Titre : | Saccage : et autres pièces ; théâtre politique | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Judith Bernard (19..-....), Auteur | Editeur : | [Paris] : Libertalia | Année de publication : | 2020 | Collection : | La Petite littéraire, ISSN 2417-5617 | Importance : | 1 vol. (268 p.) | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-37729-170-0 | Langues : | Français | Catégories : | Mouvements de résistance Théâtre
| Résumé : | Ces trois pièces de théâtre ont en commun de prendre à bras le corps les structures de notre aliénation – le salariat, la dette, l’État – dont la coercition est si puissante et si profondément incorporée qu’elle nous est, souvent, invisible. Le théâtre, parce qu’il est le lieu où l’on regarde, permet de les faire apparaître pour ce qu’ils sont : des mécanismes disciplinaires plus bêtes que méchants dont on peut jouer, et se jouer. Car sur un plateau, il y a du jeu : du mouvement, des facéties, des métamorphoses, et cette liberté gagnée permet non seulement de voir ce qui était invisible, mais de dire ce dont on ne pouvait pas parler. Sur scène, la parole vive perfore le linceul des évidences. Nourries par la production théorique contemporaine en matière de philosophie et d’économie politique (Lordon, Friot, Graeber), ces pièces s’offrent comme des expérimentations ludiques, susceptibles d’incarner et d’articuler entre elles les réflexions que notre époque appelle, pour armer nos résistances de toute la puissance joyeuse qu’offrent la création et le spectacle vivant. [Résumé de l'éditeur] |
Saccage : et autres pièces ; théâtre politique [texte imprimé] / Judith Bernard (19..-....), Auteur . - [Paris] : Libertalia, 2020 . - 1 vol. (268 p.) ; 18 cm. - ( La Petite littéraire, ISSN 2417-5617) . ISBN : 978-2-37729-170-0 Langues : Français Catégories : | Mouvements de résistance Théâtre
| Résumé : | Ces trois pièces de théâtre ont en commun de prendre à bras le corps les structures de notre aliénation – le salariat, la dette, l’État – dont la coercition est si puissante et si profondément incorporée qu’elle nous est, souvent, invisible. Le théâtre, parce qu’il est le lieu où l’on regarde, permet de les faire apparaître pour ce qu’ils sont : des mécanismes disciplinaires plus bêtes que méchants dont on peut jouer, et se jouer. Car sur un plateau, il y a du jeu : du mouvement, des facéties, des métamorphoses, et cette liberté gagnée permet non seulement de voir ce qui était invisible, mais de dire ce dont on ne pouvait pas parler. Sur scène, la parole vive perfore le linceul des évidences. Nourries par la production théorique contemporaine en matière de philosophie et d’économie politique (Lordon, Friot, Graeber), ces pièces s’offrent comme des expérimentations ludiques, susceptibles d’incarner et d’articuler entre elles les réflexions que notre époque appelle, pour armer nos résistances de toute la puissance joyeuse qu’offrent la création et le spectacle vivant. [Résumé de l'éditeur] |
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