Titre de série : | Faire – Regarder le graphisme – Volume 01, 4 | Titre : | Une communication – Cartons d'invitation de l'artiste Stanley Brouwn | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Céline Chazalviel, Auteur | Editeur : | Empire éditions | Année de publication : | 2018 | Importance : | 20 p. | Présentation : | ill. en coul. | Format : | 29 cm | Langues : | Français | Catégories : | Arts graphiques Typographie
| Résumé : | Derrière les normes mises en place pour la communication relative à ses expositions, l'usage exclusif de minuscules et de l'helvetica, le refus de reproduire des images de son travail, de produire (ou de laisser produire) un commentaire écrit au sujet de ce même travail, d'apparaître dans un contexte de vernissage ou encore de répondre à une interview, l'artiste Stanley Brouwn construit son identité par ellipses. Depuis sa première participation à la Dokumenta 5 (1972), les récits liés à cette attitude tracent les contours d'une posture artistique qui dépasse le cas particulier. L'exemple des cartons d'invitation de ses expositions personnelles en est symptomatique : composés quasiment exclusivement en helvetica, en l'absence de majuscules et, cela, faisant fi de l'identité graphique de la galerie ou de l'institution invitante, ils semblent impossibles à dater, à vingt ans près. Cette maitrise révèle que les choix graphique et typographique représentent un des espaces de la neutralité construite par Brouwn à l'instar d'autres artistes et théoricien(ne)s de sa génération, et celles à suivre. | En ligne : | http://revue-faire.eu/ |
Faire – Regarder le graphisme – Volume 01, 4. Une communication – Cartons d'invitation de l'artiste Stanley Brouwn [texte imprimé] / Céline Chazalviel, Auteur . - [S.l.] : Empire éditions, 2018 . - 20 p. : ill. en coul. ; 29 cm. Langues : Français Catégories : | Arts graphiques Typographie
| Résumé : | Derrière les normes mises en place pour la communication relative à ses expositions, l'usage exclusif de minuscules et de l'helvetica, le refus de reproduire des images de son travail, de produire (ou de laisser produire) un commentaire écrit au sujet de ce même travail, d'apparaître dans un contexte de vernissage ou encore de répondre à une interview, l'artiste Stanley Brouwn construit son identité par ellipses. Depuis sa première participation à la Dokumenta 5 (1972), les récits liés à cette attitude tracent les contours d'une posture artistique qui dépasse le cas particulier. L'exemple des cartons d'invitation de ses expositions personnelles en est symptomatique : composés quasiment exclusivement en helvetica, en l'absence de majuscules et, cela, faisant fi de l'identité graphique de la galerie ou de l'institution invitante, ils semblent impossibles à dater, à vingt ans près. Cette maitrise révèle que les choix graphique et typographique représentent un des espaces de la neutralité construite par Brouwn à l'instar d'autres artistes et théoricien(ne)s de sa génération, et celles à suivre. | En ligne : | http://revue-faire.eu/ |
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