| Titre : | La mémoire, l'histoire, l'oubli | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Paul Ricoeur (1913-2005), Auteur | | Editeur : | Paris : Seuil | | Année de publication : | 2000 | | Collection : | Points (Paris) | | Sous-collection : | Essais num. 494 | | Importance : | 689 p. | | Présentation : | ill. en n. et b. | | Format : | 18 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-02-056332-1 | | Prix : | 10,50 EUR | | Langues : | Français | | Catégories : | Épistémologie Épistémologie des sciences humaines Histoire -- Méthodologie Mémoire (Philosophie) Phénoménologie Philosophie -- Histoire
| | Index. décimale : | 128.3 | | Résumé : | « L’ouvrage comporte trois parties nettement délimitées par leur thème et leur méthode. La première, consacrée à la mémoire et aux phénomènes mnémoniques, est placée sous l’égide de la phénoménologie au sens husserlien du terme. La deuxième, dédiée à l’histoire, relève d’une épistémologie des sciences historiques. La troisième, culminant dans une méditation sur l’oubli, s’encadre dans une herméneutique de la condition historique des humains que nous sommes.
[…] Je reste troublé par l’inquiétant spectacle que donne le trop de mémoire ici, le trop d’oubli ailleurs, pour ne rien dire de l’influence des commémorations et des abus de mémoire – et d’oubli. L’idée d’une politique de la juste mémoire est à cet égard un de mes thèmes civiques avoués. » (source éditeur) |
La mémoire, l'histoire, l'oubli [texte imprimé] / Paul Ricoeur (1913-2005), Auteur . - Paris : Seuil, 2000 . - 689 p. : ill. en n. et b. ; 18 cm. - ( Points (Paris). Essais; 494) . ISBN : 978-2-02-056332-1 : 10,50 EUR Langues : Français | Catégories : | Épistémologie Épistémologie des sciences humaines Histoire -- Méthodologie Mémoire (Philosophie) Phénoménologie Philosophie -- Histoire
| | Index. décimale : | 128.3 | | Résumé : | « L’ouvrage comporte trois parties nettement délimitées par leur thème et leur méthode. La première, consacrée à la mémoire et aux phénomènes mnémoniques, est placée sous l’égide de la phénoménologie au sens husserlien du terme. La deuxième, dédiée à l’histoire, relève d’une épistémologie des sciences historiques. La troisième, culminant dans une méditation sur l’oubli, s’encadre dans une herméneutique de la condition historique des humains que nous sommes.
[…] Je reste troublé par l’inquiétant spectacle que donne le trop de mémoire ici, le trop d’oubli ailleurs, pour ne rien dire de l’influence des commémorations et des abus de mémoire – et d’oubli. L’idée d’une politique de la juste mémoire est à cet égard un de mes thèmes civiques avoués. » (source éditeur) |
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