Titre : | L'Haçienda : la meilleure façon de couler un club | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Peter Hook (1956-....), Auteur ; Jean-François Caro, Traducteur | Editeur : | Marseille : Le Mot et le reste | Année de publication : | 2012 | Collection : | Attitudes (Marseille), ISSN 1952-0077 | Importance : | 1 vol. (330 p.) | Présentation : | ill. | Format : | 21 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-36054-065-5 | Note générale : | Bibliogr. et webliogr. p. 321-322. Index | Langues : | Français Langues originales : Anglais | Catégories : | Boîtes de nuit, dancings, etc. Grande-Bretagne -- Manchester (GB) Hook, Peter (1956-....) The Haçienda -- Manchester, GB -- Histoire Vie nocturne
| Résumé : | C'est en 1982 à Manchester que le club FAC 51, plus connu sous le nom de l'Haçienda, voit le jour. Financé par Factory, le label de Joy Division, il devient vite un club de légende. Espace novateur dans sa programmation, lieu de naissance de l'acid house, épicentre de Madchester, l'haçienda attire les artistes, les foules et les ennuis. Là où les propriétaires du lieu ont voulu baser leur gestion sur la confiance, ils réalisent rapidement que l'affaire tourne au chaos, complètement ingérable?: on leur vole leur matériel qu'on trouve moyen de leur relouer, des caisses de bouteilles disparaissent continuellement, les problèmes de sécurité s'accumulent, les pertes augmentent et tout le monde (les gangs, les filles, la police) sont après eux. En 1997, suite au décès d'une jeune-fille, le club ferme ses portes. En 2009, Peter Hook décide de raconter cette histoire telle qu'il la vécue, avec sa verve et son franc-parler. Peter Hook est un des membres fondateurs de Joy Division et de New Order, dont il est le bassiste. Il était aussi un des propriétaires du club l'Haçienda.
Manchester s'agite maintenant. Des tas de gens partout. Mon dieu, ce que j'aime cette ville. Je suis tellement fier de faire partie de son héritage. Tandis que je tourne à Deansgate et m'engouffre dans Whitworth Street, j'entends le son des basses de notre sound system, celui-là même que j'ai contribué à bâtir. J'aime la manière qu'ont les fenêtres de l'Haçienda de vibrer au son des basses. Qui voudrait avoir des fenêtres dans un nightclub ? Nous. Oui, douze fichues fenêtres, toutes tremblantes tel un fervent mollah nous enjoignant à la prière. |
L'Haçienda : la meilleure façon de couler un club [texte imprimé] / Peter Hook (1956-....), Auteur ; Jean-François Caro, Traducteur . - Marseille : Le Mot et le reste, 2012 . - 1 vol. (330 p.) : ill. ; 21 cm. - ( Attitudes (Marseille), ISSN 1952-0077) . ISBN : 978-2-36054-065-5 Bibliogr. et webliogr. p. 321-322. Index Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : | Boîtes de nuit, dancings, etc. Grande-Bretagne -- Manchester (GB) Hook, Peter (1956-....) The Haçienda -- Manchester, GB -- Histoire Vie nocturne
| Résumé : | C'est en 1982 à Manchester que le club FAC 51, plus connu sous le nom de l'Haçienda, voit le jour. Financé par Factory, le label de Joy Division, il devient vite un club de légende. Espace novateur dans sa programmation, lieu de naissance de l'acid house, épicentre de Madchester, l'haçienda attire les artistes, les foules et les ennuis. Là où les propriétaires du lieu ont voulu baser leur gestion sur la confiance, ils réalisent rapidement que l'affaire tourne au chaos, complètement ingérable?: on leur vole leur matériel qu'on trouve moyen de leur relouer, des caisses de bouteilles disparaissent continuellement, les problèmes de sécurité s'accumulent, les pertes augmentent et tout le monde (les gangs, les filles, la police) sont après eux. En 1997, suite au décès d'une jeune-fille, le club ferme ses portes. En 2009, Peter Hook décide de raconter cette histoire telle qu'il la vécue, avec sa verve et son franc-parler. Peter Hook est un des membres fondateurs de Joy Division et de New Order, dont il est le bassiste. Il était aussi un des propriétaires du club l'Haçienda.
Manchester s'agite maintenant. Des tas de gens partout. Mon dieu, ce que j'aime cette ville. Je suis tellement fier de faire partie de son héritage. Tandis que je tourne à Deansgate et m'engouffre dans Whitworth Street, j'entends le son des basses de notre sound system, celui-là même que j'ai contribué à bâtir. J'aime la manière qu'ont les fenêtres de l'Haçienda de vibrer au son des basses. Qui voudrait avoir des fenêtres dans un nightclub ? Nous. Oui, douze fichues fenêtres, toutes tremblantes tel un fervent mollah nous enjoignant à la prière. |
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