Titre : | L'Odyssée | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Homère (08..-08.. av. J.-C.), Auteur ; Paul Claudel, Préfacier, etc. ; Victor Bérard (1864-1931), Traducteur ; Jean Bérard (1908-1957), Editeur scientifique | Editeur : | Gallimard | Année de publication : | cop. 1955 | Collection : | Collection Folio, ISSN 0768-0732 num. 254 | Titres uniformes : |
Odyssée
| Importance : | 1 vol. (597 p) | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2-07-036254-X | Langues : | Français Langues originales : Grec classique | Catégories : | Mythe Mythologie Mythologie grecque Roman
| Résumé : | «Et le divin Ulysse émergea des broussailles. Sa forte main cassa dans la dense verdure un rameau bien feuillu qu'il donnerait pour voile à sa virilité. Puis il sortit du bois. Tel un lion des monts, qui compte sur sa force, s'en va, les yeux en feu, par la pluie et le vent, se jeter sur les bufs et les moutons, ou court forcer les daims sauvages ; c'est le ventre qui parle. Tel, en sa nudité, Ulysse s'avançait vers ces filles bouclées : le besoin le poussait... Quand l'horreur de ce corps tout gâté par la mer leur apparut, ce fut une fuite éperdue jusqu'aux franges des grèves. Il ne resta que la fille d'Alkinoos : Athéna lui mettait dans le cur cette audace et ne permettait pas à ses membres la peur. Debout, elle fit tête...» |
L'Odyssée [texte imprimé] / Homère (08..-08.. av. J.-C.), Auteur ; Paul Claudel, Préfacier, etc. ; Victor Bérard (1864-1931), Traducteur ; Jean Bérard (1908-1957), Editeur scientifique . - [S.l.] : Gallimard, cop. 1955 . - 1 vol. (597 p) ; 18 cm. - ( Collection Folio, ISSN 0768-0732; 254) . ISBN : 2-07-036254-X Oeuvre : OdysséeLangues : Français Langues originales : Grec classique Catégories : | Mythe Mythologie Mythologie grecque Roman
| Résumé : | «Et le divin Ulysse émergea des broussailles. Sa forte main cassa dans la dense verdure un rameau bien feuillu qu'il donnerait pour voile à sa virilité. Puis il sortit du bois. Tel un lion des monts, qui compte sur sa force, s'en va, les yeux en feu, par la pluie et le vent, se jeter sur les bufs et les moutons, ou court forcer les daims sauvages ; c'est le ventre qui parle. Tel, en sa nudité, Ulysse s'avançait vers ces filles bouclées : le besoin le poussait... Quand l'horreur de ce corps tout gâté par la mer leur apparut, ce fut une fuite éperdue jusqu'aux franges des grèves. Il ne resta que la fille d'Alkinoos : Athéna lui mettait dans le cur cette audace et ne permettait pas à ses membres la peur. Debout, elle fit tête...» |
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