Titre : | Mandoline | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Pia-Mélissa Laroche (1985-....), Auteur | Année de publication : | 2023 | Importance : | 1 vol. (96 p.) | Présentation : | ill. en noir et blanc | Format : | 21 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-916383-72-9 | Langues : | Français | Catégories : | Bandes dessinées Instruments de musique
| Résumé : | Mandoline met en scène nombre d’instruments et de situations de communication. En dépit de ces moyens, les personnages de Mandoline restent seuls, assignés chacun à leur case. Rien ne se dit, rien ne se communique dans Mandoline. Comme voués au silence par une malédiction, figés, pétrifiés tels les protagonistes d’un conte horrifique, les êtres restent impuissants à s’exprimer, à échanger ou simplement à entrer en relation avec d’autres qu’eux-mêmes. Ce qui, à travers et malgré eux, circule est la musique, ou en tout cas ses signes, de simples notes, les notations musicales qui, de leurs instruments, de leurs yeux, de leurs oreilles, s’échappent et vagabondent, plongent dans d’autres corps, d’autres têtes. Dans Mandoline, la musique, infra-langage involontaire, est ce qui relie et tout aussi bien sépare, est ce qui fait vibrer des êtres résignés à la mélancolie, des êtres creux qui ne savent que résonner. |
Mandoline [texte imprimé] / Pia-Mélissa Laroche (1985-....), Auteur . - 2023 . - 1 vol. (96 p.) : ill. en noir et blanc ; 21 cm. ISBN : 978-2-916383-72-9 Langues : Français Catégories : | Bandes dessinées Instruments de musique
| Résumé : | Mandoline met en scène nombre d’instruments et de situations de communication. En dépit de ces moyens, les personnages de Mandoline restent seuls, assignés chacun à leur case. Rien ne se dit, rien ne se communique dans Mandoline. Comme voués au silence par une malédiction, figés, pétrifiés tels les protagonistes d’un conte horrifique, les êtres restent impuissants à s’exprimer, à échanger ou simplement à entrer en relation avec d’autres qu’eux-mêmes. Ce qui, à travers et malgré eux, circule est la musique, ou en tout cas ses signes, de simples notes, les notations musicales qui, de leurs instruments, de leurs yeux, de leurs oreilles, s’échappent et vagabondent, plongent dans d’autres corps, d’autres têtes. Dans Mandoline, la musique, infra-langage involontaire, est ce qui relie et tout aussi bien sépare, est ce qui fait vibrer des êtres résignés à la mélancolie, des êtres creux qui ne savent que résonner. |
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