Titre : | Espèces d'espaces | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Georges Perec ; Jean-Luc Joly, Postfacier, auteur du colophon, etc. | Editeur : | Paris : Seuil | Année de publication : | 2022 | Collection : | La Librairie du XXIe siècle | Importance : | 1 vol. (208p.) | Format : | 22 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-02-147909-6 | Note générale : | Edition augmentée | Langues : | Français | Catégories : | Environnement Espace personnel Littérature -- 20e siècle Perec, Georges (1936-1982)
| Résumé : | "L’espace de notre vie n’est ni continu, ni infini, ni homogène, ni isotrope. Mais sait-on précisément où il se brise, où il se courbe, où il se déconnecte et où il se rassemble ? On sent confusément des fissures, des hiatus, des points de friction, on a parfois la vague impression que ça se coince quelque part, ou que ça éclate, ou que ça se cogne. Nous cherchons rarement à en savoir davantage et le plus souvent nous passons d’un endroit à l’autre, d’un espace à l’autre sans songer à mesurer, à prendre en charge, à prendre en compte ces laps d’espace. Le problème n’est pas d’inventer l’espace, encore moins de le ré-inventer (trop de gens bien intentionnés sont là aujourd’hui pour penser notre environnement…), mais de l’interroger, ou, plus simplement encore, de le lire ; car ce que nous appelons quotidienneté n’est pas évidence, mais opacité : une forme de cécité, une manière d’anesthésie. C’est à partir de ces constatations élémentaires que s’est développé ce livre, journal d’un usager de l’espace. G. P" [4e de couverture] |
Espèces d'espaces [texte imprimé] / Georges Perec ; Jean-Luc Joly, Postfacier, auteur du colophon, etc. . - Paris : Seuil, 2022 . - 1 vol. (208p.) ; 22 cm. - ( La Librairie du XXIe siècle) . ISBN : 978-2-02-147909-6 Edition augmentée Langues : Français Catégories : | Environnement Espace personnel Littérature -- 20e siècle Perec, Georges (1936-1982)
| Résumé : | "L’espace de notre vie n’est ni continu, ni infini, ni homogène, ni isotrope. Mais sait-on précisément où il se brise, où il se courbe, où il se déconnecte et où il se rassemble ? On sent confusément des fissures, des hiatus, des points de friction, on a parfois la vague impression que ça se coince quelque part, ou que ça éclate, ou que ça se cogne. Nous cherchons rarement à en savoir davantage et le plus souvent nous passons d’un endroit à l’autre, d’un espace à l’autre sans songer à mesurer, à prendre en charge, à prendre en compte ces laps d’espace. Le problème n’est pas d’inventer l’espace, encore moins de le ré-inventer (trop de gens bien intentionnés sont là aujourd’hui pour penser notre environnement…), mais de l’interroger, ou, plus simplement encore, de le lire ; car ce que nous appelons quotidienneté n’est pas évidence, mais opacité : une forme de cécité, une manière d’anesthésie. C’est à partir de ces constatations élémentaires que s’est développé ce livre, journal d’un usager de l’espace. G. P" [4e de couverture] |
| |