Titre : | Assommons les poètes ! | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Sophie G. Lucas (1968-....), Auteur | Année de publication : | 2018 | Importance : | 1 vol. (156 p.) | Format : | 15 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-917817-97-1 | Langues : | Français | Catégories : | France Poésie XXI°
| Index. décimale : | 804 | Résumé : | Assommons les poètes ! est un clin d’œil à Baudelaire et à son poème Assommons les pauvres ! Parce que la place de la poésie contemporaine dans le paysage littéraire en France est pauvre, alors que paradoxalement, elle est si vivante, si riche, si remuante. Mais en marge. Etre poète, c’est emprunter un chemin qui ne nous mènerait nulle part : ni reconnaissance matérielle ni reconnaissance sociale. Mais on s’en fiche. C’est plus fort que nous. On y va. Et plus qu’écrire, c’est une manière de vivre, d’être au monde, de ne pas trouver sa place, parce que toujours inconfortable. Ecrire de la poésie de nos jours, est une forme de résistance. Tout comme s’assumer comme poète, ce que l’on met du temps à dire, comme si on usurpait une place, où que l’on portait un vêtement trop grand. [Résumé de l'éditeur]
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Assommons les poètes ! [texte imprimé] / Sophie G. Lucas (1968-....), Auteur . - 2018 . - 1 vol. (156 p.) ; 15 cm. ISBN : 978-2-917817-97-1 Langues : Français Catégories : | France Poésie XXI°
| Index. décimale : | 804 | Résumé : | Assommons les poètes ! est un clin d’œil à Baudelaire et à son poème Assommons les pauvres ! Parce que la place de la poésie contemporaine dans le paysage littéraire en France est pauvre, alors que paradoxalement, elle est si vivante, si riche, si remuante. Mais en marge. Etre poète, c’est emprunter un chemin qui ne nous mènerait nulle part : ni reconnaissance matérielle ni reconnaissance sociale. Mais on s’en fiche. C’est plus fort que nous. On y va. Et plus qu’écrire, c’est une manière de vivre, d’être au monde, de ne pas trouver sa place, parce que toujours inconfortable. Ecrire de la poésie de nos jours, est une forme de résistance. Tout comme s’assumer comme poète, ce que l’on met du temps à dire, comme si on usurpait une place, où que l’on portait un vêtement trop grand. [Résumé de l'éditeur]
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