Titre : | Opium pour Ovide : notes de chevet sur vingt-deux femmes | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Yoko Tawada, Auteur ; Bernard Banoun (1961-....), Traducteur | Année de publication : | 2002 | Importance : | 1 vol. (200 p.) | Format : | 22 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2-86432-350-8 | Langues : | Français Langues originales : Allemand | Catégories : | Drogues Roman
| Résumé : | Dans le décor ultra-contemporain d’une grande ville moderne, Hambourg, se croisent les destins de 22 femmes d’aujourd’hui auxquelles Yoko Tawada a voulu donner des noms repris aux Métamorphoses d’Ovide, car leurs expériences rejoignent en profondeur la fragilité de l’âme et du corps qui fascinait déjà le poète antique.
La romancière se sert de scènes très quotidiennes pour éclairer le passé, les obsessions, la situation sociale de ses personnages, leurs bonheurs et leurs malheurs, avec cette souveraine objectivité du regard et ce détachement que Roland Barthes, dans L’Empire des signes, tenait pour l’une des qualités majeures de la tradition littéraire japonaise. Plongeant dans les rêves et la matérialité des corps, décrivant de l’intérieur les blessures qu’inflige le réel, cette écriture se situe dans la double tradition des Notes de chevet de Sei-Shônagon et des écrivains occidentaux qui ont raconté leur expérience de la drogue (de Thomas De Quincey à Michaux). [Résumé de l'éditeur] |
Opium pour Ovide : notes de chevet sur vingt-deux femmes [texte imprimé] / Yoko Tawada, Auteur ; Bernard Banoun (1961-....), Traducteur . - 2002 . - 1 vol. (200 p.) ; 22 cm. ISBN : 2-86432-350-8 Langues : Français Langues originales : Allemand Catégories : | Drogues Roman
| Résumé : | Dans le décor ultra-contemporain d’une grande ville moderne, Hambourg, se croisent les destins de 22 femmes d’aujourd’hui auxquelles Yoko Tawada a voulu donner des noms repris aux Métamorphoses d’Ovide, car leurs expériences rejoignent en profondeur la fragilité de l’âme et du corps qui fascinait déjà le poète antique.
La romancière se sert de scènes très quotidiennes pour éclairer le passé, les obsessions, la situation sociale de ses personnages, leurs bonheurs et leurs malheurs, avec cette souveraine objectivité du regard et ce détachement que Roland Barthes, dans L’Empire des signes, tenait pour l’une des qualités majeures de la tradition littéraire japonaise. Plongeant dans les rêves et la matérialité des corps, décrivant de l’intérieur les blessures qu’inflige le réel, cette écriture se situe dans la double tradition des Notes de chevet de Sei-Shônagon et des écrivains occidentaux qui ont raconté leur expérience de la drogue (de Thomas De Quincey à Michaux). [Résumé de l'éditeur] |
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