Titre : | Minima Moralia : Réflexions sur la vie mutilée | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Théodor W. Adorno, Auteur ; Eliane Kaufholz ; Jean-rené Ladmiral, Traducteur | Editeur : | Paris : Payot | Année de publication : | 1991 | Collection : | Critique de la politique | Importance : | 1 vol. (243 p.) | Format : | 23 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-228-88348-1 | Langues : | Français | Catégories : | Individu et société Morale Oppression
| Résumé : | La nostalgie du dimanche n'est pas le désir de retrouver le foyer après une semaine de travail, mais la nostalgie d'un état libéré de la nécessité d'un telle semaine." (T. Adorno)
«Minima Moralia» est, selon Habermas, « le chef-d’oeuvre d’un écrivain égaré parmi les fonctionnaires » ; autrement dit : l’invention d’une écriture anti-autoritaire. Entre les moralistes français, Marx et les romantiques allemands, Adorno entreprend, à travers de courts chapitres, vignettes, instantanés, une critique du mensonge de la société moderne, pourchassant au plus intime de l’existence individuelle les puissances objectives qui la déterminent et l’oppriment. Ce livre, qu’il convient d’étudier comme une somme, est à accueillir comme un art d’écrire, à méditer comme un art de penser et à pratiquer comme un art de vivre. Mieux : un art de résister. |
Minima Moralia : Réflexions sur la vie mutilée [texte imprimé] / Théodor W. Adorno, Auteur ; Eliane Kaufholz ; Jean-rené Ladmiral, Traducteur . - Paris : Payot, 1991 . - 1 vol. (243 p.) ; 23 cm. - ( Critique de la politique) . ISBN : 978-2-228-88348-1 Langues : Français Catégories : | Individu et société Morale Oppression
| Résumé : | La nostalgie du dimanche n'est pas le désir de retrouver le foyer après une semaine de travail, mais la nostalgie d'un état libéré de la nécessité d'un telle semaine." (T. Adorno)
«Minima Moralia» est, selon Habermas, « le chef-d’oeuvre d’un écrivain égaré parmi les fonctionnaires » ; autrement dit : l’invention d’une écriture anti-autoritaire. Entre les moralistes français, Marx et les romantiques allemands, Adorno entreprend, à travers de courts chapitres, vignettes, instantanés, une critique du mensonge de la société moderne, pourchassant au plus intime de l’existence individuelle les puissances objectives qui la déterminent et l’oppriment. Ce livre, qu’il convient d’étudier comme une somme, est à accueillir comme un art d’écrire, à méditer comme un art de penser et à pratiquer comme un art de vivre. Mieux : un art de résister. |
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