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Nils - Udo / Nils-Udo
Titre : Nils - Udo : Nature-corps, [Exposition] Buyse /Lille 1996 Type de document : texte imprimé Auteurs : Nils-Udo, Auteur Editeur : Lille : Alain Buyse Editions Année de publication : 1996 Importance : 1 vol. (28 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 25 cm Langues : Français Catégories : Allemagne
Art -- 20e siècle
Botanique
Corps humain
Nature
Nils-Udo (1937-....)Nils - Udo : Nature-corps, [Exposition] Buyse /Lille 1996 [texte imprimé] / Nils-Udo, Auteur . - Lille : Alain Buyse Editions, 1996 . - 1 vol. (28 p.) : ill. en coul. ; 25 cm.
Langues : Français
Catégories : Allemagne
Art -- 20e siècle
Botanique
Corps humain
Nature
Nils-Udo (1937-....)Nils-Udo / Nils-Udo
Titre : Nils-Udo : Nils-Udo Sur les traces du réel Type de document : texte imprimé Auteurs : Nils-Udo, Auteur ; Heike Strelow, Préfacier, etc. Editeur : Genève : Galerie Guy Bärtschi Année de publication : 2001 Importance : 1 vol. (44 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : Exposition. Genève, Galerie Bärtschi, 25 novembre 2000 - 3 février 2001 Langues : Français Catégories : Land art
Nature
Nils-Udo (1937-....)
PhotographiesNils-Udo : Nils-Udo Sur les traces du réel [texte imprimé] / Nils-Udo, Auteur ; Heike Strelow, Préfacier, etc. . - Genève : Galerie Guy Bärtschi, 2001 . - 1 vol. (44 p.) : ill. en coul. ; 30 cm.
Exposition. Genève, Galerie Bärtschi, 25 novembre 2000 - 3 février 2001
Langues : Français
Catégories : Land art
Nature
Nils-Udo (1937-....)
PhotographiesNotes sur la nature, la cabane et quelques autres choses / Gilles A. Tiberghien
Titre : Notes sur la nature, la cabane et quelques autres choses Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles A. Tiberghien, Auteur Editeur : Paris : Editions du Félin Année de publication : 2005 Collection : Les marches du temps Importance : 157 p. Format : ill. n&b., 23 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86645-586-6 Note générale : 50 réf. Langues : Français Catégories : Cabanes
Esthétique
Habitations
NatureRésumé : Il semble que nous ne fassions que languir dans l’âge mûr pour dire les rêves de notre enfance, et ils s’évanouissent de notre mémoire avant que nous ayons pu apprendre leur langage. »
Henry David Thoreau, Journal
Ces notes ont commencé d’être écrites dans une cabane lors d’un séjour dans le Vermont. Elles ont été poursuivies, ensuite, durant plusieurs années et à diverses occasions. Au fil des réflexions développées ici, la cabane est apparue comme un opérateur intellectuel permettant de penser des expériences que chacun a pu faire ou imaginer dans l’enfance comme dans l’âge adulte et qui concernent peut-être d’avantage un espace psychique qu’un espace proprement physique. Les cabanes, contrairement à ce que pourrait laisser croire l’étymologie, ne sont pas de « petites maisons » : elles sont sans solutions de continuité avec les architectures dont elles sont supposées être l’origine. Fragiles et singulières, elles sont construites sans plan préconçu. Elles abritent des individus qui ne s’y installent pas, n’y habitent jamais véritablement.
Aux marges des villes et des sociétés, elles recomposent une certaine idée de la nature à laquelle nous désirons nous confronter tout en la craignant. Cette ambivalence fondamentale fait de la cabane un lieu de contradictions où coexistent le haut et le bas, l’ouvert et le fermé, le mobile et l’immobile, le jeu et le sérieux, la vie et la mort.Notes sur la nature, la cabane et quelques autres choses [texte imprimé] / Gilles A. Tiberghien, Auteur . - Paris : Editions du Félin, 2005 . - 157 p. ; ill. n&b., 23 cm.. - (Les marches du temps) .
ISBN : 978-2-86645-586-6
50 réf.
Langues : Français
Catégories : Cabanes
Esthétique
Habitations
NatureRésumé : Il semble que nous ne fassions que languir dans l’âge mûr pour dire les rêves de notre enfance, et ils s’évanouissent de notre mémoire avant que nous ayons pu apprendre leur langage. »
Henry David Thoreau, Journal
Ces notes ont commencé d’être écrites dans une cabane lors d’un séjour dans le Vermont. Elles ont été poursuivies, ensuite, durant plusieurs années et à diverses occasions. Au fil des réflexions développées ici, la cabane est apparue comme un opérateur intellectuel permettant de penser des expériences que chacun a pu faire ou imaginer dans l’enfance comme dans l’âge adulte et qui concernent peut-être d’avantage un espace psychique qu’un espace proprement physique. Les cabanes, contrairement à ce que pourrait laisser croire l’étymologie, ne sont pas de « petites maisons » : elles sont sans solutions de continuité avec les architectures dont elles sont supposées être l’origine. Fragiles et singulières, elles sont construites sans plan préconçu. Elles abritent des individus qui ne s’y installent pas, n’y habitent jamais véritablement.
Aux marges des villes et des sociétés, elles recomposent une certaine idée de la nature à laquelle nous désirons nous confronter tout en la craignant. Cette ambivalence fondamentale fait de la cabane un lieu de contradictions où coexistent le haut et le bas, l’ouvert et le fermé, le mobile et l’immobile, le jeu et le sérieux, la vie et la mort.Nous n'avons jamais été modernes : essai d'anthropologie symétrique / Bruno Latour
Titre : Nous n'avons jamais été modernes : essai d'anthropologie symétrique Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Latour, Auteur Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 1997 Collection : Poche-Sciences humaines et sociales num. 26 Importance : 206 p. Format : ill. n&b., 20 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-4849-0 Note générale : 170 réf. Langues : Français Catégories : Anthropologie
Ecologie
NatureRésumé : Pollution des rivières, embryons congelés, virus du sida, trou d’ozone, robots à capteurs… Comment comprendre ces « objets » étranges qui envahissent notre monde ? Relèvent-ils de la nature ou de la culture ? Jusqu’ici, les choses étaient simples : aux scientifiques la gestion de la nature, aux politiques celle de la société. Mais ce traditionnel partage des tâches est impuissant à rendre compte de la prolifération des « hybrides ». D’où le sentiment d’effroi qu’ils procurent, et que ne parviennent pas à apaiser les philosophes contemporains. Et si nous avions fait fausse route ? En fait, notre société « moderne » n’a jamais fonctionné conformément au grand partage qui fonde son système de représentation du monde : celui qui oppose radicalement la nature d’un côté, la culture de l’autre. Dans la pratique, les modernes n’ont cessé de créer des objets hybrides, qui relèvent de l’une comme de l’autre, et qu’ils se refusent à penser. Nous n’avons donc jamais été vraiment modernes, et c’est ce paradigme fondateur qu’il nous faut remettre en cause aujourd’hui pour comprendre notre monde. Traduit dans plus de vingt langues, cet ouvrage, en modifiant de fond en comble la répartition traditionnelle entre la nature au singulier et les cultures au pluriel, a depuis sa parution profondé-ment renouvelé les débats en anthropologie. En offrant une alternative au postmodernisme, il a ouvert de nouveaux champs d’investigation et, avec son « Parlement des choses », offert à l’écologie de nouvelles possibilités politiques. Nous n'avons jamais été modernes : essai d'anthropologie symétrique [texte imprimé] / Bruno Latour, Auteur . - Paris : La Découverte, 1997 . - 206 p. ; ill. n&b., 20 cm.. - (Poche-Sciences humaines et sociales; 26) .
ISBN : 978-2-7071-4849-0
170 réf.
Langues : Français
Catégories : Anthropologie
Ecologie
NatureRésumé : Pollution des rivières, embryons congelés, virus du sida, trou d’ozone, robots à capteurs… Comment comprendre ces « objets » étranges qui envahissent notre monde ? Relèvent-ils de la nature ou de la culture ? Jusqu’ici, les choses étaient simples : aux scientifiques la gestion de la nature, aux politiques celle de la société. Mais ce traditionnel partage des tâches est impuissant à rendre compte de la prolifération des « hybrides ». D’où le sentiment d’effroi qu’ils procurent, et que ne parviennent pas à apaiser les philosophes contemporains. Et si nous avions fait fausse route ? En fait, notre société « moderne » n’a jamais fonctionné conformément au grand partage qui fonde son système de représentation du monde : celui qui oppose radicalement la nature d’un côté, la culture de l’autre. Dans la pratique, les modernes n’ont cessé de créer des objets hybrides, qui relèvent de l’une comme de l’autre, et qu’ils se refusent à penser. Nous n’avons donc jamais été vraiment modernes, et c’est ce paradigme fondateur qu’il nous faut remettre en cause aujourd’hui pour comprendre notre monde. Traduit dans plus de vingt langues, cet ouvrage, en modifiant de fond en comble la répartition traditionnelle entre la nature au singulier et les cultures au pluriel, a depuis sa parution profondé-ment renouvelé les débats en anthropologie. En offrant une alternative au postmodernisme, il a ouvert de nouveaux champs d’investigation et, avec son « Parlement des choses », offert à l’écologie de nouvelles possibilités politiques. Nuage / Michèle Moutashar
Titre : Nuage : [exposition, Arles, Musée Réattu, 16 mai-31 octobre 2013] Type de document : texte imprimé Auteurs : Michèle Moutashar, Commissaire d'exposition ; Arles, Auteur ; Marseille-Provence 2013, Auteur Editeur : Arles : Actes Sud Année de publication : 2013 Autre Editeur : Arles : Musée Réattu Importance : 1 vol. (186p.) Présentation : ill. en couleur Format : 29 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-330-01960-0 Note générale : Catalogue de l'exposition du musée Réattu, Arles, du 15 mai au 31 octobre 2013. Langues : Français Catégories : Ciel
Cycles
Gravité
Nature
Transparence (art)Résumé : Manifestation, subtile ou grandiose, du cycle de la vie, spectacle naturel inépuisable, constamment renouvelé et toujours différent, le nuage est un objet de fascination sans fin ; il concentre tous les attributs du merveilleux : l'insaisissable, la métamorphose, et par-dessus tout l'apesanteur ; il est d'emblée le plus efficace des ascenseurs d'imaginaire : celui qui nous permet de nous défaire de la gravité. Phénomène naturel, doté d'une matière paradoxale, combinaison de contraires et d'extrêmes (masse, transparence, opacité, vapeur, inconstance, profusion), le nuage apparaît dans toutes les cultures comme une manifestation hors norme, éternellement branchée sur l'infini : c'est l'objet métaphysique par excellence. Mais il est aussi, dans l'art, la poésie, la philosophie, ou la nimbologie, en vrai comme en rêve, le plus humain des corps célestes... Extraordinairement ambivalent, à la fois charnel et immatériel, comme le langage lui-même s'en fait si bien l'écho (de nimber à cumuler, ou même...obnubiler), le nuage entre ciel et terre se vit comme un messager. Nuage : [exposition, Arles, Musée Réattu, 16 mai-31 octobre 2013] [texte imprimé] / Michèle Moutashar, Commissaire d'exposition ; Arles, Auteur ; Marseille-Provence 2013, Auteur . - Arles : Actes Sud : Arles : Musée Réattu, 2013 . - 1 vol. (186p.) : ill. en couleur ; 29 cm.
ISBN : 978-2-330-01960-0
Catalogue de l'exposition du musée Réattu, Arles, du 15 mai au 31 octobre 2013.
Langues : Français
Catégories : Ciel
Cycles
Gravité
Nature
Transparence (art)Résumé : Manifestation, subtile ou grandiose, du cycle de la vie, spectacle naturel inépuisable, constamment renouvelé et toujours différent, le nuage est un objet de fascination sans fin ; il concentre tous les attributs du merveilleux : l'insaisissable, la métamorphose, et par-dessus tout l'apesanteur ; il est d'emblée le plus efficace des ascenseurs d'imaginaire : celui qui nous permet de nous défaire de la gravité. Phénomène naturel, doté d'une matière paradoxale, combinaison de contraires et d'extrêmes (masse, transparence, opacité, vapeur, inconstance, profusion), le nuage apparaît dans toutes les cultures comme une manifestation hors norme, éternellement branchée sur l'infini : c'est l'objet métaphysique par excellence. Mais il est aussi, dans l'art, la poésie, la philosophie, ou la nimbologie, en vrai comme en rêve, le plus humain des corps célestes... Extraordinairement ambivalent, à la fois charnel et immatériel, comme le langage lui-même s'en fait si bien l'écho (de nimber à cumuler, ou même...obnubiler), le nuage entre ciel et terre se vit comme un messager. Nus et paysages : essai sur la fonction de l'art / Alain Roger
PermalinkOeuvres d'arbres
PermalinkOmbre indigène / Edith Dekyndt
PermalinkL'ordre domestique : mémoire de la ruralité dans les arts plastiques contemporains en Europe / Pierre Paliard
PermalinkLa Part maudite, précédé de /La Notion de dépense / Georges Bataille
PermalinkPassage / Andy Goldsworthy
PermalinkPaysages variations
PermalinkPierres / Andy Goldsworthy
PermalinkPirilampos / Carlos Casteleira
PermalinkPour une république des rêves / Gilles A. Tiberghien
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