Titre : | Dialogues d'exilés ; (suivi de) Fragments | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Bertolt Brecht, Auteur ; Gilbert Badia, Traducteur ; Jean Baudrillard, Traducteur | Editeur : | Paris : L'Arche | Année de publication : | 1965 | Collection : | Scène ouverte | Importance : | 1 vol. (142 p.) | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2-85181-153-2 | Langues : | Français | Catégories : | Allemagne Exil Littérature Théâtre
| Résumé : | « La meilleure école pour la dialectique, c’est l’émigration. Les dialecticiens les plus pénétrants sont les exilés. Ce sont des changements qui les ont forcés à s’exiler, et ils ne s’intéressent qu’aux changements. De signes infimes, ils déduisent, à condition bien sûr qu’ils soient capables de réfléchir, les événements les plus fantastiques. Si leurs adversaires l’emportent, ils calculent le prix que ceux-ci ont dû payer leur victoire, et pour les contradictions ils ont l’œil. Vive la dialectique ! » |
Dialogues d'exilés ; (suivi de) Fragments [texte imprimé] / Bertolt Brecht, Auteur ; Gilbert Badia, Traducteur ; Jean Baudrillard, Traducteur . - Paris : L'Arche, 1965 . - 1 vol. (142 p.) ; 18 cm. - ( Scène ouverte) . ISSN : 2-85181-153-2 Langues : Français Catégories : | Allemagne Exil Littérature Théâtre
| Résumé : | « La meilleure école pour la dialectique, c’est l’émigration. Les dialecticiens les plus pénétrants sont les exilés. Ce sont des changements qui les ont forcés à s’exiler, et ils ne s’intéressent qu’aux changements. De signes infimes, ils déduisent, à condition bien sûr qu’ils soient capables de réfléchir, les événements les plus fantastiques. Si leurs adversaires l’emportent, ils calculent le prix que ceux-ci ont dû payer leur victoire, et pour les contradictions ils ont l’œil. Vive la dialectique ! » |
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