Titre : | Sylvain Courtoux : Consume rouge : post-poèmes de combat | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Sylvain Courtoux, Auteur | Editeur : | Marseille : Al Dante | Année de publication : | 2014 | Importance : | 1 vol. (95 p.) | Présentation : | ill. | Format : | 30 cm | Accompagnement : | Accompagné du CD audio "Death by a thousand sources" | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84761-776-4 | Langues : | Français | Catégories : | Autobiographie Plagiat Poésie Poésie sonore
| Résumé : | À travers ce dispositif poétique totalement autobiographique, Sylvain Courtoux se met en scène comme membre d'un espace poétique régi selon des règles sociétales proches de celles en vigueur dans tous les secteurs sociaux-professionnels. Il y raconte sa manière d'aborder ce milieu : ses affres, ses espoirs et ses angoisses ; il en décortique le fonctionnement et les codes ; il décrit comment cet espace poétique devient, à l'instar de n'importe quel espace artistique, un lieu où se jouent des enjeux d'argent et de pouvoir, à travers des systèmes de starification et de marginalisation qui, s'ils touchent peu de personnes et semblent bien dérisoires en regard des arts de la scène, produisent le même effet sur les poètes, qui en acceptent, voire en appellent les protocoles. Ce texte, qui semble comme « écrit de l'intérieur », révèle également la part intime de l'auteur (déjà exposée dans Still Nox : ses addictions, le suicide de sa mère, ses relations avec la famille, les ami-e-s, la société, etc.), ses réflexions sur la poésie et les techniques d'écritures utilisées par ses contemporains et par lui-même, ainsi que sur le rock – musique, addictions et poésie formant l'essentiel de son univers (cf. Strangulation blues). En accompagnement du texte, l'auteur nous propose d'écouter un CD d'une musique bruitiste obsessionnelle qu'il a lui-même composée : il ne s'agit ni d'une bande-son, ni d'une illustration sonore, encore moins de poésie sonore… mais si Consume rouge est la décalque textuelle de l'univers mental de l'auteur, cette musique, au titre évocateur de Dead By A Thousand Sources, en est la décalque sonore. En ce sens, elle est également à prendre comme un document, qui fait partie intégrante du dispositif global. [Résumé de l'éditeur] |
Sylvain Courtoux : Consume rouge : post-poèmes de combat [texte imprimé] / Sylvain Courtoux, Auteur . - Marseille : Al Dante, 2014 . - 1 vol. (95 p.) : ill. ; 30 cm + Accompagné du CD audio "Death by a thousand sources". ISBN : 978-2-84761-776-4 Langues : Français Catégories : | Autobiographie Plagiat Poésie Poésie sonore
| Résumé : | À travers ce dispositif poétique totalement autobiographique, Sylvain Courtoux se met en scène comme membre d'un espace poétique régi selon des règles sociétales proches de celles en vigueur dans tous les secteurs sociaux-professionnels. Il y raconte sa manière d'aborder ce milieu : ses affres, ses espoirs et ses angoisses ; il en décortique le fonctionnement et les codes ; il décrit comment cet espace poétique devient, à l'instar de n'importe quel espace artistique, un lieu où se jouent des enjeux d'argent et de pouvoir, à travers des systèmes de starification et de marginalisation qui, s'ils touchent peu de personnes et semblent bien dérisoires en regard des arts de la scène, produisent le même effet sur les poètes, qui en acceptent, voire en appellent les protocoles. Ce texte, qui semble comme « écrit de l'intérieur », révèle également la part intime de l'auteur (déjà exposée dans Still Nox : ses addictions, le suicide de sa mère, ses relations avec la famille, les ami-e-s, la société, etc.), ses réflexions sur la poésie et les techniques d'écritures utilisées par ses contemporains et par lui-même, ainsi que sur le rock – musique, addictions et poésie formant l'essentiel de son univers (cf. Strangulation blues). En accompagnement du texte, l'auteur nous propose d'écouter un CD d'une musique bruitiste obsessionnelle qu'il a lui-même composée : il ne s'agit ni d'une bande-son, ni d'une illustration sonore, encore moins de poésie sonore… mais si Consume rouge est la décalque textuelle de l'univers mental de l'auteur, cette musique, au titre évocateur de Dead By A Thousand Sources, en est la décalque sonore. En ce sens, elle est également à prendre comme un document, qui fait partie intégrante du dispositif global. [Résumé de l'éditeur] |
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