Titre : | Espèces d'espaces | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Georges Perec, Auteur | Mention d'édition : | Nouvelle édition revue et corrigée | Editeur : | Paris : Galilée | Année de publication : | 2000 | Collection : | L'Espace critique | Importance : | 185 p. | Format : | 22 cm. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7186-0550-0 | Langues : | Français | Catégories : | Espace Habitations Philosophie
| Résumé : | « L’espace de notre vie n’est ni continu, ni infini, ni homogène, ni isotrope. Mais sait-on précisément où il se brise, où il se courbe, où il se déconnecte et où il se rassemble ? On sent confusément des fissures, des hiatus, des points de friction, on a parfois la vague impression que ça se coince quelque part, ou que ça éclate, ou que ça cogne. Nous cherchons rarement à en savoir davantage et le plus souvent nous passons d’un endroit à l’autre, d’un espace à l’autre sans songer à mesurer, à prendre en charge, à prendre en compte ces laps d’espace. Le problème n’est pas d’inventer l’espace, encore moins de le réinventer (trop de gens bien intentionnés sont là aujourd’hui pour penser notre environnement…), mais de l’interroger, ou, plus simplement encore, de le lire ; car ce que nous appelons quotidienneté n’est pas évidence, mais opacité : une forme de cécité, une manière d’anesthésie. C’est à partir de ces constatations élémentaires que s’est développé ce livre, journal d’un usager de l’espace. »G.P. |
Espèces d'espaces [texte imprimé] / Georges Perec, Auteur . - Nouvelle édition revue et corrigée . - Paris : Galilée, 2000 . - 185 p. ; 22 cm.. - ( L'Espace critique) . ISBN : 978-2-7186-0550-0 Langues : Français Catégories : | Espace Habitations Philosophie
| Résumé : | « L’espace de notre vie n’est ni continu, ni infini, ni homogène, ni isotrope. Mais sait-on précisément où il se brise, où il se courbe, où il se déconnecte et où il se rassemble ? On sent confusément des fissures, des hiatus, des points de friction, on a parfois la vague impression que ça se coince quelque part, ou que ça éclate, ou que ça cogne. Nous cherchons rarement à en savoir davantage et le plus souvent nous passons d’un endroit à l’autre, d’un espace à l’autre sans songer à mesurer, à prendre en charge, à prendre en compte ces laps d’espace. Le problème n’est pas d’inventer l’espace, encore moins de le réinventer (trop de gens bien intentionnés sont là aujourd’hui pour penser notre environnement…), mais de l’interroger, ou, plus simplement encore, de le lire ; car ce que nous appelons quotidienneté n’est pas évidence, mais opacité : une forme de cécité, une manière d’anesthésie. C’est à partir de ces constatations élémentaires que s’est développé ce livre, journal d’un usager de l’espace. »G.P. |
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