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L'art et ses agents / Alfred Gell
Titre : L'art et ses agents : une théorie anthropologique Type de document : texte imprimé Auteurs : Alfred Gell (1945-1997), Auteur ; Sophie Renaut, Traducteur ; Olivier Renaut (1978-....), Traducteur Editeur : [Dijon] : les Presses du réel Année de publication : DL 2009 Collection : Collection Fabula (Dijon), ISSN 2107-2035 Importance : 1 vol. (327 p.) Présentation : ill., graph., couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84066-252-5 Note générale : Bibliogr. p. 309-316. Index Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : Art -- Aspect social
Art et anthropologie
Sémiotique et artRésumé : L'art et ses agents, ouvrage posthume paru en 1998 sous le titre Art and agency, est sans doute l'une des anthropologies de l'art les plus singulières et les plus fécondes. Plutôt que de penser l'œuvre d'art en terme de beauté, Alfred Gell propose de la situer à l'intérieur d'un réseau de relations entre agents et patients qui manifestent une certaine agentivité (agency) par l'intermédiaire de l'œuvre. Cette théorie a une vocation universelle : il s'agit moins de relativiser le système occidental de l'esthétique que de se rendre sensible aux mécanismes de l'intentionnalité, des ignames décorés de Nouvelle-Guinée aux ready-made de Duchamp.
Pour universelle qu'elle soit, cette théorie demeure bien anthropologique : envisager l'œuvre d'art implique que l'on s'intéresse aux contextes de sa production et de sa circulation. C'est pourquoi Alfred Gell entend produire pour l'art ce que Marcel Mauss ou Claude Lévi-Strauss ont théorisé pour les systèmes de l'échange ou de la parenté. Empruntant à la linguistique d'Umberto Eco et à la sémiotique de C. S. Peirce (sans se plier à leurs principes interprétatifs), les termes qui entrent en jeu dans une combinatoire propre à l'objet d'art sont l'indice (l'objet lui-même), l'artiste, le destinataire et le prototype – le « réseau de l'art » désignant l'ensemble des relations qui font qu'un objet d'art est reconnu comme tel par les différents acteurs sociaux.
Les attitudes que nous avons face à ces objets doivent être comprises en les rapprochant des systèmes de causalité propres à la sorcellerie : nous inférons à travers l'objet d'art la présence d'une personne disséminée. Cette théorie déplace doublement les termes de l'esthétique occidentale (dont le concept de style) car il s'agit non seulement d'abolir les frontières théoriques entre l'art « ethnographique » des musées et celui, bien vivant, qui est produit et circule dans les sociétés, mais aussi de trouver la trame cognitive commune à La Joconde et aux proues de navires mélanésiens. L'objet d'art, dans toute culture, a un certain pouvoir de fascination, qu'on ne peut comprendre qu'en saisissant l'ensemble des interactions sociales qui président à son émergence. [4e de couv.]L'art et ses agents : une théorie anthropologique [texte imprimé] / Alfred Gell (1945-1997), Auteur ; Sophie Renaut, Traducteur ; Olivier Renaut (1978-....), Traducteur . - [Dijon] : les Presses du réel, DL 2009 . - 1 vol. (327 p.) : ill., graph., couv. ill. ; 23 cm. - (Collection Fabula (Dijon), ISSN 2107-2035) .
ISBN : 978-2-84066-252-5
Bibliogr. p. 309-316. Index
Langues : Français Langues originales : Anglais
Catégories : Art -- Aspect social
Art et anthropologie
Sémiotique et artRésumé : L'art et ses agents, ouvrage posthume paru en 1998 sous le titre Art and agency, est sans doute l'une des anthropologies de l'art les plus singulières et les plus fécondes. Plutôt que de penser l'œuvre d'art en terme de beauté, Alfred Gell propose de la situer à l'intérieur d'un réseau de relations entre agents et patients qui manifestent une certaine agentivité (agency) par l'intermédiaire de l'œuvre. Cette théorie a une vocation universelle : il s'agit moins de relativiser le système occidental de l'esthétique que de se rendre sensible aux mécanismes de l'intentionnalité, des ignames décorés de Nouvelle-Guinée aux ready-made de Duchamp.
Pour universelle qu'elle soit, cette théorie demeure bien anthropologique : envisager l'œuvre d'art implique que l'on s'intéresse aux contextes de sa production et de sa circulation. C'est pourquoi Alfred Gell entend produire pour l'art ce que Marcel Mauss ou Claude Lévi-Strauss ont théorisé pour les systèmes de l'échange ou de la parenté. Empruntant à la linguistique d'Umberto Eco et à la sémiotique de C. S. Peirce (sans se plier à leurs principes interprétatifs), les termes qui entrent en jeu dans une combinatoire propre à l'objet d'art sont l'indice (l'objet lui-même), l'artiste, le destinataire et le prototype – le « réseau de l'art » désignant l'ensemble des relations qui font qu'un objet d'art est reconnu comme tel par les différents acteurs sociaux.
Les attitudes que nous avons face à ces objets doivent être comprises en les rapprochant des systèmes de causalité propres à la sorcellerie : nous inférons à travers l'objet d'art la présence d'une personne disséminée. Cette théorie déplace doublement les termes de l'esthétique occidentale (dont le concept de style) car il s'agit non seulement d'abolir les frontières théoriques entre l'art « ethnographique » des musées et celui, bien vivant, qui est produit et circule dans les sociétés, mais aussi de trouver la trame cognitive commune à La Joconde et aux proues de navires mélanésiens. L'objet d'art, dans toute culture, a un certain pouvoir de fascination, qu'on ne peut comprendre qu'en saisissant l'ensemble des interactions sociales qui président à son émergence. [4e de couv.]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 019057 701 GEL Livre Médiathèque Fonds général Disponible Les autres et les ancêtres / Noémie Etienne
Titre : Les autres et les ancêtres : Les dioramas de Franz Boas et d'Arthur C. Parker à New York , 1900 Type de document : texte imprimé Auteurs : Noémie Etienne, Auteur Editeur : Dijon : Les Presses du réel Année de publication : 2020 Collection : Oeuvres en sociétés Importance : 1vol. (342 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-37896-049-0 Langues : Français Catégories : Anthropologie
Art et anthropologie
DioramasRésumé : Une étude approfondie du dispositif d'exposition du diorama aux États-Unis au début du XXe siècle, lieu de création et de médiation des savoirs, mais aussi de construction politique de l'histoire, entre art, anthropologie et sciences naturelles.
Les dioramas sont des dispositifs d'exposition à la frontière de différentes disciplines (art, anthropologie, sciences naturelles), dont l'usage s'impose au cours du XIXe siècle notamment suite aux réformes cherchant à développer la dimension pédagogique des musées. Ce livre étudie les dioramas anthropologiques de deux musées états-uniens au début du XXe siècle : le musée d'Histoire naturelle de New York (avec les installations assemblées par l'anthropologue allemand Franz Boas) et le musée de l'État de New York (et ses dioramas supervisés par l'archéologue autochtone Arthur C. Parker). Tandis que les dioramas incluant des figures humaines font aujourd'hui l'objet de vives critiques et sont progressivement démantelés, une étude approfondie du travail des artistes et des scientifiques qui les ont réalisés permet d'éclairer leur genèse. Lieu de création et de médiation des savoirs, mêlant moulage, peinture, sculpture, photographie et objets collectés, les dioramas construisent une histoire qui est toujours politique. Ils fabriquent une vision de l'altérité mais aussi du passé qui fait coulisser l'espace et le temps au sein du musée.[Résumé de l'éditeur]Les autres et les ancêtres : Les dioramas de Franz Boas et d'Arthur C. Parker à New York , 1900 [texte imprimé] / Noémie Etienne, Auteur . - Dijon : Les Presses du réel, 2020 . - 1vol. (342 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Oeuvres en sociétés) .
ISBN : 978-2-37896-049-0
Langues : Français
Catégories : Anthropologie
Art et anthropologie
DioramasRésumé : Une étude approfondie du dispositif d'exposition du diorama aux États-Unis au début du XXe siècle, lieu de création et de médiation des savoirs, mais aussi de construction politique de l'histoire, entre art, anthropologie et sciences naturelles.
Les dioramas sont des dispositifs d'exposition à la frontière de différentes disciplines (art, anthropologie, sciences naturelles), dont l'usage s'impose au cours du XIXe siècle notamment suite aux réformes cherchant à développer la dimension pédagogique des musées. Ce livre étudie les dioramas anthropologiques de deux musées états-uniens au début du XXe siècle : le musée d'Histoire naturelle de New York (avec les installations assemblées par l'anthropologue allemand Franz Boas) et le musée de l'État de New York (et ses dioramas supervisés par l'archéologue autochtone Arthur C. Parker). Tandis que les dioramas incluant des figures humaines font aujourd'hui l'objet de vives critiques et sont progressivement démantelés, une étude approfondie du travail des artistes et des scientifiques qui les ont réalisés permet d'éclairer leur genèse. Lieu de création et de médiation des savoirs, mêlant moulage, peinture, sculpture, photographie et objets collectés, les dioramas construisent une histoire qui est toujours politique. Ils fabriquent une vision de l'altérité mais aussi du passé qui fait coulisser l'espace et le temps au sein du musée.[Résumé de l'éditeur]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 019051 704.942 ETI Livre Médiathèque Fonds général Disponible Faire / Tim Ingold
Titre : Faire : anthropologie, archéologie, art et architecture Type de document : texte imprimé Auteurs : Tim Ingold, Auteur ; Hervé Gosselin, Traducteur ; Hicham-Stéphane Afeissa, Traducteur Editeur : [Bellevaux] : Éditions Dehors Année de publication : 2017 Importance : 317 p. Présentation : ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36751-010-1 Note générale : Bibliogr. p. 299-317 Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : Archéologie et art
Art -- Thèmes, motifs
Art et anthropologieIndex. décimale : 301.07 Résumé : D’où proviennent les formes ? Dans ce livre l’anthropologue Tim Ingold propose de déconstruire le modèle philosophique hylémorphique qui, depuis Aristote, pense l’acte de fabrication comme l’imposition d’une forme, ou d’un projet, à la matière inerte. Ce renversement théorique n’est possible qu’à la faveur d’une approche matérialiste de la fabrication qui révèle la correspondance des pratiques avec les matériaux, leur itinérance au sein de la matière pour engendrer des formes. Cette réflexion conduit Ingold à faire la proposition d'une pédagogie participante suggérant une nouvelle conception de l'enseignement fondée sur l'élucidation des pratiques constitutives des gestes de fabrication. L'anthropologie, l'archéologie, l'art et l'architecture ne sont pas ici considérées comme des disciplines académiques, mais comme des manières de faire qui explorent chacune, à leur façon, les conditions et les potentiels de la vie humaine au sein de son environnement. Faire : anthropologie, archéologie, art et architecture [texte imprimé] / Tim Ingold, Auteur ; Hervé Gosselin, Traducteur ; Hicham-Stéphane Afeissa, Traducteur . - [Bellevaux] : Éditions Dehors, 2017 . - 317 p. : ill. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-36751-010-1
Bibliogr. p. 299-317
Langues : Français Langues originales : Anglais
Catégories : Archéologie et art
Art -- Thèmes, motifs
Art et anthropologieIndex. décimale : 301.07 Résumé : D’où proviennent les formes ? Dans ce livre l’anthropologue Tim Ingold propose de déconstruire le modèle philosophique hylémorphique qui, depuis Aristote, pense l’acte de fabrication comme l’imposition d’une forme, ou d’un projet, à la matière inerte. Ce renversement théorique n’est possible qu’à la faveur d’une approche matérialiste de la fabrication qui révèle la correspondance des pratiques avec les matériaux, leur itinérance au sein de la matière pour engendrer des formes. Cette réflexion conduit Ingold à faire la proposition d'une pédagogie participante suggérant une nouvelle conception de l'enseignement fondée sur l'élucidation des pratiques constitutives des gestes de fabrication. L'anthropologie, l'archéologie, l'art et l'architecture ne sont pas ici considérées comme des disciplines académiques, mais comme des manières de faire qui explorent chacune, à leur façon, les conditions et les potentiels de la vie humaine au sein de son environnement. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 017212 301.07 ING Livre Médiathèque Fonds général Disponible Hubris / Jean Clair
Titre : Hubris : la fabrique du monstre dans l'art moderne : homoncules, géants et acéphales Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Clair, Auteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2012 Collection : Connaissance de l'inconscient Importance : 1 vol. (189 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-013668-1 Note générale : Bibliogr. p. 175 ; Index Langues : Français Catégories : Art
Art -- 19e siècle
Art et anthropologie
Monstres
PsychologieRésumé : L'art moderne s'est souvent voué à la laideur. Anatomies difformes, palettes outrées, compositions incongrues, volonté de surprendre et de heurter : qui oserait encore parler de beauté? Faute de pouvoir en appeler à la raison historique et à la désuétude des canons anciens – des proportions de Vitruve à la perspective d'Alberti –, ne convient-il pas de rechercher ce qui a provoqué ce changement radical dans l'élaboration des formes qu'on appelle «art»?
S'appuyant sur les matériaux patiemment rassemblés depuis trente ans à travers de mémorables expositions, de «L'Âme au corps» à «Crime et châtiment» en passant par «Mélancolie : Génie et folie en Occident» et «Les années 1930 : La fabrique de "l'Homme nouveau"», Jean Clair propose une lecture anthropologique de l'esthétique moderne qui croise l'histoire de l'art, l'histoire des sciences et l'histoire des idées.
Ainsi la seule année 1895 a-t-elle vu, simultanément, la naissance du cinéma, la découverte des rayons X, les applications de la radiotéléphonie (mais aussi la croyance en des rayonnements invisibles chez les tenants de l'occultisme), les premiers pas de la psychanalyse, l'essor de la neurologie : la sensibilité en est bouleversée, mais d'abord la façon qu'a l'artiste de se représenter le monde visible et singulièrement le corps humain.
Paradigmes et paramètres, les modèles ont changé. L'art devient l'expérimentation du monstrueux et crée de nouvelles entités parmi lesquelles Jean Clair distingue trois figures directrices : le mannequin des neurologues, descendant des alchimistes et de Goethe, le Géant des dictatures, «l'Ogre philanthropique» dont Le Colosse de Goya est le prototype, l'Acéphale enfin, le nouveau dieu des avant-gardes célébré par Georges Bataille.Hubris : la fabrique du monstre dans l'art moderne : homoncules, géants et acéphales [texte imprimé] / Jean Clair, Auteur . - Paris : Gallimard, 2012 . - 1 vol. (189 p.) : ill. en coul. ; 23 cm. - (Connaissance de l'inconscient) .
ISBN : 978-2-07-013668-1
Bibliogr. p. 175 ; Index
Langues : Français
Catégories : Art
Art -- 19e siècle
Art et anthropologie
Monstres
PsychologieRésumé : L'art moderne s'est souvent voué à la laideur. Anatomies difformes, palettes outrées, compositions incongrues, volonté de surprendre et de heurter : qui oserait encore parler de beauté? Faute de pouvoir en appeler à la raison historique et à la désuétude des canons anciens – des proportions de Vitruve à la perspective d'Alberti –, ne convient-il pas de rechercher ce qui a provoqué ce changement radical dans l'élaboration des formes qu'on appelle «art»?
S'appuyant sur les matériaux patiemment rassemblés depuis trente ans à travers de mémorables expositions, de «L'Âme au corps» à «Crime et châtiment» en passant par «Mélancolie : Génie et folie en Occident» et «Les années 1930 : La fabrique de "l'Homme nouveau"», Jean Clair propose une lecture anthropologique de l'esthétique moderne qui croise l'histoire de l'art, l'histoire des sciences et l'histoire des idées.
Ainsi la seule année 1895 a-t-elle vu, simultanément, la naissance du cinéma, la découverte des rayons X, les applications de la radiotéléphonie (mais aussi la croyance en des rayonnements invisibles chez les tenants de l'occultisme), les premiers pas de la psychanalyse, l'essor de la neurologie : la sensibilité en est bouleversée, mais d'abord la façon qu'a l'artiste de se représenter le monde visible et singulièrement le corps humain.
Paradigmes et paramètres, les modèles ont changé. L'art devient l'expérimentation du monstrueux et crée de nouvelles entités parmi lesquelles Jean Clair distingue trois figures directrices : le mannequin des neurologues, descendant des alchimistes et de Goethe, le Géant des dictatures, «l'Ogre philanthropique» dont Le Colosse de Goya est le prototype, l'Acéphale enfin, le nouveau dieu des avant-gardes célébré par Georges Bataille.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 008096 701 CLA Livre Médiathèque Fonds général Disponible Matt Mullican : / Pascal Rousseau
Titre : Matt Mullican : : 12 by 2 [Exposition. Villeurbannes, IAC, 4 juin - 19 septembre 2010] Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Rousseau, Auteur ; Fabrice Reymond, Auteur ; Friedrich Meschede, Auteur Editeur : Dijon : Les Presses du réel Année de publication : 2011 Collection : Collection IAC Importance : 150 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84066-448-2 Langues : Anglais Français Catégories : Art -- 20e siècle
Art et anthropologie
Dessin
Hypnose
Installations (art)
Mullican, Matt
PeintureRésumé : Sur un mode archivistique et expérimental, l'exposition 12 by 2 associait pour la première fois quarante ans de la production de Matt Mullican à celle de son double, apparu sous hypnose, That Person. Deux essais viennent interroger cette œuvre complexe, retraçant l'histoire artistique de l'hypnose et tissant des liens avec l'anthropologie. Enfin un entretien avec l'artiste lui permet d'évoquer, entre autres, son activité de collectionneur. Matt Mullican : : 12 by 2 [Exposition. Villeurbannes, IAC, 4 juin - 19 septembre 2010] [texte imprimé] / Pascal Rousseau, Auteur ; Fabrice Reymond, Auteur ; Friedrich Meschede, Auteur . - Dijon : Les Presses du réel, 2011 . - 150 p. : ill. en coul. ; 24 cm.. - (Collection IAC) .
ISBN : 978-2-84066-448-2
Langues : Anglais Français
Catégories : Art -- 20e siècle
Art et anthropologie
Dessin
Hypnose
Installations (art)
Mullican, Matt
PeintureRésumé : Sur un mode archivistique et expérimental, l'exposition 12 by 2 associait pour la première fois quarante ans de la production de Matt Mullican à celle de son double, apparu sous hypnose, That Person. Deux essais viennent interroger cette œuvre complexe, retraçant l'histoire artistique de l'hypnose et tissant des liens avec l'anthropologie. Enfin un entretien avec l'artiste lui permet d'évoquer, entre autres, son activité de collectionneur. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 014603 709.2 MUL ROU Catalogue Médiathèque Fonds général Disponible La recherche comme composition / Steven Feld
PermalinkLa recherche-création, c'est quoi ? / Locus Sonus Vitae
PermalinkLe Rituel du serpent / Aby Moritz Warburg
PermalinkTechnique & design graphique / Vivien Philizot
PermalinkTechniques et culture (Paris), 64. Essais de bricologie / Thomas Golsenne ; Patricia Ribault
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