Titre : | Devant l'image : question posée aux fins d'une histoire de l'art | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Georges Didi-Huberman, Auteur | Editeur : | Paris : Les Editions de Minuit | Année de publication : | 1990 | Collection : | Critique | Importance : | 319 p. | Format : | ill., 22 cm. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7073-1336-2 | Langues : | Français | Catégories : | Art -- Histoire Image (philosophie)
| Résumé : | Ce livre développe une critique posée et reposée à nos certitudes devant l’image. Comment regardons-nous ? Pas seulement avec les yeux, pas seulement avec notre regard. Voir rime avec savoir, ce qui nous suggère que l’œil sauvage n’existe pas, et que nous embrassons aussi les images avec des mots, avec des procédures de connaissance, avec des catégories de pensée. D’où viennent-elles, ces catégories ? C’est la question posée ici à la discipline de l’histoire de l’art, dont le développement actuel – la finesse de ses outils, son impressionnante capacité d’érudition, sa prétention scientifique, son rôle dans le marché de l’art – semble autoriser le ton de certitude si souvent adopté par les professionnels de l’art, les savants de l’image. Or, qu’est-ce qu’un savoir lorsque le savoir porte sur ce Protée que l’on nomme une image ? La question exige de mettre à jour la “ philosophie spontanée ” ou les modèles discursifs mis en jeu lorsque nous cherchons, devant un tableau ou une sculpture, à en tirer, voire à en soutirer une connaissance... [résumé de l'éditeur] |
Devant l'image : question posée aux fins d'une histoire de l'art [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman, Auteur . - Paris : Les Editions de Minuit, 1990 . - 319 p. ; ill., 22 cm.. - ( Critique) . ISBN : 978-2-7073-1336-2 Langues : Français Catégories : | Art -- Histoire Image (philosophie)
| Résumé : | Ce livre développe une critique posée et reposée à nos certitudes devant l’image. Comment regardons-nous ? Pas seulement avec les yeux, pas seulement avec notre regard. Voir rime avec savoir, ce qui nous suggère que l’œil sauvage n’existe pas, et que nous embrassons aussi les images avec des mots, avec des procédures de connaissance, avec des catégories de pensée. D’où viennent-elles, ces catégories ? C’est la question posée ici à la discipline de l’histoire de l’art, dont le développement actuel – la finesse de ses outils, son impressionnante capacité d’érudition, sa prétention scientifique, son rôle dans le marché de l’art – semble autoriser le ton de certitude si souvent adopté par les professionnels de l’art, les savants de l’image. Or, qu’est-ce qu’un savoir lorsque le savoir porte sur ce Protée que l’on nomme une image ? La question exige de mettre à jour la “ philosophie spontanée ” ou les modèles discursifs mis en jeu lorsque nous cherchons, devant un tableau ou une sculpture, à en tirer, voire à en soutirer une connaissance... [résumé de l'éditeur] |
| |