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L'Action restreinte / Jean-François Chevrier
Titre : L'Action restreinte : L'art moderne selon Mallarmé Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Chevrier, Auteur ; Elia Pijollet, Auteur Editeur : Malakoff : Editions Hazan Année de publication : 2005 Autre Editeur : Nantes : Musée des Beaux-Arts de Nantes Importance : 1 vol. (335 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7541-0021-2 Note générale : Exposition. Nantes, Musée des Beaux-Arts, 2005 Langues : Français Catégories : Art -- Histoire
Art moderne
Collections publiques
Lyrisme (littérature)
Mallarmé, Stéphane (1842-1898)
Musées
PoésieRésumé : « L'Action restreinte » est une relecture de l'histoire de l'art moderne selon Stéphane Mallarmé (1842-1898). Auteur du Coup de dés, mais aussi de fameux Sonnets, de textes en prose recueillis dans les Divagations, d'un vaste ensemble de notes - inédites jusqu'en 1957 -, projetant un Livre idéal qui serait un équivalent du monde, Mallarmé a élaboré une poétique complexe et particulièrement ouverte, qui a constitué une matrice pour de nombreuses recherches poétiques et plastiques tout au long du XXe siècle. En étudiant notamment les origines de l'abstraction, de nombreux historiens d'art ont travaillé sur l'arrière-plan symboliste du modernisme. L'œuvre de Mallarmé apparaît centrale dans cette reconstitution. Déjà dans les années 1910, de nombreux acteurs ou observateurs de l'art d'avant-garde avaient rattaché la poétique mallarméenne aux formes les plus avancées de l'art post-cézannien, et en particulier du cubisme. Durant les années 1960, la tendance a été plutôt d'extraire Mallarmé du symbolisme en montrant que sa pensée excédait largement l'esthétique ou l'idéologie du mouvement littéraire et artistique mis en place dans les années 1880. Jean-François Chevrier, revenant sur ces assimilations, explique ici en quoi l'extraordinaire ouverture de la poétique mallarméenne excède largement la seule théorie moderniste ou le mythe de la « poésie pure »,voire en quoi elle s'oppose à la pensée utopique. Au moyen de clefs d'analyse comme la tension entre l'idée et l'actualité, le statut du vers comme seul recours contre le fond obscur des virtualités, la poésie concrète, la dissolution des mythes au profit d'une action restreinte à la scène de l'écriture, le rythme comme alternative au style pour préserver la diversité des libertés individuelles, cette étude interroge les textes et les œuvres d'une centaine d'artistes et poètes ou écrivains, des années 1850 à la fin des années 1960. Quelques figures incontournables, parmi d'autres : Odilon Redon, Jules Laforgue, James Ensor, Guillaume Apollinaire, Loïe Fuller, Edward Gordon Craig, Pablo Picasso, Georges Braque, Érik Satie, Umberto Boccioni, Buster Keaton, Marcel Duchamp, Vélimir Khlebnikov, Alexandra Exter, Kurt Schwitters, Raoul Hausmann, Hans Arp et Sophie Taeuber, André Breton, Max Ernst, Walker Evans, James Joyce, Antonin Artaud, Francis Ponge, Henri Michaux, Roberto Rossellini, Joseph Cornell, John Cage, Yvonne Rainer, Alighiero e Boetti, Marcel Broodthaers... [Résumé de l'éditeur] L'Action restreinte : L'art moderne selon Mallarmé [texte imprimé] / Jean-François Chevrier, Auteur ; Elia Pijollet, Auteur . - Malakoff : Editions Hazan : Nantes : Musée des Beaux-Arts de Nantes, 2005 . - 1 vol. (335 p.) : ill. en coul. ; 28 cm.
ISBN : 978-2-7541-0021-2
Exposition. Nantes, Musée des Beaux-Arts, 2005
Langues : Français
Catégories : Art -- Histoire
Art moderne
Collections publiques
Lyrisme (littérature)
Mallarmé, Stéphane (1842-1898)
Musées
PoésieRésumé : « L'Action restreinte » est une relecture de l'histoire de l'art moderne selon Stéphane Mallarmé (1842-1898). Auteur du Coup de dés, mais aussi de fameux Sonnets, de textes en prose recueillis dans les Divagations, d'un vaste ensemble de notes - inédites jusqu'en 1957 -, projetant un Livre idéal qui serait un équivalent du monde, Mallarmé a élaboré une poétique complexe et particulièrement ouverte, qui a constitué une matrice pour de nombreuses recherches poétiques et plastiques tout au long du XXe siècle. En étudiant notamment les origines de l'abstraction, de nombreux historiens d'art ont travaillé sur l'arrière-plan symboliste du modernisme. L'œuvre de Mallarmé apparaît centrale dans cette reconstitution. Déjà dans les années 1910, de nombreux acteurs ou observateurs de l'art d'avant-garde avaient rattaché la poétique mallarméenne aux formes les plus avancées de l'art post-cézannien, et en particulier du cubisme. Durant les années 1960, la tendance a été plutôt d'extraire Mallarmé du symbolisme en montrant que sa pensée excédait largement l'esthétique ou l'idéologie du mouvement littéraire et artistique mis en place dans les années 1880. Jean-François Chevrier, revenant sur ces assimilations, explique ici en quoi l'extraordinaire ouverture de la poétique mallarméenne excède largement la seule théorie moderniste ou le mythe de la « poésie pure »,voire en quoi elle s'oppose à la pensée utopique. Au moyen de clefs d'analyse comme la tension entre l'idée et l'actualité, le statut du vers comme seul recours contre le fond obscur des virtualités, la poésie concrète, la dissolution des mythes au profit d'une action restreinte à la scène de l'écriture, le rythme comme alternative au style pour préserver la diversité des libertés individuelles, cette étude interroge les textes et les œuvres d'une centaine d'artistes et poètes ou écrivains, des années 1850 à la fin des années 1960. Quelques figures incontournables, parmi d'autres : Odilon Redon, Jules Laforgue, James Ensor, Guillaume Apollinaire, Loïe Fuller, Edward Gordon Craig, Pablo Picasso, Georges Braque, Érik Satie, Umberto Boccioni, Buster Keaton, Marcel Duchamp, Vélimir Khlebnikov, Alexandra Exter, Kurt Schwitters, Raoul Hausmann, Hans Arp et Sophie Taeuber, André Breton, Max Ernst, Walker Evans, James Joyce, Antonin Artaud, Francis Ponge, Henri Michaux, Roberto Rossellini, Joseph Cornell, John Cage, Yvonne Rainer, Alighiero e Boetti, Marcel Broodthaers... [Résumé de l'éditeur] Art italien
Titre : Art italien : 1900-1945 ; [exposition, Venise, Palazzo Grassi, 1989] Type de document : texte imprimé Auteurs : Pontus Hulten, Auteur ; Germano Celant, Auteur Editeur : Paris : L. Levi Année de publication : 1989 Importance : 775 p. Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 30 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86746-048-7 Prix : 750 F Note générale : Bibliogr. p. 762-763. Index Langues : Français Langues originales : Italien Catégories : 1900-1945
Art moderne
ItalieExpositions : exposition, Venise, Palazzo Grassi, 1989 Art italien : 1900-1945 ; [exposition, Venise, Palazzo Grassi, 1989] [texte imprimé] / Pontus Hulten, Auteur ; Germano Celant, Auteur . - Paris : L. Levi, 1989 . - 775 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
ISBN : 978-2-86746-048-7 : 750 F
Bibliogr. p. 762-763. Index
Langues : Français Langues originales : Italien
Catégories : 1900-1945
Art moderne
ItalieExpositions : exposition, Venise, Palazzo Grassi, 1989 Oeuvre et activité / Jean-François Chevrier
Titre : Oeuvre et activité : la question de l'art Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Chevrier, Auteur Editeur : Paris : L'Arachnéen Année de publication : 2015 Importance : 1 vol. (349 p.) Présentation : ill. en couleur Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-9541059-7-0 Note générale : Index Langues : Français Catégories : Art -- Historiographie
Art conceptuel
Art de performance
Art moderneRésumé : Au cours du XXe siècle, la liaison de l’art moderne, « indépendant », avec la pensée libérale a été mise en cause de diverses manières. L’œuvre, devenue un pôle de l’espace public bourgeois, fut « mise en procès », sinon condamnée. Le tournant du rapport entre œuvre et activité est apparu avec le readymade duchampien, soit, entre autres effets, l’inclusion de la posture critique dans l’activité même. L’activité artistique s’est détachée de l’œuvre au moment même où celle-ci, avec l’objet cubiste, apparaissait comme la forme accomplie du modèle libéral. Deux paradigmes historiques de l’art (privilégiant «œuvre» ou «activité») se sont ainsi croisés et mêlés à la veille de la première guerre mondiale. La question de l’art est devenue un débat entre diverses conceptions fonctionnelles ou protestataires, activistes ou contemplatives. L’auteur discute et relativise les partages idéologiques qui ont surestimé ou, au contraire, déprécié systématiquement la dynamique des avant-gardes. Il met en avant une continuité de la pensée critique, active à la fois dans la mise en place du modèle libéral appliqué à l’œuvre d’art et dans l’expérience de modes d’activité alternatifs plus ou moins opposés à ce modèle de l’œuvre. Cela lui permet de resituer la problématique des années 1960 et 1970 dans une réflexion sur les formes du « travail intellectuel moderne » dans l’activité des artistes. Il évite ainsi de reconduire naïvement les déclarations de rupture et les mots d’ordre auxquels on réduit trop souvent les prétendues « néo-avant-gardes ». Depuis les années 1960, la performance et le conceptualisme ont été les deux vecteurs principaux de cette transformation. Toutefois, le critère de l’œuvre, avec son adresse au public, est resté déterminant de toute appréciation critique et de la possibilité même d’une posture critique de la part des artistes. Le principe d’indépendance, antidogmatique, de la pensée libérale, mis en œuvre dans l’art, avec le soutien de la critique, depuis les Lumières, a conservé son efficacité au travers des postulations libertaires et jusque dans des formes d’activité liées à des engagements sociopolitiques qui lui étaient hostiles. [ Extrait du résumé de l'éditeur] Oeuvre et activité : la question de l'art [texte imprimé] / Jean-François Chevrier, Auteur . - Paris : L'Arachnéen, 2015 . - 1 vol. (349 p.) : ill. en couleur ; 22 cm.
ISBN : 978-2-9541059-7-0
Index
Langues : Français
Catégories : Art -- Historiographie
Art conceptuel
Art de performance
Art moderneRésumé : Au cours du XXe siècle, la liaison de l’art moderne, « indépendant », avec la pensée libérale a été mise en cause de diverses manières. L’œuvre, devenue un pôle de l’espace public bourgeois, fut « mise en procès », sinon condamnée. Le tournant du rapport entre œuvre et activité est apparu avec le readymade duchampien, soit, entre autres effets, l’inclusion de la posture critique dans l’activité même. L’activité artistique s’est détachée de l’œuvre au moment même où celle-ci, avec l’objet cubiste, apparaissait comme la forme accomplie du modèle libéral. Deux paradigmes historiques de l’art (privilégiant «œuvre» ou «activité») se sont ainsi croisés et mêlés à la veille de la première guerre mondiale. La question de l’art est devenue un débat entre diverses conceptions fonctionnelles ou protestataires, activistes ou contemplatives. L’auteur discute et relativise les partages idéologiques qui ont surestimé ou, au contraire, déprécié systématiquement la dynamique des avant-gardes. Il met en avant une continuité de la pensée critique, active à la fois dans la mise en place du modèle libéral appliqué à l’œuvre d’art et dans l’expérience de modes d’activité alternatifs plus ou moins opposés à ce modèle de l’œuvre. Cela lui permet de resituer la problématique des années 1960 et 1970 dans une réflexion sur les formes du « travail intellectuel moderne » dans l’activité des artistes. Il évite ainsi de reconduire naïvement les déclarations de rupture et les mots d’ordre auxquels on réduit trop souvent les prétendues « néo-avant-gardes ». Depuis les années 1960, la performance et le conceptualisme ont été les deux vecteurs principaux de cette transformation. Toutefois, le critère de l’œuvre, avec son adresse au public, est resté déterminant de toute appréciation critique et de la possibilité même d’une posture critique de la part des artistes. Le principe d’indépendance, antidogmatique, de la pensée libérale, mis en œuvre dans l’art, avec le soutien de la critique, depuis les Lumières, a conservé son efficacité au travers des postulations libertaires et jusque dans des formes d’activité liées à des engagements sociopolitiques qui lui étaient hostiles. [ Extrait du résumé de l'éditeur] La Peinture moderne, qu'est ce que c'est ? / Alfred Hamilton junior Barr
Titre : La Peinture moderne, qu'est ce que c'est ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Alfred Hamilton junior Barr, Auteur Editeur : Paris : Réunion des musées nationaux Année de publication : 1993 Importance : 1 vol. (118p.) Présentation : ill. en noir et blanc Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7118-2806-7 Langues : Français Catégories : Art moderne
Cubisme
Futurisme
Paysage
Peinture
Pop'art
Réalisme (mouvement artistique)Résumé : Père du MoMA -Muséum of Modern Art- de New York, et à ce titre figure mythique de la muséologie, Alfred H. Barr Jr (1902 - 1981) livre avec ce texte une synthèse de la modernité, qui relève de cette époque pionnière et militante, que sont aux Etats-Unis les années trente et l'après-guerre. Véritable classique, best-seller aux Etats-Unis - on compte une dizaine d'éditions entre 1943 et 1968 -, l'ouvrage, jamais encore traduit en français, est d'une simplicité pédagogique qui en fait un modèle d'éducation du regard. Il ouvre la voie à une éthique de vérité, de liberté et de perfection, portée par l'idéologie libérale alors triomphante. Gérard Audinet [4e de couverture] La Peinture moderne, qu'est ce que c'est ? [texte imprimé] / Alfred Hamilton junior Barr, Auteur . - Paris : Réunion des musées nationaux, 1993 . - 1 vol. (118p.) : ill. en noir et blanc ; 21 cm.
ISBN : 978-2-7118-2806-7
Langues : Français
Catégories : Art moderne
Cubisme
Futurisme
Paysage
Peinture
Pop'art
Réalisme (mouvement artistique)Résumé : Père du MoMA -Muséum of Modern Art- de New York, et à ce titre figure mythique de la muséologie, Alfred H. Barr Jr (1902 - 1981) livre avec ce texte une synthèse de la modernité, qui relève de cette époque pionnière et militante, que sont aux Etats-Unis les années trente et l'après-guerre. Véritable classique, best-seller aux Etats-Unis - on compte une dizaine d'éditions entre 1943 et 1968 -, l'ouvrage, jamais encore traduit en français, est d'une simplicité pédagogique qui en fait un modèle d'éducation du regard. Il ouvre la voie à une éthique de vérité, de liberté et de perfection, portée par l'idéologie libérale alors triomphante. Gérard Audinet [4e de couverture] Théorie de l'art moderne. / Paul Klee
Titre : Théorie de l'art moderne. Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Klee, Auteur Editeur : Paris : Gonthier Année de publication : 1964 Importance : 174 p. Format : 18 cm Prix : ill. Langues : Français Catégories : Art -- 20e siècle
Art moderne
Klee, Paul (1879-1940)Résumé : Quelle est la fonction de la peinture contemporaine ? Quels sont les rapports qu'elle entretient avec la musique, la poésie, les mathématiques, la biologie ? Quels sont les pouvoirs de la ligne, de l'espace, de la forme, de la couleur et comment expriment-ils notre conscience nouvelle de nous-mêmes et de l'univers ? Telles sont les questions fondamentales auxquelles Klee apporte une réponse dans Théorie de l'art moderne. Ce livre groupe pour la première fois l'ensemble des textes théoriques parus du vivant de l'artiste, dont les célèbres Esquisses pédagogiques ; il ouvre au lecteur le chemin de la création picturale. Il a, dans notre siècle, une importance égale à celle des Carnets de Vinci pour l'art et la pensée de la Renaissance. Théorie de l'art moderne. [texte imprimé] / Paul Klee, Auteur . - Paris : Gonthier, 1964 . - 174 p. ; 18 cm.
ill.
Langues : Français
Catégories : Art -- 20e siècle
Art moderne
Klee, Paul (1879-1940)Résumé : Quelle est la fonction de la peinture contemporaine ? Quels sont les rapports qu'elle entretient avec la musique, la poésie, les mathématiques, la biologie ? Quels sont les pouvoirs de la ligne, de l'espace, de la forme, de la couleur et comment expriment-ils notre conscience nouvelle de nous-mêmes et de l'univers ? Telles sont les questions fondamentales auxquelles Klee apporte une réponse dans Théorie de l'art moderne. Ce livre groupe pour la première fois l'ensemble des textes théoriques parus du vivant de l'artiste, dont les célèbres Esquisses pédagogiques ; il ouvre au lecteur le chemin de la création picturale. Il a, dans notre siècle, une importance égale à celle des Carnets de Vinci pour l'art et la pensée de la Renaissance.