Titre : | Le capitalisme patriarcal | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Silvia Federici (1942-....), Auteur ; Etienne Dobenesque, Traducteur | Editeur : | Paris : La Fabrique éditions | Année de publication : | DL 2019 | Importance : | 1 vol. (190 p.) | Format : | 17 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-35872-178-3 | Note générale : | Bibliogr. p. 173-184 | Langues : | Français Langues originales : Anglais | Catégories : | Féminisme marxiste Patriarcat (sociologie)
| Index. décimale : | 330.082 | Résumé : | Comment faire tourner les usines sans les travailleurs vigoureux, nourris, blanchis, qui occupent la chaîne de montage ? Loin de se limiter au travail invisible des femmes au sein du foyer, Federici met en avant la centralité du travail consistant à reproduire la société : combien couterait de salarier toutes les activités procréatives, affectives, éducatives, de soin et d’hygiène aujourd’hui réalisées gratuitement par les femmes ? Que resterait-il des profits des entreprises si elles devaient contribuer au renouvellement quotidien de leur masse salariale ?
La lutte contre le sexisme n’exige pas tant l’égalité de salaire entre hommes et femmes, ni même la fin de préjugés ou d’une discrimination, mais la réappropriation collective des moyens de la reproduction sociale, des lieux de vie aux lieux de consommation – ce qui dessine l’horizon d’un communisme de type nouveau. |
Le capitalisme patriarcal [texte imprimé] / Silvia Federici (1942-....), Auteur ; Etienne Dobenesque, Traducteur . - Paris : La Fabrique éditions, DL 2019 . - 1 vol. (190 p.) ; 17 cm. ISBN : 978-2-35872-178-3 Bibliogr. p. 173-184 Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : | Féminisme marxiste Patriarcat (sociologie)
| Index. décimale : | 330.082 | Résumé : | Comment faire tourner les usines sans les travailleurs vigoureux, nourris, blanchis, qui occupent la chaîne de montage ? Loin de se limiter au travail invisible des femmes au sein du foyer, Federici met en avant la centralité du travail consistant à reproduire la société : combien couterait de salarier toutes les activités procréatives, affectives, éducatives, de soin et d’hygiène aujourd’hui réalisées gratuitement par les femmes ? Que resterait-il des profits des entreprises si elles devaient contribuer au renouvellement quotidien de leur masse salariale ?
La lutte contre le sexisme n’exige pas tant l’égalité de salaire entre hommes et femmes, ni même la fin de préjugés ou d’une discrimination, mais la réappropriation collective des moyens de la reproduction sociale, des lieux de vie aux lieux de consommation – ce qui dessine l’horizon d’un communisme de type nouveau. |
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