Titre : | L'Opoponax | Autre titre : | suivi [en guise de postface] de Une œuvre éclatante | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Monique Wittig (1935-2003), Auteur ; Marguerite Duras, Postfacier, auteur du colophon, etc. | Année de publication : | 2018 | Importance : | 1 vol. (266 p.) | Présentation : | couv. ill. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7073-4447-2 | Langues : | Français | Catégories : | Enfance et jeunesse Féminisme et littérature Littérature -- 20e siècle
| Index. décimale : | 803 | Résumé : | Mon Opoponax, c'est peut-être, c'est même à peu près sûrement le premier livre moderne qui ait été fait sur l'enfance. Mon Opoponax, c'est l'exécution capitale de quatre-vingt-dix pour cent des livres qui ont été faits sur l'enfance. C'est la fin d'une certaine littérature et j'en remercie le ciel. C'est un livre à la fois admirable et très important parce qu'il est régi par une règle de fer, jamais enfreinte ou presque jamais, celle de n'utiliser qu'un matériau descriptif pur, et qu'un outil, le langage objectif pur. Ce dernier prend ici tout son sens. Il est celui-là même – mais porté au plain-chant par l'auteur – dont l'enfance se sert pour déblayer et dénombrer son univers. Ce qui revient à dire que mon Opoponax est un chef d’œuvre d'écriture parce qu'il est écrit dans la langue exacte de l'Opoponax. Extrait de la postface de Marguerite Duras. [4e de couv.] |
L'Opoponax ; suivi [en guise de postface] de Une œuvre éclatante [texte imprimé] / Monique Wittig (1935-2003), Auteur ; Marguerite Duras, Postfacier, auteur du colophon, etc. . - 2018 . - 1 vol. (266 p.) : couv. ill. ; 18 cm. ISBN : 978-2-7073-4447-2 Langues : Français Catégories : | Enfance et jeunesse Féminisme et littérature Littérature -- 20e siècle
| Index. décimale : | 803 | Résumé : | Mon Opoponax, c'est peut-être, c'est même à peu près sûrement le premier livre moderne qui ait été fait sur l'enfance. Mon Opoponax, c'est l'exécution capitale de quatre-vingt-dix pour cent des livres qui ont été faits sur l'enfance. C'est la fin d'une certaine littérature et j'en remercie le ciel. C'est un livre à la fois admirable et très important parce qu'il est régi par une règle de fer, jamais enfreinte ou presque jamais, celle de n'utiliser qu'un matériau descriptif pur, et qu'un outil, le langage objectif pur. Ce dernier prend ici tout son sens. Il est celui-là même – mais porté au plain-chant par l'auteur – dont l'enfance se sert pour déblayer et dénombrer son univers. Ce qui revient à dire que mon Opoponax est un chef d’œuvre d'écriture parce qu'il est écrit dans la langue exacte de l'Opoponax. Extrait de la postface de Marguerite Duras. [4e de couv.] |
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