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Rapport de police / Marie Darrieussecq
Titre : Rapport de police : accusations de plagiat et autres modes de surveillance de la fiction Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Darrieussecq, Auteur Editeur : Paris : POL Année de publication : impr. 2009 Importance : 1 vol. (319-LIV p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84682-331-9 Note générale : Bibliogr. p. III-XXXVI. Index Langues : Français Catégories : Liberté d'expression
PlagiatRésumé : Accusée à deux reprises de plagiat – une première fois par Marie NDiaye en 1998 – et plus récemment par Camille Laurens, Marie Darrieussecq a voulu comprendre ce qui lui était arrivé et, bien sûr, se défendre de cette accusation renouvelée. Elle s'est donc penchée sur la notion de plagiat, sur l'histoire de ce concept à travers la littérature. Elle s'est aperçue que nombre d'écrivains, et pas des moindres, ont eu à subir cette accusation. Et s'il ne s'agit pas de banaliser par le nombre – tous plagiaires – il s'agit de se demander comment on en arrive là. À quoi sert-elle, cette accusation de plagiat ? Comment « prend-elle », pourquoi trouve-t-elle toujours tant d'échos ? Qu'est-ce que cela veut dire, d'un état de la critique et des institutions littéraires, d'un état de la société puisque la littérature fait symptôme ? (Texte éditeur) Rapport de police : accusations de plagiat et autres modes de surveillance de la fiction [texte imprimé] / Marie Darrieussecq, Auteur . - Paris : POL, impr. 2009 . - 1 vol. (319-LIV p.) ; 21 cm.
ISBN : 978-2-84682-331-9
Bibliogr. p. III-XXXVI. Index
Langues : Français
Catégories : Liberté d'expression
PlagiatRésumé : Accusée à deux reprises de plagiat – une première fois par Marie NDiaye en 1998 – et plus récemment par Camille Laurens, Marie Darrieussecq a voulu comprendre ce qui lui était arrivé et, bien sûr, se défendre de cette accusation renouvelée. Elle s'est donc penchée sur la notion de plagiat, sur l'histoire de ce concept à travers la littérature. Elle s'est aperçue que nombre d'écrivains, et pas des moindres, ont eu à subir cette accusation. Et s'il ne s'agit pas de banaliser par le nombre – tous plagiaires – il s'agit de se demander comment on en arrive là. À quoi sert-elle, cette accusation de plagiat ? Comment « prend-elle », pourquoi trouve-t-elle toujours tant d'échos ? Qu'est-ce que cela veut dire, d'un état de la critique et des institutions littéraires, d'un état de la société puisque la littérature fait symptôme ? (Texte éditeur) Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 017617 801 DAR Livre Médiathèque Fonds général Disponible Sylvain Courtoux : Consume rouge : post-poèmes de combat / Sylvain Courtoux
Titre : Sylvain Courtoux : Consume rouge : post-poèmes de combat Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvain Courtoux, Auteur Editeur : Marseille : Al Dante Année de publication : 2014 Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. Format : 30 cm Accompagnement : Accompagné du CD audio "Death by a thousand sources" ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84761-776-4 Langues : Français Catégories : Autobiographie
Plagiat
Poésie
Poésie sonoreRésumé : À travers ce dispositif poétique totalement autobiographique, Sylvain Courtoux se met en scène comme membre d'un espace poétique régi selon des règles sociétales proches de celles en vigueur dans tous les secteurs sociaux-professionnels. Il y raconte sa manière d'aborder ce milieu : ses affres, ses espoirs et ses angoisses ; il en décortique le fonctionnement et les codes ; il décrit comment cet espace poétique devient, à l'instar de n'importe quel espace artistique, un lieu où se jouent des enjeux d'argent et de pouvoir, à travers des systèmes de starification et de marginalisation qui, s'ils touchent peu de personnes et semblent bien dérisoires en regard des arts de la scène, produisent le même effet sur les poètes, qui en acceptent, voire en appellent les protocoles. Ce texte, qui semble comme « écrit de l'intérieur », révèle également la part intime de l'auteur (déjà exposée dans Still Nox : ses addictions, le suicide de sa mère, ses relations avec la famille, les ami-e-s, la société, etc.), ses réflexions sur la poésie et les techniques d'écritures utilisées par ses contemporains et par lui-même, ainsi que sur le rock – musique, addictions et poésie formant l'essentiel de son univers (cf. Strangulation blues). En accompagnement du texte, l'auteur nous propose d'écouter un CD d'une musique bruitiste obsessionnelle qu'il a lui-même composée : il ne s'agit ni d'une bande-son, ni d'une illustration sonore, encore moins de poésie sonore… mais si Consume rouge est la décalque textuelle de l'univers mental de l'auteur, cette musique, au titre évocateur de Dead By A Thousand Sources, en est la décalque sonore. En ce sens, elle est également à prendre comme un document, qui fait partie intégrante du dispositif global. [Résumé de l'éditeur] Sylvain Courtoux : Consume rouge : post-poèmes de combat [texte imprimé] / Sylvain Courtoux, Auteur . - Marseille : Al Dante, 2014 . - 1 vol. (95 p.) : ill. ; 30 cm + Accompagné du CD audio "Death by a thousand sources".
ISBN : 978-2-84761-776-4
Langues : Français
Catégories : Autobiographie
Plagiat
Poésie
Poésie sonoreRésumé : À travers ce dispositif poétique totalement autobiographique, Sylvain Courtoux se met en scène comme membre d'un espace poétique régi selon des règles sociétales proches de celles en vigueur dans tous les secteurs sociaux-professionnels. Il y raconte sa manière d'aborder ce milieu : ses affres, ses espoirs et ses angoisses ; il en décortique le fonctionnement et les codes ; il décrit comment cet espace poétique devient, à l'instar de n'importe quel espace artistique, un lieu où se jouent des enjeux d'argent et de pouvoir, à travers des systèmes de starification et de marginalisation qui, s'ils touchent peu de personnes et semblent bien dérisoires en regard des arts de la scène, produisent le même effet sur les poètes, qui en acceptent, voire en appellent les protocoles. Ce texte, qui semble comme « écrit de l'intérieur », révèle également la part intime de l'auteur (déjà exposée dans Still Nox : ses addictions, le suicide de sa mère, ses relations avec la famille, les ami-e-s, la société, etc.), ses réflexions sur la poésie et les techniques d'écritures utilisées par ses contemporains et par lui-même, ainsi que sur le rock – musique, addictions et poésie formant l'essentiel de son univers (cf. Strangulation blues). En accompagnement du texte, l'auteur nous propose d'écouter un CD d'une musique bruitiste obsessionnelle qu'il a lui-même composée : il ne s'agit ni d'une bande-son, ni d'une illustration sonore, encore moins de poésie sonore… mais si Consume rouge est la décalque textuelle de l'univers mental de l'auteur, cette musique, au titre évocateur de Dead By A Thousand Sources, en est la décalque sonore. En ce sens, elle est également à prendre comme un document, qui fait partie intégrante du dispositif global. [Résumé de l'éditeur] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 016594 802 COU Livre Médiathèque Fonds général Disponible