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Éditeur Zones sensibles
localisé à Bruxelles
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Affiner la rechercheComment pensent les forêts / Eduardo Kohn
Titre : Comment pensent les forêts : vers une anthropologie au-delà de l'humain Type de document : texte imprimé Auteurs : Eduardo Kohn (1968-....), Auteur Editeur : Bruxelles : Zones sensibles Année de publication : 2017 Autre Editeur : Pactum serva Importance : 1 vol. (334 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., cartes, couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-930601-25-0 Langues : Français Catégories : Biologie
Botanique
Forêts
Langage
Nature
Plantes
Vie (biologie)Comment pensent les forêts : vers une anthropologie au-delà de l'humain [texte imprimé] / Eduardo Kohn (1968-....), Auteur . - Bruxelles : Zones sensibles : [S.l.] : Pactum serva, 2017 . - 1 vol. (334 p.) : ill. en noir et en coul., cartes, couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-930601-25-0
Langues : Français
Catégories : Biologie
Botanique
Forêts
Langage
Nature
Plantes
Vie (biologie)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 018908 401 KOH Livre Médiathèque Fonds général Disponible Une brève histoire des lignes / Tim Ingold
Titre : Une brève histoire des lignes Type de document : texte imprimé Auteurs : Tim Ingold, Auteur ; Sophie Renaut, Traducteur Editeur : Bruxelles : Zones sensibles Année de publication : 2011 Importance : 251 p. Format : 21 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-930601-02-1 Note générale : Bibliogr. p. 231-240. Index Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : Anthropologie
Calligraphie
Cartographie
Écriture
Ligne (art)
Signes et symboles
TypographieRésumé : Où qu’ils aillent et quoi qu’ils fassent, les hommes tracent des lignes : marcher, écrire, dessiner ou tisser sont des activités où les lignes sont omniprésentes, au même titre que l’usage de la voix, des mains ou des pieds. Dans Une brève histoire des lignes, l’anthropologue anglais Tim Ingold pose les fondements de ce que pourrait être une « anthropologie comparée de la ligne » – et, au-delà, une véritable anthropologie du graphisme. Etayé par de nombreux cas de figure (des pistes chantées des Aborigènes australiens aux routes romaines, de la calligraphie chinoise à l’alphabet imprimé, des tissus amérindiens à l’architecture contemporaine), l’ouvrage analyse la production et l’existence des lignes dans l’activité humaine quotidienne. Tim Ingold divise ces lignes en deux genres – les traces et les fils – avant de montrer que l’un et l’autre peuvent fusionner ou se transformer en surfaces et en motifs. Selon lui, l’Occident a progressivement changé le cours de la ligne, celle-ci perdant peu à peu le lien qui l’unissait au geste et à sa trace pour tendre finalement vers l’idéal de la modernité : la ligne droite. Cet ouvrage s’adresse autant à ceux qui tracent des lignes en travaillant (typographes, architectes, musiciens, cartographes) qu’aux calligraphes et aux marcheurs – eux qui n’en finissent jamais de tracer des lignes car quel que soit l’endroit où l’on va, on peut toujours aller plus loin. Une brève histoire des lignes [texte imprimé] / Tim Ingold, Auteur ; Sophie Renaut, Traducteur . - Bruxelles : Zones sensibles, 2011 . - 251 p. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-930601-02-1
Bibliogr. p. 231-240. Index
Langues : Français Langues originales : Anglais
Catégories : Anthropologie
Calligraphie
Cartographie
Écriture
Ligne (art)
Signes et symboles
TypographieRésumé : Où qu’ils aillent et quoi qu’ils fassent, les hommes tracent des lignes : marcher, écrire, dessiner ou tisser sont des activités où les lignes sont omniprésentes, au même titre que l’usage de la voix, des mains ou des pieds. Dans Une brève histoire des lignes, l’anthropologue anglais Tim Ingold pose les fondements de ce que pourrait être une « anthropologie comparée de la ligne » – et, au-delà, une véritable anthropologie du graphisme. Etayé par de nombreux cas de figure (des pistes chantées des Aborigènes australiens aux routes romaines, de la calligraphie chinoise à l’alphabet imprimé, des tissus amérindiens à l’architecture contemporaine), l’ouvrage analyse la production et l’existence des lignes dans l’activité humaine quotidienne. Tim Ingold divise ces lignes en deux genres – les traces et les fils – avant de montrer que l’un et l’autre peuvent fusionner ou se transformer en surfaces et en motifs. Selon lui, l’Occident a progressivement changé le cours de la ligne, celle-ci perdant peu à peu le lien qui l’unissait au geste et à sa trace pour tendre finalement vers l’idéal de la modernité : la ligne droite. Cet ouvrage s’adresse autant à ceux qui tracent des lignes en travaillant (typographes, architectes, musiciens, cartographes) qu’aux calligraphes et aux marcheurs – eux qui n’en finissent jamais de tracer des lignes car quel que soit l’endroit où l’on va, on peut toujours aller plus loin. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 019000 301.7 ING Livre Médiathèque Fonds général Disponible Flatland / Edwin A. Abbott
Titre : Flatland : Fantaisie en plusieurs dimensions Type de document : texte imprimé Auteurs : Edwin A. Abbott (1838-1926), Auteur ; Philippe Blanchard, Traducteur Editeur : Bruxelles : Zones sensibles Année de publication : 2012 Importance : 1 vol. (151 p.) Présentation : ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-930601-05-2 Langues : Français Catégories : Angleterre (GB)
Littérature
Science-fictionRésumé : Ecrit en 1884 par un théologien anglais, Edwin Abbott Abbott (1838-1926), Flatland est une allégorie politico-graphique, quelque part entre Lewis Carroll, Jonathan Swift et George Orwell. L’ouvrage est écrit par un carré qui vit dans un monde à deux dimensions : Flatland. Les femmes y sont des lignes, les soldats des triangles isocèles aux angles saillants, les cercles sont des prêtres (plus une figure a de côtés, plus elle est élevée socialement). Après avoir décrit en long et en large son monde bidimensionnel (un univers en noir et blanc un jour perturbé par l’arrivée de la couleur), le carré visite Lineland (un monde réduit à une seule ligne) avant de recevoir la visite étrange d’un habitant de Spaceland : une sphère. Ses convictions en seront changées à jamais… Flatland, avec son style parfois ironique, peut se lire de diverses manières : il s’agit autant d’un ouvrage de vulgarisation mathématique accessible à tous (de 7 à 77 ans) qu’une critique des relations sociales de l’époque victorienne. Mais on peut aussi y déceler les propos d’un carré dont la foi vacille… Salué par certains (Ray Bradbury ou Isaac Asimov) comme l’un des textes précurseurs de la science fiction, cette nouvelle édition de Flatland reprend la meilleure des deux traductions françaises parues à ce jour, offre au lecteur une couverture en trois dimensions digne des mystères de Spaceland et une mise en page aux formes diverses. Comme l’écrit Ray Bradbury, la fête commencera lorsque le lecteur aura tourné la première page du livre. Faites-le sans attendre ! John D’Agata enseigne l’écriture à l’université d’Iowa, où il vit. Il a également dirigé The Lost Origins of the Essay et The Next American Essay. [Résumé de l'éditeur] Flatland : Fantaisie en plusieurs dimensions [texte imprimé] / Edwin A. Abbott (1838-1926), Auteur ; Philippe Blanchard, Traducteur . - Bruxelles : Zones sensibles, 2012 . - 1 vol. (151 p.) : ill. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-930601-05-2
Langues : Français
Catégories : Angleterre (GB)
Littérature
Science-fictionRésumé : Ecrit en 1884 par un théologien anglais, Edwin Abbott Abbott (1838-1926), Flatland est une allégorie politico-graphique, quelque part entre Lewis Carroll, Jonathan Swift et George Orwell. L’ouvrage est écrit par un carré qui vit dans un monde à deux dimensions : Flatland. Les femmes y sont des lignes, les soldats des triangles isocèles aux angles saillants, les cercles sont des prêtres (plus une figure a de côtés, plus elle est élevée socialement). Après avoir décrit en long et en large son monde bidimensionnel (un univers en noir et blanc un jour perturbé par l’arrivée de la couleur), le carré visite Lineland (un monde réduit à une seule ligne) avant de recevoir la visite étrange d’un habitant de Spaceland : une sphère. Ses convictions en seront changées à jamais… Flatland, avec son style parfois ironique, peut se lire de diverses manières : il s’agit autant d’un ouvrage de vulgarisation mathématique accessible à tous (de 7 à 77 ans) qu’une critique des relations sociales de l’époque victorienne. Mais on peut aussi y déceler les propos d’un carré dont la foi vacille… Salué par certains (Ray Bradbury ou Isaac Asimov) comme l’un des textes précurseurs de la science fiction, cette nouvelle édition de Flatland reprend la meilleure des deux traductions françaises parues à ce jour, offre au lecteur une couverture en trois dimensions digne des mystères de Spaceland et une mise en page aux formes diverses. Comme l’écrit Ray Bradbury, la fête commencera lorsque le lecteur aura tourné la première page du livre. Faites-le sans attendre ! John D’Agata enseigne l’écriture à l’université d’Iowa, où il vit. Il a également dirigé The Lost Origins of the Essay et The Next American Essay. [Résumé de l'éditeur] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 012430 800 ABB Livre Médiathèque Fonds général Disponible Perdre sa culture / David Berliner
Titre : Perdre sa culture Type de document : texte imprimé Auteurs : David Berliner (1976-....), Auteur Editeur : Bruxelles : Zones sensibles Année de publication : 2018 Importance : 1 vol. (153 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-930601-35-9 Note générale : Bibliogr. p. 133-148. Index Langues : Français Catégories : Acculturation
Diffusion de la culture
Identité collective
Patrimoine culturel
Patrimoine culturel -- Protection
Patrimoine oral et immatériel de l'humanitéIndex. décimale : 306 Résumé : « On perd notre culture », « On a abandonné nos coutumes », « Les traditions se perdent », « Tout fout le camp »… Alors que se multiplient partout dans le monde les revendications à la préservation culturelle, l'auteur montre comment l'anthropologie enseigne qu'il existe différentes façons de penser la disparition, la mémoire, la transmission et le patrimoine face aux ruptures de l'histoire. Perdre sa culture [texte imprimé] / David Berliner (1976-....), Auteur . - Bruxelles : Zones sensibles, 2018 . - 1 vol. (153 p.) ; 21 cm.
ISBN : 978-2-930601-35-9
Bibliogr. p. 133-148. Index
Langues : Français
Catégories : Acculturation
Diffusion de la culture
Identité collective
Patrimoine culturel
Patrimoine culturel -- Protection
Patrimoine oral et immatériel de l'humanitéIndex. décimale : 306 Résumé : « On perd notre culture », « On a abandonné nos coutumes », « Les traditions se perdent », « Tout fout le camp »… Alors que se multiplient partout dans le monde les revendications à la préservation culturelle, l'auteur montre comment l'anthropologie enseigne qu'il existe différentes façons de penser la disparition, la mémoire, la transmission et le patrimoine face aux ruptures de l'histoire. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 018111 306 BER Livre Médiathèque Fonds général Disponible Vampyroteuthis infernalis / Vilém Flusser
Titre : Vampyroteuthis infernalis : un traité, suivi d'un rapport de l'Institut scientifique de recherche paranaturaliste Type de document : texte imprimé Auteurs : Vilém Flusser, Auteur ; Louis Bec, Auteur ; Christophe Lucchese (1983-....), Traducteur Editeur : Bruxelles : Zones sensibles Année de publication : 2015 Importance : 1 vol. (68 p.) Présentation : ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-930601-19-9 Prix : 13 EUR Langues : Français Langues originales : Allemand Catégories : Animaux
Art et sciences
Sciences cognitivesRésumé : « Le présent traité entend prendre en main la structure biologique générale de l’être au monde [Dasein] vampyroteuthique. En effet, certains traits de l’être au monde humain se révèlent à la lumière de cette structure générale. D’autres par contre y apparaîtront complètement déformés. Possibilité nous est dès lors donnée de mettre sur pied un jeu de miroirs déformants à l’aide duquel nous reconnaîtrons à distance, quelque peu altérée, la structure générale de notre propre être au monde. Ce jeu « réfléchissant » doit nous procurer une vision de nous-mêmes qui, pour distanciée qu’elle soit, n’a rien de « transcendant ». Cette vision n’est pas transcendante en ceci qu’elle n’adopte pas un regard plongeant, comme c’est le cas de la vision scientifique – point de vue flottant au-dessus de monde, « objectif » –, mais choisit le point de vue vampyroteuthique, et ce dernier est bel et bien avec nous sur Terre : il est un Être-avec. Il en ressort que le présent traité ne se veut pas scientifique mais fabuleux. L’humain, dans son être au monde de vertébré, doit être critiqué du point de vue d’un invertébré. Et comme la plupart des fables, celle-ci est aussi une affaire d’animaux, du moins en apparence. De te fabula narratur. » Vampyroteuthis infernalis : un traité, suivi d'un rapport de l'Institut scientifique de recherche paranaturaliste [texte imprimé] / Vilém Flusser, Auteur ; Louis Bec, Auteur ; Christophe Lucchese (1983-....), Traducteur . - Bruxelles : Zones sensibles, 2015 . - 1 vol. (68 p.) : ill. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-930601-19-9 : 13 EUR
Langues : Français Langues originales : Allemand
Catégories : Animaux
Art et sciences
Sciences cognitivesRésumé : « Le présent traité entend prendre en main la structure biologique générale de l’être au monde [Dasein] vampyroteuthique. En effet, certains traits de l’être au monde humain se révèlent à la lumière de cette structure générale. D’autres par contre y apparaîtront complètement déformés. Possibilité nous est dès lors donnée de mettre sur pied un jeu de miroirs déformants à l’aide duquel nous reconnaîtrons à distance, quelque peu altérée, la structure générale de notre propre être au monde. Ce jeu « réfléchissant » doit nous procurer une vision de nous-mêmes qui, pour distanciée qu’elle soit, n’a rien de « transcendant ». Cette vision n’est pas transcendante en ceci qu’elle n’adopte pas un regard plongeant, comme c’est le cas de la vision scientifique – point de vue flottant au-dessus de monde, « objectif » –, mais choisit le point de vue vampyroteuthique, et ce dernier est bel et bien avec nous sur Terre : il est un Être-avec. Il en ressort que le présent traité ne se veut pas scientifique mais fabuleux. L’humain, dans son être au monde de vertébré, doit être critiqué du point de vue d’un invertébré. Et comme la plupart des fables, celle-ci est aussi une affaire d’animaux, du moins en apparence. De te fabula narratur. » Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 017752 800 FLU Livre Médiathèque Fonds général Disponible Ni vu, ni connu / Hanna Rose Shell
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