitions, rêves délirants, fantasmes. Brice Matthieussent a voulu utiliser tous ces artifices et ces feux d’artifices propres au roman pour essayer de comprendre ce qui lie un traducteur à son auteur (la traduction au texte original) et, plus généralement, un fils à son père, la dimension autobiographique étant bien sûr omniprésente dans cette « vengeance » envisagée comme un nouveau genre romanesque. Vengeance du traducteur : roman [texte imprimé] / Brice Matthieussent, Auteur . - 2009 . - 1 vol. (308 p.) ; 23 cm.
ISBN : 978-2-84682-334-0
Langues : Français
Catégories : Littérature -- 20e siècle
Littérature -- Traduction
Littérature contemporaine
RomanRésumé : Un traducteur facétieux et sans doute malfaisant supprime le texte qu’il traduit et multiplie les notes en bas de page, les fameuses (N.d.T.), d’habitude rarissimes, ici abondantes et prolixes, qui racontent par le menu le dégoût qu’il a du roman qu’il traduit, le mépris dans lequel il tient son auteur, et surtout les outrages qu’il fait subir au texte : suppression des adjectifs, des adverbes, de paragraphes puis de pages entières, au profit de ses propres remarques, rêves, réflexions, ajouts, etc. Les notes en bas de page occupent ainsi le premier tiers de Vengeance du traducteur. Et c’est la première « vengeance » du traducteur, son premier crime de lèse-majesté. Mais les personnages du roman américain ainsi curieusement traduit s’insinuent peu à peu dans le texte que nous lisons : Abel Prote, un écrivain français connu, vieillissant et acariâtre, auteur d’un roman intitulé (N.d.T.), que traduit en anglais David Grey, un jeune New-Yorkais qui adore se déguiser en Zorro, « le vengeur masqué ».(N.d.T.) est un roman dans le roman, mais suprêmement drôle, et s’il est plein de références et de clins d’œil ceux-ci ne snobent jamais le lecteur. On les voit ? Le plaisir de la lecture est décuplé. On ne les saisit pas ? Il reste intact. Le romanesque a ici la part belle : rebondissements, coups fourrés, révélations, trahisons, deus ex machina, passages secrets, scènes sexuelles, pièges littéraires ou « réels », machinations, déguisements érotiques ou comiques, apparitions, rêves délirants, fantasmes. Brice Matthieussent a voulu utiliser tous ces artifices et ces feux d’artifices propres au roman pour essayer de comprendre ce qui lie un traducteur à son auteur (la traduction au texte original) et, plus généralement, un fils à son père, la dimension autobiographique étant bien sûr omniprésente dans cette « vengeance » envisagée comme un nouveau genre romanesque. Virgile, non / Monique Wittig
Titre : Virgile, non Type de document : texte imprimé Auteurs : Monique Wittig (1935-2003), Auteur Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 1985 Importance : 1 vol. (137 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-1021-7 Langues : Français Catégories : Féminisme et littérature
Littérature -- 20e siècleRésumé : Imaginez l'espace d'un film de Cocteau quand les personnages remontent le temps et se déplacent au ralenti, à cause de la force du vent. C'est dans un tel univers visuel que l'auteur de ce livre, devenu personnage à son tour, va et vient. Le lieu imaginé cependant n'a pas pour référence l'antiquité et les vieux murs mais le San Francisco moderne. C'est un San Francisco rendu utopique par la projection systématique d'un nulle part qui est soit l'enfer, soit les limbes, soit le paradis. Dans l'enfer souffle le vent et il est difficile d'avancer. Dans le paradis on tombe sans crier gare. Quand aux limbes c'est là où on va boire un coup. On, c'est-à-dire Wittig et Manastabal, un guide qui est loin d'avoir la douceur du Virgile de Dante, protagonistes d'un opéra des gueuses à la fois féroce et gai et qui comme la comédie de Dante finit bien. Il y a une providence, il y a des anges en chair et en os, il y a des monstres, il y a l'Acheron, il y a les horreurs de l'enfer et les délices du paradis. [4e de couv.] Virgile, non [texte imprimé] / Monique Wittig (1935-2003), Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 1985 . - 1 vol. (137 p.) ; 19 cm.
ISBN : 978-2-7073-1021-7
Langues : Français
Catégories : Féminisme et littérature
Littérature -- 20e siècleRésumé : Imaginez l'espace d'un film de Cocteau quand les personnages remontent le temps et se déplacent au ralenti, à cause de la force du vent. C'est dans un tel univers visuel que l'auteur de ce livre, devenu personnage à son tour, va et vient. Le lieu imaginé cependant n'a pas pour référence l'antiquité et les vieux murs mais le San Francisco moderne. C'est un San Francisco rendu utopique par la projection systématique d'un nulle part qui est soit l'enfer, soit les limbes, soit le paradis. Dans l'enfer souffle le vent et il est difficile d'avancer. Dans le paradis on tombe sans crier gare. Quand aux limbes c'est là où on va boire un coup. On, c'est-à-dire Wittig et Manastabal, un guide qui est loin d'avoir la douceur du Virgile de Dante, protagonistes d'un opéra des gueuses à la fois féroce et gai et qui comme la comédie de Dante finit bien. Il y a une providence, il y a des anges en chair et en os, il y a des monstres, il y a l'Acheron, il y a les horreurs de l'enfer et les délices du paradis. [4e de couv.] W ou Le souvenir d'enfance / Georges Perec
Titre : W ou Le souvenir d'enfance Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Perec, Auteur Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 1994 Collection : Collection L'Imaginaire, ISSN 0151-7090 num. 293 Importance : 1 volume (224 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-073316-3 Langues : Français Catégories : Écriture
Enfance et jeunesse
Littérature -- 20e siècle
Perec, Georges (1936-1982)
RomanRésumé : «Il y a dans ce livre deux textes simplement alternés ; il pourrait presque sembler qu'ils n'ont rien en commun, mais ils sont pourtant inextricablement enchevêtrés, comme si aucun des deux ne pouvait exister seul, comme si de leur rencontre seule, de cette lumière lointaine qu'ils jettent l'un sur l'autre, pouvait se révéler ce qui n'est jamais tout à fait dit dans l'un, jamais tout à fait dit dans l'autre, mais seulement dans leur fragile intersection. L'un de ces textes appartient tout entier à l'imaginaire : c'est un roman d'aventures, la reconstitution, arbitraire mais minutieuse, d'un fantasme enfantin évoquant une cité régie par l'idéal olympique. L'autre texte est une autobiographie : le récit fragmentaire d'une vie d'enfant pendant la guerre, un récit pauvre d'exploits et de souvenirs, fait de bribes éparses, d'absences, d'oublis, de doutes, d'hypothèses, d'anecdotes maigres. Le récit d'aventures, à côté, a quelque chose de grandiose, ou peut-être de suspect. Car il commence par raconter une histoire et, d'un seul coup, se lance dans une autre : dans cette rupture, cette cassure qui suspend le récit autour d'on ne sait quelle attente, se trouve le lieu initial d'où est sorti ce livre, ces points de suspension auxquels se sont accrochés les fils rompus de l'enfance et la trame de l'écriture.» Georges Perec. W ou Le souvenir d'enfance [texte imprimé] / Georges Perec, Auteur . - [Paris] : Gallimard, 1994 . - 1 volume (224 p.) ; 21 cm. - (Collection L'Imaginaire, ISSN 0151-7090; 293) .
ISBN : 978-2-07-073316-3
Langues : Français
Catégories : Écriture
Enfance et jeunesse
Littérature -- 20e siècle
Perec, Georges (1936-1982)
RomanRésumé : «Il y a dans ce livre deux textes simplement alternés ; il pourrait presque sembler qu'ils n'ont rien en commun, mais ils sont pourtant inextricablement enchevêtrés, comme si aucun des deux ne pouvait exister seul, comme si de leur rencontre seule, de cette lumière lointaine qu'ils jettent l'un sur l'autre, pouvait se révéler ce qui n'est jamais tout à fait dit dans l'un, jamais tout à fait dit dans l'autre, mais seulement dans leur fragile intersection. L'un de ces textes appartient tout entier à l'imaginaire : c'est un roman d'aventures, la reconstitution, arbitraire mais minutieuse, d'un fantasme enfantin évoquant une cité régie par l'idéal olympique. L'autre texte est une autobiographie : le récit fragmentaire d'une vie d'enfant pendant la guerre, un récit pauvre d'exploits et de souvenirs, fait de bribes éparses, d'absences, d'oublis, de doutes, d'hypothèses, d'anecdotes maigres. Le récit d'aventures, à côté, a quelque chose de grandiose, ou peut-être de suspect. Car il commence par raconter une histoire et, d'un seul coup, se lance dans une autre : dans cette rupture, cette cassure qui suspend le récit autour d'on ne sait quelle attente, se trouve le lieu initial d'où est sorti ce livre, ces points de suspension auxquels se sont accrochés les fils rompus de l'enfance et la trame de l'écriture.» Georges Perec. Zoo / Victor Chklovski
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