Titre : | La nature du gothique : Chapitre extrait des "Pierres de Venise" | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | John Ruskin, Auteur ; Crémieux, Mathilde, Traducteur | Editeur : | Paris : Éd. du Sandre | Année de publication : | 2012 | Importance : | 185 p. | Format : | 16 cm. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-35821-078-2 | Langues : | Français Langues originales : Anglais | Catégories : | Art -- Philosophie Art gothique Artisanat d'art Philosophie Plaisir Travail
| Résumé : | À mes yeux, et je pense pour quelques autres aussi, c’est une des choses les plus importantes que l’auteur ait écrites, et elle sera considérée dans les temps à venir comme l’une des rares expressions nécessaires et incontournables de ce siècle. Pour certains d’entre nous, quand nous le lûmes pour la première fois, il y a bien longtemps maintenant, cela semblait nous indiquer une route nouvelle sur laquelle le monde devait s’engager. (...) Nous ne pouvons toujours pas voir d’autre issue à la sottise et à la dégradation de la Civilisation. Car la leçon que Ruskin nous enseigne ici est que l’art est l’expression du plaisir de l’homme à l’ouvrage, et qu’il est possible à l’homme de se réjouir dans son travail, car, aussi étrange que cela puisse paraître à nos yeux aujourd’hui, il y eut des époques où il y trouvait vraiment du plaisir. William Morris [4e de couv.] |
La nature du gothique : Chapitre extrait des "Pierres de Venise" [texte imprimé] / John Ruskin, Auteur ; Crémieux, Mathilde, Traducteur . - Paris : Éd. du Sandre, 2012 . - 185 p. ; 16 cm. ISBN : 978-2-35821-078-2 Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : | Art -- Philosophie Art gothique Artisanat d'art Philosophie Plaisir Travail
| Résumé : | À mes yeux, et je pense pour quelques autres aussi, c’est une des choses les plus importantes que l’auteur ait écrites, et elle sera considérée dans les temps à venir comme l’une des rares expressions nécessaires et incontournables de ce siècle. Pour certains d’entre nous, quand nous le lûmes pour la première fois, il y a bien longtemps maintenant, cela semblait nous indiquer une route nouvelle sur laquelle le monde devait s’engager. (...) Nous ne pouvons toujours pas voir d’autre issue à la sottise et à la dégradation de la Civilisation. Car la leçon que Ruskin nous enseigne ici est que l’art est l’expression du plaisir de l’homme à l’ouvrage, et qu’il est possible à l’homme de se réjouir dans son travail, car, aussi étrange que cela puisse paraître à nos yeux aujourd’hui, il y eut des époques où il y trouvait vraiment du plaisir. William Morris [4e de couv.] |
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