Titre : | Les tactiques de Chronos | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Étienne Klein (1958-....), Auteur | Editeur : | Paris : Flammarion | Année de publication : | 2004 | Collection : | Champs num. 572 | Importance : | 1 vol. (219 p.) | Présentation : | couv. ill. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-08-020624-4 | Note générale : | Bibliogr. p. 217-220 | Langues : | Français | Catégories : | Temps Temps (philosophie)
| Index. décimale : | 115 | Résumé : | Le temps est une « chose » introuvable dont l’existence ne fait aucun doute. Une « chose » dont tout le monde parle mais que personne n’a jamais vue. Nous voyons, entendons, touchons, goûtons dans le temps, mais non le temps lui-même. Contre toute attente, Chronos est un planqué, un caméléon qu’il faut débusquer sous nos habitudes de langage et de perception. Pour le démasquer, il va falloir l’effeuiller peu à peu, le distinguer de ses effets les plus sensibles : la durée, la mémoire, le mouvement, le devenir, la vitesse, la répétition. Parce que les horloges ne mesurent pas forcément du temps. Parce que le temps est toujours là alors qu’on dit qu’il s’écoule. Et qu’il existe indépendamment de ce qui survient, se transforme, vieillit et meurt. Aujourd’hui, le regard le plus audacieux et le plus déconcertant sur le temps, c’est la physique qui le porte. De Galilée à Einstein, puis de l’antimatière aux supercordes, elle n’a cessé d’approfondir la question jusqu’à ouvrir des perspectives qui donnent le vertige : le temps a-t-il précédé l’Univers ? Comment s’est-il mis en route ? Pourrait-il inverser son cours ? Au bout du compte, le temps pourrait bien être méconnaissable. [4e de couv.] |
Les tactiques de Chronos [texte imprimé] / Étienne Klein (1958-....), Auteur . - Paris : Flammarion, 2004 . - 1 vol. (219 p.) : couv. ill. ; 18 cm. - ( Champs; 572) . ISBN : 978-2-08-020624-4 Bibliogr. p. 217-220 Langues : Français Catégories : | Temps Temps (philosophie)
| Index. décimale : | 115 | Résumé : | Le temps est une « chose » introuvable dont l’existence ne fait aucun doute. Une « chose » dont tout le monde parle mais que personne n’a jamais vue. Nous voyons, entendons, touchons, goûtons dans le temps, mais non le temps lui-même. Contre toute attente, Chronos est un planqué, un caméléon qu’il faut débusquer sous nos habitudes de langage et de perception. Pour le démasquer, il va falloir l’effeuiller peu à peu, le distinguer de ses effets les plus sensibles : la durée, la mémoire, le mouvement, le devenir, la vitesse, la répétition. Parce que les horloges ne mesurent pas forcément du temps. Parce que le temps est toujours là alors qu’on dit qu’il s’écoule. Et qu’il existe indépendamment de ce qui survient, se transforme, vieillit et meurt. Aujourd’hui, le regard le plus audacieux et le plus déconcertant sur le temps, c’est la physique qui le porte. De Galilée à Einstein, puis de l’antimatière aux supercordes, elle n’a cessé d’approfondir la question jusqu’à ouvrir des perspectives qui donnent le vertige : le temps a-t-il précédé l’Univers ? Comment s’est-il mis en route ? Pourrait-il inverser son cours ? Au bout du compte, le temps pourrait bien être méconnaissable. [4e de couv.] |
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