| Titre : | Correspondance 1930-1952 | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | John Fante (1909-1983), Auteur ; Henry Louis Mencken (1880-1956), Auteur ; Michael Moreau, Editeur scientifique ; Joyce Fante (1913-2005), Editeur scientifique ; Brice Matthieussent (1950-....), Traducteur | | Editeur : | Paris : Christian Bourgois | | Année de publication : | 1991 | | Collection : | 10/18 num. 2344 | | Titres uniformes : |
?A ?Personal correspondence 1930-1952 : Fran?cais
| | Importance : | 180 p. | | Format : | 18 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 2-264-01766-X | | Note générale : | Trad. de : "A Personal correspondence 1930-1952" | | Langues : | Français Langues originales : Anglais | | Catégories : | Correspondance Fante, John (1909-1983) Mencken, Henry Louis (1880-1956)
| | Index. décimale : | 818.52 | | Résumé : | "En 1930, un jeune écrivain en herbe, originaire du Colorado, écrivit à H.-L. Mencken à l'American Mercury de New-York pour lui exprimer son désir de collaborer à sa revue. Ce fut peut-être l'audace de la jeunesse qui poussa John Fante, âgé de vingt et un ans et encore non publié, à s'adresser d'embler au sommet de la hiérarchie littéraire. Car le Mercury était alors la revue culturelle et littéraire la plus respectée des États-Unis. Il s'ensuivit une correspondance qui dura plus de vingt ans." (résumé 4e de couv.) |
Correspondance 1930-1952 [texte imprimé] / John Fante (1909-1983), Auteur ; Henry Louis Mencken (1880-1956), Auteur ; Michael Moreau, Editeur scientifique ; Joyce Fante (1913-2005), Editeur scientifique ; Brice Matthieussent (1950-....), Traducteur . - Paris : Christian Bourgois, 1991 . - 180 p. ; 18 cm. - ( 10/18; 2344) . ISBN : 2-264-01766-X Oeuvre : ?A ?Personal correspondence 1930-1952 : Fran?cais Trad. de : "A Personal correspondence 1930-1952" Langues : Français Langues originales : Anglais | Catégories : | Correspondance Fante, John (1909-1983) Mencken, Henry Louis (1880-1956)
| | Index. décimale : | 818.52 | | Résumé : | "En 1930, un jeune écrivain en herbe, originaire du Colorado, écrivit à H.-L. Mencken à l'American Mercury de New-York pour lui exprimer son désir de collaborer à sa revue. Ce fut peut-être l'audace de la jeunesse qui poussa John Fante, âgé de vingt et un ans et encore non publié, à s'adresser d'embler au sommet de la hiérarchie littéraire. Car le Mercury était alors la revue culturelle et littéraire la plus respectée des États-Unis. Il s'ensuivit une correspondance qui dura plus de vingt ans." (résumé 4e de couv.) |
|  |