Titre : | Géographie de la domination | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | David Harvey, Auteur ; Nicolas Vieillescazes, Traducteur ; Nicolas Vieillescazes, Préfacier, etc. | Editeur : | Paris : Les Prairies ordinaires | Année de publication : | 2008 | Collection : | Penser-croiser | Importance : | 1 vol. (118 p.) | Format : | 19 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-35096-021-0 | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français Langues originales : Anglais | Catégories : | Architecture Capitalisme Économie politique Sociologie Urbanisme
| Résumé : | Depuis la fin du XVIIIe siècle, la logique d’accumulation du capital a bouleversé les équilibres économiques et politiques mondiaux, les rapports de force et de domination, la technique et le travail, la production des richesses et les manières de les consommer… Ceci appartient à l’histoire du capitalisme ; ce qui intéresse David Harvey, c’est aussi sa géographie : le pouvoir de détruire ou de construire, de façonner les espaces, de s’approprier la terre, de reconfigurer le visage des villes, de modifier en profondeur l’urbanisme et l’architecture, de changer notre rapport au temps et à l’espace. L’auteur nous montre à quel point le capitalisme doit encourager la production de singularités culturelles locales. Ainsi peut-on lire par exemple les principales reconfigurations urbanistiques et architecturales de ces dernières années. Il s’attache aussi, dans un texte majeur, à définir une « géopolitique du capitalisme », en montrant comment la logique d’accumulation du capital l’oblige à trouver des solutions spatiales aux contradictions qui le minent. |
Géographie de la domination [texte imprimé] / David Harvey, Auteur ; Nicolas Vieillescazes, Traducteur ; Nicolas Vieillescazes, Préfacier, etc. . - Paris : Les Prairies ordinaires, 2008 . - 1 vol. (118 p.) ; 19 cm. - ( Penser-croiser) . ISBN : 978-2-35096-021-0 Bibliogr. Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : | Architecture Capitalisme Économie politique Sociologie Urbanisme
| Résumé : | Depuis la fin du XVIIIe siècle, la logique d’accumulation du capital a bouleversé les équilibres économiques et politiques mondiaux, les rapports de force et de domination, la technique et le travail, la production des richesses et les manières de les consommer… Ceci appartient à l’histoire du capitalisme ; ce qui intéresse David Harvey, c’est aussi sa géographie : le pouvoir de détruire ou de construire, de façonner les espaces, de s’approprier la terre, de reconfigurer le visage des villes, de modifier en profondeur l’urbanisme et l’architecture, de changer notre rapport au temps et à l’espace. L’auteur nous montre à quel point le capitalisme doit encourager la production de singularités culturelles locales. Ainsi peut-on lire par exemple les principales reconfigurations urbanistiques et architecturales de ces dernières années. Il s’attache aussi, dans un texte majeur, à définir une « géopolitique du capitalisme », en montrant comment la logique d’accumulation du capital l’oblige à trouver des solutions spatiales aux contradictions qui le minent. |
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