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Titre : Balivernes pour un pote : [nouvelles] Type de document : texte imprimé Auteurs : Fernand Deligny (1913-1996), Auteur Editeur : [Poët-Laval] : Curandera Année de publication : 1984 Importance : 1 vol. (188 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm Langues : Français Catégories : Deligny, Fernand (1913-1996)
Récits personnelsRésumé : On m’a demandé d’écrire dix lignes au dos de ce livre pour, en quelques mots, emballer le lecteur et le mettre dans sa poche. On remarquera que c’est le livre qui met le lecteur dans sa poche. On appelle ça du merchandising. Alors moi, je vais merchandiser Deligny ? D’abord, je ? Et puis Deligny a écrit : « J’ai harponné soixante ans d’existences qui dérivent, avec une petite ligne dérisoire plantée dans la couverture. Existences, j’ai mis un “s”. Elles sont nombreuses et ne sont pas miennes. Il était une fois une baleine appelée Milieu » (Le croire et le craindre - Stock). Je me souviens aussi de « deux inconnus à ce point-là qu’ils n’ont pas de nom, comment voulez-vous qu’ils ne soient pas potes ? » (Id.). Et de : « L’essentiel que je m’acharne à nommer, à rebaptiser sans cesse : les circonstances, l’imprévu, le n’importe quoi, l’inédit, l’ailleurs » (Les vagabonds efficaces - Maspéro). F.D., dans les Cévennes, « le cul sur un vieux rocher de la chaîne hercynienne », cherchant auprès des enfants autistes, entre autres, « les secrets de cette matière quasiment inconnue d’entre les uns et les autres » (Id.).[4e de couv.] En ligne : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3369850d Balivernes pour un pote : [nouvelles] [texte imprimé] / Fernand Deligny (1913-1996), Auteur . - [Poët-Laval] : Curandera, 1984 . - 1 vol. (188 p.) : couv. ill. ; 21 cm.
Langues : Français
Catégories : Deligny, Fernand (1913-1996)
Récits personnelsRésumé : On m’a demandé d’écrire dix lignes au dos de ce livre pour, en quelques mots, emballer le lecteur et le mettre dans sa poche. On remarquera que c’est le livre qui met le lecteur dans sa poche. On appelle ça du merchandising. Alors moi, je vais merchandiser Deligny ? D’abord, je ? Et puis Deligny a écrit : « J’ai harponné soixante ans d’existences qui dérivent, avec une petite ligne dérisoire plantée dans la couverture. Existences, j’ai mis un “s”. Elles sont nombreuses et ne sont pas miennes. Il était une fois une baleine appelée Milieu » (Le croire et le craindre - Stock). Je me souviens aussi de « deux inconnus à ce point-là qu’ils n’ont pas de nom, comment voulez-vous qu’ils ne soient pas potes ? » (Id.). Et de : « L’essentiel que je m’acharne à nommer, à rebaptiser sans cesse : les circonstances, l’imprévu, le n’importe quoi, l’inédit, l’ailleurs » (Les vagabonds efficaces - Maspéro). F.D., dans les Cévennes, « le cul sur un vieux rocher de la chaîne hercynienne », cherchant auprès des enfants autistes, entre autres, « les secrets de cette matière quasiment inconnue d’entre les uns et les autres » (Id.).[4e de couv.] En ligne : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3369850d Les Belles lettres / Charlotte Delbo
Titre : Les Belles lettres Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Delbo (1913-1985), Auteur Mention d'édition : [Reprod. en fac-sim.] Editeur : Paris : Les Editions de Minuit Année de publication : 2012 Collection : Documents (Paris. 1949), ISSN 0768-1208 Importance : 1 vol. (151p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-0474-2 Note générale : Édition originale mars 1961. Langues : Français Catégories : Algérie -- 1954-1962 (Guerre d'Algérie)
Littérature -- 20e siècle
Récits personnels
Témoignage historiqueRésumé : s'agit de correspondances publiées, depuis 1958 pour la plupart, à propos de faits ou d"articles concernant la guerre d’Algérie. Alors qu’auparavant, écrit Charlotte Delbo qui a composé ce recueil, l’indignation explosait en manifestations et en actions collectives..., elle n’a plus aujourd’hui le moyen de s’exprimer... Il n’y a plus de vie politique... Privé d’autres moyens d’agir on écrit des lettres. À propos de La Question, du Manifeste des 121, de Francis Jeanson, de Georges Arnaud… entre autres sujets. Parmi les textes rassemblés dans Les Belles Lettres certains n’avaient jamais été publiés dans leur intégralité. Quelques-uns auraient mérité une diffusion plus large que celle qui leur fut accordée. Ainsi, par exemple, la lettre adressée par dom Robert Gillet, bénédictin, à Laurent Schwartz après ses démêlés avec le ministre des armées : J’ai toujours pensé que Dieu avait de l’imagination et de l’humour. Il est certainement très content de vous... D’autres messages - comme les derniers mots des exécutés de Montluc ou de la Santé — sont tragiques et graves, peu connus eux non plus [...] ces Belles Lettres, pour la plupart, valent d’être lues et relues. [Résumé de l'éditeur] Les Belles lettres [texte imprimé] / Charlotte Delbo (1913-1985), Auteur . - [Reprod. en fac-sim.] . - Paris : Les Editions de Minuit, 2012 . - 1 vol. (151p.) ; 18 cm. - (Documents (Paris. 1949), ISSN 0768-1208) .
ISBN : 978-2-7073-0474-2
Édition originale mars 1961.
Langues : Français
Catégories : Algérie -- 1954-1962 (Guerre d'Algérie)
Littérature -- 20e siècle
Récits personnels
Témoignage historiqueRésumé : s'agit de correspondances publiées, depuis 1958 pour la plupart, à propos de faits ou d"articles concernant la guerre d’Algérie. Alors qu’auparavant, écrit Charlotte Delbo qui a composé ce recueil, l’indignation explosait en manifestations et en actions collectives..., elle n’a plus aujourd’hui le moyen de s’exprimer... Il n’y a plus de vie politique... Privé d’autres moyens d’agir on écrit des lettres. À propos de La Question, du Manifeste des 121, de Francis Jeanson, de Georges Arnaud… entre autres sujets. Parmi les textes rassemblés dans Les Belles Lettres certains n’avaient jamais été publiés dans leur intégralité. Quelques-uns auraient mérité une diffusion plus large que celle qui leur fut accordée. Ainsi, par exemple, la lettre adressée par dom Robert Gillet, bénédictin, à Laurent Schwartz après ses démêlés avec le ministre des armées : J’ai toujours pensé que Dieu avait de l’imagination et de l’humour. Il est certainement très content de vous... D’autres messages - comme les derniers mots des exécutés de Montluc ou de la Santé — sont tragiques et graves, peu connus eux non plus [...] ces Belles Lettres, pour la plupart, valent d’être lues et relues. [Résumé de l'éditeur] Boltanski
Titre : Boltanski : Exposition, Paris, Centre national d'art et de culture Georges Pompidou, 1984 Type de document : texte imprimé Editeur : Paris : Editions du Centre Pompidou Année de publication : 1984 Collection : Contemporains num. 5 Importance : 1 vol. (123 p.) Présentation : ill. en noir et en coul. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85850-217-2 Langues : Français Catégories : Art -- 20e siècle
Boltanski, Christian (1944-....)
Enfance et jeunesse
France
Idiotie
Mémoire collective
Récits personnels
Souvenir
Vie artistiqueBoltanski : Exposition, Paris, Centre national d'art et de culture Georges Pompidou, 1984 [texte imprimé] . - Paris : Editions du Centre Pompidou, 1984 . - 1 vol. (123 p.) : ill. en noir et en coul. ; 27 cm. - (Contemporains; 5) .
ISBN : 978-2-85850-217-2
Langues : Français
Catégories : Art -- 20e siècle
Boltanski, Christian (1944-....)
Enfance et jeunesse
France
Idiotie
Mémoire collective
Récits personnels
Souvenir
Vie artistiqueRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 004161 709-2 BOL BOL Catalogue Médiathèque Les Monographies Disponible Au bonheur des morts / Vinciane Despret
Titre : Au bonheur des morts : récits de ceux qui restent Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Despret, Auteur Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : DL 2017 Collection : La Découverte-poche. Sciences humaines et sociales Sous-collection : Sciences humaines et sociales Importance : 1 vol. (222 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-9408-4 Note générale : Bibliogr., 11 p. Langues : Français Catégories : Deuil
Récits personnelsIndex. décimale : 155 Résumé : " Faire son deuil ", tel est l'impératif, presque banal, qui s'impose désormais à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d'un proche. Mais cela va-t-il de soi ? Se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable et incontournable si l'on ne veut pas trop souffrir ? Non, répond Vinciane Despret dans ce beau livre de témoignages recueillis auprès de celles et ceux qui, au contraire, ont dit non au travail de deuil en inventant mille manières de vivre, au quotidien, avec leurs morts. " Faire son deuil ", tel est l'impératif qui s'impose à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d'un proche. Cela va-t-il de soi ? Se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable auquel nul ne saurait échapper s'il ne veut pas trop souffrir ? L'auteure a écouté ce que les gens racontent dans leur vie la plus quotidienne. Et une histoire en a amené une autre. " J'ai une amie qui porte les chaussures de sa grand-mère afin qu'elle continue à arpenter le monde. Une autre est partie gravir une des montagnes les plus hautes avec les cendres de son père pour partager avec lui les plus beaux levers de soleil, etc. " Elle s'est laissé instruire par les manières d'être qu'explorent, ensemble, les morts et les vivants. Elle a su apprendre de la façon dont les vivants se rendent capables d'accueillir la présence de leurs défunts. Depuis un certain temps, les morts s'étaient faits discrets, perdant toute visibilité. Aujourd'hui, il se pourrait que les choses changent et que les morts soient à nouveau plus actifs. Ils viennent parfois réclamer, plus fréquemment proposer leur aide, soutenir ou consoler... Ils le font avec tendresse, souvent avec humour. On dit trop rarement à quel point certains morts peuvent nous rendre heureux ! Prix des Rencontres philosophiques de Monaco 2016 Au bonheur des morts : récits de ceux qui restent [texte imprimé] / Vinciane Despret, Auteur . - Paris : La Découverte, DL 2017 . - 1 vol. (222 p.) ; 21 cm. - (La Découverte-poche. Sciences humaines et sociales. Sciences humaines et sociales) .
ISBN : 978-2-7071-9408-4
Bibliogr., 11 p.
Langues : Français
Catégories : Deuil
Récits personnelsIndex. décimale : 155 Résumé : " Faire son deuil ", tel est l'impératif, presque banal, qui s'impose désormais à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d'un proche. Mais cela va-t-il de soi ? Se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable et incontournable si l'on ne veut pas trop souffrir ? Non, répond Vinciane Despret dans ce beau livre de témoignages recueillis auprès de celles et ceux qui, au contraire, ont dit non au travail de deuil en inventant mille manières de vivre, au quotidien, avec leurs morts. " Faire son deuil ", tel est l'impératif qui s'impose à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d'un proche. Cela va-t-il de soi ? Se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable auquel nul ne saurait échapper s'il ne veut pas trop souffrir ? L'auteure a écouté ce que les gens racontent dans leur vie la plus quotidienne. Et une histoire en a amené une autre. " J'ai une amie qui porte les chaussures de sa grand-mère afin qu'elle continue à arpenter le monde. Une autre est partie gravir une des montagnes les plus hautes avec les cendres de son père pour partager avec lui les plus beaux levers de soleil, etc. " Elle s'est laissé instruire par les manières d'être qu'explorent, ensemble, les morts et les vivants. Elle a su apprendre de la façon dont les vivants se rendent capables d'accueillir la présence de leurs défunts. Depuis un certain temps, les morts s'étaient faits discrets, perdant toute visibilité. Aujourd'hui, il se pourrait que les choses changent et que les morts soient à nouveau plus actifs. Ils viennent parfois réclamer, plus fréquemment proposer leur aide, soutenir ou consoler... Ils le font avec tendresse, souvent avec humour. On dit trop rarement à quel point certains morts peuvent nous rendre heureux ! Prix des Rencontres philosophiques de Monaco 2016 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 019905 155 DES Livre Médiathèque Réserve Disponible La cave / Thomas Bernhard
Titre : La cave : un retrait Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Bernhard (1931-1989), Auteur ; Albert Kohn (1905-1989), Traducteur Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 2003 Collection : Collection L'Imaginaire, ISSN 0151-7090 num. 470 Importance : 1 vol. (142 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-076803-1 Langues : Français Langues originales : Allemand Catégories : Bernhard, Thomas (1931-1989)
Récits personnelsIndex. décimale : 833.9 Résumé : "Partir dans la direction opposée" à celle qu'il a prise, comme chaque jour pour se rendre au lycée, voilà ce que décide soudain Thomas Bernhard à quinze ans. Ce demi-tour décidera de toute sa vie. Il ne le regrettera jamais. Pourtant les conditions sont dures dans la cave de M. Podlaha, le magasin d'alimentation où il a trouvé une place d'apprenti. Aucun travail ne le rebute. Et quelle clientèle! Dans ce quartier que la ville tient à l'écart, c'est la misère, l'ivrognerie, le crime, le suicide. Dans ce style bien particulier où la répétition de mots, de groupes de mots, développe comme un thème musical une pensée à la fois obsédée et obsédante, Thomas Bernhard raconte son adolescence, les siens, entassés à neuf dans trois pièces, et son goût pour la musique. [4e de couv.] La cave : un retrait [texte imprimé] / Thomas Bernhard (1931-1989), Auteur ; Albert Kohn (1905-1989), Traducteur . - [Paris] : Gallimard, 2003 . - 1 vol. (142 p.) ; 19 cm. - (Collection L'Imaginaire, ISSN 0151-7090; 470) .
ISBN : 2-07-076803-1
Langues : Français Langues originales : Allemand
Catégories : Bernhard, Thomas (1931-1989)
Récits personnelsIndex. décimale : 833.9 Résumé : "Partir dans la direction opposée" à celle qu'il a prise, comme chaque jour pour se rendre au lycée, voilà ce que décide soudain Thomas Bernhard à quinze ans. Ce demi-tour décidera de toute sa vie. Il ne le regrettera jamais. Pourtant les conditions sont dures dans la cave de M. Podlaha, le magasin d'alimentation où il a trouvé une place d'apprenti. Aucun travail ne le rebute. Et quelle clientèle! Dans ce quartier que la ville tient à l'écart, c'est la misère, l'ivrognerie, le crime, le suicide. Dans ce style bien particulier où la répétition de mots, de groupes de mots, développe comme un thème musical une pensée à la fois obsédée et obsédante, Thomas Bernhard raconte son adolescence, les siens, entassés à neuf dans trois pièces, et son goût pour la musique. [4e de couv.] Cinéma muet avec battements de cœur / Dezső Kosztolányi
PermalinkLe conteur de cinéma / Gert Hofmann
PermalinkDans la paix comme dans la guerre / Cabrera Infante, Guillermo
PermalinkDean et moi / Jerry Lewis ; James Kaplan
PermalinkUn et demi / Valfret
PermalinkLa diagonale de la joie / Corine Sombrun
PermalinkDialogue avec la gravité / Ushio Amagatsu
PermalinkDialogue avec moi-même / Polo Tonka
PermalinkDoors of Listening / Félix Blume
PermalinkÉrik Bullot / Erik Bullot
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