Titre : | Pour une anthropologie anarchiste | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | David Graeber (1961-....), Auteur ; Karine Peschard, Traducteur | Mention d'édition : | [Nouvelle éd.], traduction revue et corrigée | Année de publication : | 2019 | Importance : | 1 vol. (121 p.) | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-89596-272-4 | Prix : | 14,95 EUR | Langues : | Français Langues originales : Anglais | Catégories : | Anarchisme Anthropologie Anthropologie politique
| Index. décimale : | 320.570 1 | Résumé : | L’anarchisme, en tant que philosophie politique, est en plein essor. Alors qu’ils étaient à la base de l’organisation dans le mouvement altermondialiste, les principes anarchistes traditionnels – autonomie, association volontaire, autogestion, entraide, démocratie directe – jouent maintenant ce rôle dans des mouvements radicaux de toutes sortes dans le monde entier.
Et pourtant, cela n’a eu presque aucun écho dans le milieu universitaire. Les anarchistes interrogent souvent les anthropologues sur leurs idées quant aux diverses façons d’organiser la société sur des bases plus égalitaires, moins aliénantes. Les anthropologues, terrifiés à l’idée de se voir accusés de romantisme, n’ont pour seule réponse que leur silence. Et s’il en était autrement ? [4e de couverture] |
Pour une anthropologie anarchiste [texte imprimé] / David Graeber (1961-....), Auteur ; Karine Peschard, Traducteur . - [Nouvelle éd.], traduction revue et corrigée . - 2019 . - 1 vol. (121 p.) ; 18 cm. ISBN : 978-2-89596-272-4 : 14,95 EUR Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : | Anarchisme Anthropologie Anthropologie politique
| Index. décimale : | 320.570 1 | Résumé : | L’anarchisme, en tant que philosophie politique, est en plein essor. Alors qu’ils étaient à la base de l’organisation dans le mouvement altermondialiste, les principes anarchistes traditionnels – autonomie, association volontaire, autogestion, entraide, démocratie directe – jouent maintenant ce rôle dans des mouvements radicaux de toutes sortes dans le monde entier.
Et pourtant, cela n’a eu presque aucun écho dans le milieu universitaire. Les anarchistes interrogent souvent les anthropologues sur leurs idées quant aux diverses façons d’organiser la société sur des bases plus égalitaires, moins aliénantes. Les anthropologues, terrifiés à l’idée de se voir accusés de romantisme, n’ont pour seule réponse que leur silence. Et s’il en était autrement ? [4e de couverture] |
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